Kevin est sorti et je suis allé me préparer, une bonne douche, toilette intime nickel, une petite robe d’été rouge, porte jarretelle et string assorti, pas de soutien-gorge volontairement pour que les mecs voient mes tétons pointés et comprendre que je suis prête pour une bonne bourre. Deux heures passèrent environ lorsque j’entendis la clé dans la serrure, j’avais eu le temps de préparer le repas et l’apéritif, j’avais bien l’intention de boire ce soir pour me laisser aller totalement, c’était bien Kevin qui revenait et il était en effet avec les deux types, Bernard et Didier, les présentations furent vite fait et nous passâmes à l’apéro, un whisky bien fort pour chacun des deux types, un porto pour Kevin et une vodka pour moi, enfin quand je dis une c’est faux, je m’en suis taper 4 et j’étais déjà bien partie, j’ai sorti le grand jeu de la sensualité, rouge à lèvres clinquant, talons aiguilles, bracelet aux chevilles et je jouais un peu la fofolle pour voir la réaction des deux types, Bernard regardait souvent ma poitrine, il avait vu que mes tétons pointaient et son copain le remarqua aussi, Bernard ne se cacha pas de me dire « Madame vous êtes particulièrement sexy ce soir et je suis sûr que vous cachez des jolies choses sous cette robe » « En effet, string très étroit et porte jarretelle » « On peut voir ça ? » s’exclama Bernard. « Débarrassons la table et je m’allonge cuisses écartées si vous voulez voir ! » « Chiche » les mecs se précipitèrent pour débarrasser et comme promis je me suis allongée sur la table cuisse grandes ouvertes et robe relevée sur la poitrine, mon string noir ne cachait pas grand-chose devant, en effet il rentrait dans ma chatte et mes grandes lèvres sortaient. Bernard ne pu s’empêcher de faire des commentaires « waouh sympa cette chatte qui mange la culotte, on voit qu’elle a faim déjà » « oh oui elle a une grosse grosse faim » et je fis le maximum pour faire bouger mes grandes lèvres et rendre les mecs dingues, en faisant bouger mes lèvres, ma chatte englouti encore plus mon string, il ne cachait plus rien du tout, ni devant ni derrière, je relevais les jambes pour que Bernard zyeute bien, je sentais déjà ma chatte coulée alors qu’il ne se passa rien, qu’est ce que ce sera quand il aura sorti sa bite et qu’il me baisera, les grands eaux de Versailles comme d’habitude. Bernard se leva de sa chaise et commença à se caresser la bosse du pantalon, sa bite se dessinait déjà bien sous le pantalon, quel morceau ! J’en avais une envie indescriptible, il n’y avait pas de mots pour le dire. Kevin très déluré comme toujours vint s’agenouiller devant Bernard et lui déboutonna son pantalon, je regardais jambes écartelées sans broncher, la pantalon se retrouva à peine sur les genoux que son slip le rejoignit aussitôt, sa grosse bite raide claqua d’un coup sec sur son nombril, j’étais aux anges de la revoir bien raide et fière le gland déjà bien décalotté avec une petite goutte qui sortait déjà, quelle belle bite, j’étais ravie. Puis Kevin embourba ce beau membre dans sa bouche et se mit à le pomper goulûment comme il sait si bien le faire, il gémissait, creusait les joues, on pouvait même entendre des bruits de bouche et des bruits d’aspiration, le coquin il sortait le grand jeu, de temps en temps il s’arrêtait de sucer pour me regarder afin de voir comment je réagissais mais j’étais toujours allongée offerte à la première bite qui passerait et ce fut Didier qui s’approcha pour écarter mon string et me mettre quelques coups de langues bien appliqués, le coquin il lapait ma chatte à grands coups mais alternait avec des petits coups plus appuyés qui me firent frémir et gémir « Ooooh oui c’est bon, oui encore » Didier me lapait la chatte hum c’était divin il s’appliquait et me regardait pour voir comment je réagissais puis sans scrupule il me fila un de ses doigts à sucer, illico j’engloutis son doigt eu suçant le plus sensuellement possible, il me lapait divinement la chatte je devais donc lui rendre la monnaie, j’avais de plus en plus de mal à me contrôler tellement il léchait bien, sa langue passait partout, il n’oubliait aucun endroit, quel plaisir ! Puis il s’arrêta soudainement de me lécher et monta sur la table, il bandait dur et sans attendre il enfonça sa bite toute lisse dans ma bouche, elle glissa divinement et nous nous retrouvâmes en 69, il était au dessus de moi sa bite en biberon et sans réfléchir je me suis mise à téter, à biberonner, je ne sais pas quel terme était le plus approprié mais je me régalais en tout cas, sa bite était bonne elle sentait bon et rapidement j’eus ses couilles sur mon nez, il limait et je sentais son gland cogné au fond de ma gorge, sa bite ressortait presque entièrement et replongeait, je me suis mise à ronronner de plaisir, il était délicat et doux car il s’enfonçait doucement sans violence, il me laissait déguster sa bite sans réellement me violer et j’adorais cette délicatesse pour le remercier j’essayais tout en suçant de lui lécher les couilles, sa bite était au bon calibre pour ma bouche visiblement, je tétais comme une femme amoureuse.
Je biberonnais cette verge lisse qui m’était offert, c’était bon surtout qu’il me léchait la chatte avec le même talent qu’au début, il adorait ça visiblement et moi encore plus, je sentais des ondes liquides sortir de ma chatte et je ne me gênais pas de les lâcher sur cette bouche qui me régalait, quant à sa bite elle était toute baveuse, gluante je sentais un liquide coulé mais ce n’était pas encore du sperme, il mouillait de la bite et on pouvait même dire que nous mouillions en cœur car franchement chez moi ça commençait à devenir les grandes eaux, lorsque sa bite sortait de ma bouche je pouvais voir qu’elle était bien gluante, baveuse, son gland était recouvert d’une couche de bave assez abondante, je mouillais de la bouche, c’était visiblement ma salive qui recouvrait sa bite, j’étais totalement partie je ne contrôlais plus ce que je faisais mais je me suis juste souvenu que j’ai craché sur sa bite quand il l’a ressortie de ma bouche. J’ai soudain entendu la voix de Bernard dire : « Attend Didier je vais t’enculer, je te pointe avec madame en dessous » sans attendre je vis en effet la grosse bite de Bernard pénétrer le cul de Didier, la grosse bite était là à quelques centimètres de ma bouche, j’étais totalement prisonnière de ses deux types qui bandaient comme des purs-sangs et je vis les grosses couilles de Bernard venir cogner celle de Didier, j’avais une bite dans la bouche et deux paires de couilles à quelques centimètres de mes yeux et de mon nez, waouh quelle situation incroyable, qui aurait dit ça….c’était la première fois que ça m’arrivait et je ne voulais pas décevoir les deux messieurs, je tétais donc goulûment la bite de Didier, je sentais bien qu’il voulait la ressortir comme tout à l’heure mais il avait le gros calibre de Bernard dans le cul et ne pouvait donc pas trop jouer de sa bite comme il le faisait si bien. Je me retrouvait donc dans une situation où je pouvais réellement étouffer, je voyais le cul de Didier totalement écartelé et la bite énorme qui coulissait, je n’avais jamais vu ça de ma vie et un peu en panique je me suis demandé ce que je devais faire pour ne pas étouffer de cette bite qui ne coulissait plus dans ma bouche mais qui était bien planté et me remplissait totalement, je n’avais qu’une seule solution, essayer de vomir mes glaires et quand Bernard poussait dans le cul de Didier, son gland s’enfonçait dans ma gorge et je sentais réellement les glaires remontées, il ne fallait surtout pas que je les retiennes sinon je risquais de mourir étouffer et je me suis raclée la gorge comme pour vomir et j’ai senti mes glaires montées, coulissées sur la bite et ressortir sur les côtés de ma bouche, en soufflant j’ai poussé les glaires pour les évacuer avec un bruit de gorge immonde comme lorsqu’on dégueule ! Bernard en entendant ce bruit s’est immédiatement retiré du cul de son pote et a dit « Attention Didier elle étouffe je l’entends dégueuler ! » Bernard avec ses grosses mains à soulever Didier par le cul pour que sa bite se retire et j’ai dégueulé une bonne grosse quantité de glaire, c’était immonde, je tirais au cœur, je vomissais, les messieurs se comportèrent en gentlemen car ils me laissèrent reprendre mes esprits, haletante en me caressant le visage pour me rassurer, les yeux remplit de larmes j’ai tournée la tête et j’ai vu la grosse bite de Bernard à quelques centimètre de mon visage, son gland était rouge écarlate et tout baveux et en me regardant il me dit « Dis donc tu as bien biberonner mon pote hein, j’ai envie de voir comment tu te débrouilles avec le calibre au dessus » Didier me léchait toujours la chatte et j’étais partie ailleurs je ne cont ...
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