déclara Bernard le slip enroulé aux genoux et la bite raide comme jamais, j’étais très impressionnée par la taille de sa bite, j’avoue ne jamais en avoir vu une aussi grosse et ses couilles pendaient jusqu’aux milieu des cuisses c’était un canasson le mec ! Mon fils de 19 ans pompait goulûment cette bite de canasson et ça me rendait folle et honteuse. Kevin s’était retourné et faisait maintenant face à Bernard, il lui tenait ses grosses couilles et faisait coulisser sa bouche déformée par la taille XXXXL du canasson. Momo se branlait et réclamait la bouche « euh dis donc biquet, tu m’as commencé j’espère que tu vas me finir, je n’en peux plus moi » En effet la bite de Momo avait doublé de volume, il tenait sa bite à deux mains et se branlait, elle était énorme surtout dans la largeur, ses couilles n’étaient pas grosses mais sa bite était impressionnante d’épaisseur et il ajouta « Viens p’tit PD que j’te déboîte la gueule » J’étais prête à intervenir car je ne supportais pas qu’on parle ainsi de mon fiston, mais je n’eus pas le temps de réagir qu’immédiatement Kevin se dirigea vers Momo et fit un grand « OH ! » il ne s’attendait visiblement pas à voir une bite aussi large « Viens sucer ça p’tit con on va voir si tu aimes la bite » immédiatement Kevin ouvrit la bouche et s’empala sur ce chibre terrible que j’avais vu doubler de volume. La bite était trop large il ne pouvait pas sucer c’était totalement impossible mais Momo avait de l’expérience et ne se laissait pas sucer comme un passif, il attrapa la tête de mon fils et se mit à limer, il poussait sa bite au fond et je vis Kevin tirer au cœur, ses joues étaient totalement déformées par l’énorme bite et je vis même la gorge se gonfler pendant qu’il poussait au fond. Mon fils était en sérieuse difficultés il semblait ne plus rien assumer et il tirait au cœur en crachant des glaires, son menton dégoulinait, ça coulait même le long de son cou , il étouffait et Momo s’en rendit compte, il retira sa bite et la fit frétiller devant le visage de Kevin « Elle est belle hein tu en penses quoi elle vaut le coup de glairer dessus non ? » Kevin répondit « Oh oui t’as une grosse bite de malade Momo » « Dégueule moi sur la bite vas y donne moi toute tes glaires, donne tout ce que tu as » Et Kevin se refit emboucher par la grosse bite. Momo poussait, ses couilles venaient cogner sur le mentons glaireux de Kevin et la bite ressortit doucement, je vis Kevin avancer la tête pour ne pas qu’elle lui échappe c’était hallucinant il aimait cette situation et Momo gémissait en poussant dans la bouche lui faisait du bien visiblement et il ne se cacha pas de le dire à voix haute « Oh cette bouche me fait du bien c’est dingue, un vrai garage à bite, resserre bien tes lèvres quand elle recule, retiens là, retiens là » Je voyais clairement que Kevin voulait répondre mais il était prisonnier la bouche pleine, il pressait fortement les couilles de Momo et semblait ne plus vouloir les lâcher, Momo poussa sur la tête du gamin pour retirer sa bite et quand la bite était sortie totalement il mis un violent coup de reins pour l’enfoncer violemment. « J’vais te déboîter ta p’tite gueule de pute » Au moment où j’allais me lever pour intervenir j’entendis Momo gueuler, il éjacula tout son sperme sur le visage enfantin de Kevin qui lui administra en remerciements un joli petit coup de langue sur son gros gland baveux. Bernard reproposa sa bite à la bouche qui le reprit illico, il aimait cette grosse bite poilue et ne se cacha pas de le dire à Bernard « J’aime ta grosse bite poilue Bernard » On voyait qu’il ne mentait pas car il suçait d’une façon différente, il prenait vraiment du plaisir là, il avait le visage tout poisseux de sperme et continuait à sucer sans avoir pris soin de s’essuyer. Momo remonta slip et pantalon et s’éloigna, quant à Didier il attendait lui aussi qu’on lui gâte la sucette, il se branlait et attendait son tour mais Kevin était trop occupé sur sa bite préférée, on pouvait entendre Didier se plaindre « Et moi et moi tu m’oublies ? » Aussitôt Kevin saisit ses couilles et les pétrit en appuyant fort, il préparait la bite de Didier qui se mit à bander encore plus, sa bite bien lisse était belle et semblait jeune comme celle d’un gamin. Celle de Bernard était le contraire, c’était une grosse bite bien large et longue avec des grosse vaines bien boursouflées et un gland rouge sang et juteux, je dois admettre que pour moi en tant que femme c’était la bite que je préférais aussi et surtout surtout ses énormes couilles pendante comme des oranges sur une branche d’arbre. Kevin pétrissait donc les couilles de Didier et suçait la grosse de Bernard et il ne voulait pas la lâcher celle là c’était sa bite adorée.
Didier ne tenant plus attrapa la tête de mon fils et la tourna d’un coup sec vers sa bite « SUCE » Kevin suçait maintenant cette bite lisse je le regardais faire mais mon regard se dirigea vers la grosse bite de Bernard que je trouvais très excitante, il était viril avec ses poils noirs et ses grosses couilles, je dois avouer que sa bite était tentante, je n’avais pas fait l’amour depuis des années et cette bite m’intéressait vivement, ma chatte s’humidifia et je ne pu m’empêcher de me caresser à travers le tissu du string. Cette bite frétillait et je ne pu m’empêcher d’écarter mon string et de m’enfoncer deux doigts au fond de la chatte, ma chatte était en manque depuis des années et deux doigts suffirent pour qu’elle envoie deux grosses giclées de mouille sur mes doigts, mon string était trempé comme si j’avais fait pipi dedans et je sentais la femme qui se néglige en clair je puait de la chatte tellement ma mouille coulait et quand ma chatte en arrivait à de telles odeurs j’étais capable de tout, capable d’aller prendre la place de mon fils et de sucer avec lui. Je me levais et me dirigea vers les 3 hommes, Kevin suçait Didier et ne pouvait pas me voir lorsque je me suis accroupit devant Bernard qui me regardait la bouche ouverte et les yeux grands écarquillés. « Euh vous êtes qui madame ? » Pas question de lui répondre, j’avais trop envie de le pomper et je ne me priva pas de cette belle bite qui m’était offerte. J’ai sucé Bernard qui n’en revenait pas de voir une aussi jolie femme accroupit devant lui, je pétrissais ses grosses couilles en pompant son dard qui me déformait la bouche, mon rouge à lèvres s’étalait tout le long de son énorme bite et Bernard ne pu s’empêcher de le faire remarquer « Oh oui rougit moi bien la bite salope ! » En suçant Bernard je sentais ma mouille sortir de ma chatte c’était les grands eau je sentais le liquide couler entre mes fesses et inonder mon string qui ceci dit ne cachait pas grand-chose, j’étais totalement épilée donc aucun poils ne sortait de mon string mais la cyprine sortait des deux côtés et je sentais mon odeur envahir l’atmosphère. Je pompais Bernard à m’en décrocher la mâchoire et il m’insultait « T’es qui toi espèce de pute pour me sucer la bite comme ça, tu es qui toi ? » Je ne pouvais pas répondre car il était hors de question que je lâche cette bite que j’avais tant désirée. J’étais même prête à me faire déboîter la chatte tellement j’avais envie c’était insoutenable. Je pompais donc goulûment cette grosse bite veineuse et soudain Kevin se retourna la bouche dégoulinante de sperme, il venait de vider les couilles de Didier, malgré la sperme dans la bouche il réussit à dire « Maman ! » Il me regardait éberlué en train de pomper Bernard. Soudain Bernard me releva et me retourna, il souleva ma jupe et mon string se retrouva vite sur mes chaussures, il me fit pencher en avant appuyée sur un arbre et me baisa par derrière comme une pute sans ménagement. Je pissais déjà de la chatte sans que Bernard eut le temps de me limer. Mon fils me regardait penchée en avant la jupe remontée sur le dos et en train de me faire déboîter le cul par l’énorme bite de Bernard. « Oh maman tu vas prendre cher il a une bite de malade » « oh oui mais j’en peux plus, j’en peux plus, j’ai la chatte qui pisse la mouille depuis une bonne demi heure ! »
Bernard me bourrait la chatte en disant « Pisse la ta mouille salope, pisse la vas y, montre moi quelle grosse pisseuse tu es » Sa bite était énorme, jamais je ne m’étais pris un tel calibre c’était impressionnant, j’avais beau avoir 40 ans j’ignorais qu’on pouvait ressentir un tel plaisir à se faire déboîter par un tel engin. Ma chatte était écartelée par le gros engin. Je ne me contrôlais plus et maintenant c’était moi qui prononçait des mots de salope « Et toi ta grosse tige elle le donne son jus, elle le donne ? » Je passais une de mes mains en dessous et je chopais direct les couilles de Bernard en lui demandant « t’aime bien quand j’te tiens les couilles comme ça ? » En me bourrant virilement il me disait « Oui tiens moi les couilles, tiens moi les couilles, tiens moi les couilles, tiens moi les couilles, tiens moi les couilles » A chaque phrase il bourrait de plus en plus fort et je pétrissais ses grosses couilles par en dessous, ma main n’était d’ailleurs pas assez grosse pour choper les deux en même temps et donc mon autre main rejoignit la première et de mes deux mains je pétrissais les grosses baloches, Ber ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite