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L'apprentissage - La suite -

Publié par : lolabeauseins le 10/04/2023


Il ne se passe pas cinq minutes avant que le premier candidat ne se pointe, c’est un arabe, la soixantaine, grand mince plutôt beau mec, bandant quoi ! A peine assis il sort sa queue, joli spécimen, longue épaisse mais pas totalement réveiller.
« Suce » dit-il sans y mettre les formes. J’obéis immédiatement, l’engin est très tentant je le prends délicatement et le suce doucement, très vite je le sens gonfler, se dresser, ce mandrin était respectable au repos il est impressionnant en érection et j’en rêve dans mon cul mais c’est interdit par Enki. Je le sens se raidir, je ne veux pas qu’il jouisse tout de suite, alors j’arrête, et le caresse doucement mais le vieux ne veux pas de ça et me la remet dans la bouche et me tient la tête alors j’obéis encore et je l’enfonce profondément dans ma gorge le gars râle, m’appuie sur la tête fortement et me décharge dans la bouche, j’avale tout et je continue à le sucer, d’habitude les mecs me repoussent et se barre, lui, non il me laisse faire. J’adore cette bite, je la sens redurcir rapidement, je ralenti discrètement. Je ne veux pas qu’il crache trop vite.
Des mains baladeuses tentent de baisser mon jean, un gars est venu s’assoir à coté et est très intéressé par ce qu’il a sous la main, je le laisse faire et il comprend vite qu’il n’y a pas d’objection.
Je m’applique à sucer mon bel arabe, j’ai envie que cette queue s’enfonce vraiment dans ma gorge, vraiment au fond. Je change position, je mets un genou sur le siège comme ça je suis mieux aligné avec sa queue, parfait je la sens qui pénètre bien doucement je me relève et redescend sur cet engin magnifique, à chaque foi je la sens pénétrer un peu plus profond, je n’arrête pas le va et vient.
Mon changement de position a fait le bonheur de mon autre voisin, il glisse une main entre mes cuisses, m’attrape les couilles et les tire vers le bas pendant qu’il me bouffe le cul, j’adore la sensation, je lui fais comprendre en bougeant les fesses.
Mais c’est la queue mon principal soucis, j’accélère le mouvement, le gars râle avec deux mains me tient fermement la tête et d’un coup de rein me défonce la gorge, son jus coule dans ma gorge, il me tient toujours pour m’obliger à avaler, comme s’il fallait me forcer, mais j’aime bien qu’on me force aussi. Il me relâche mais je continue de le sucer, il me laisse faire un peu et me repousse doucement.
Je le laisse partir mais reste en position pour l’autre qui commence à m’enfoncer deux, trois, puis quatre doigts dans le cul il travaille bien je suis bien ouvert. Enki vient s’assoir à côté de moi il me donne sa bite à sucer et me dit : « Tu as bientôt fini, j’ai trouvé des mecs pour te défoncer. Je vois que tu te fais travailler le cul, c’est une bonne idée tu vas recevoir. »
Doucement j’arrête le gars, je dois y aller désoler.
« Comment ça se passe, on va où ? »
« Viens, on remonte dans la petite salle, mais d’abord on va faire un tour aux en bas, il faut que je te montre aux types intéressés. »
On descend aux toilettes du sous-sol. Enki m’attire dans un coin me dégrafe le pantalon, l’ouvre un peu passe la main sous ma chemise me pelote ostensiblement la queue et le cul, plusieurs mecs observent notre manège.
« Tu vas aller pisser, tu baisses un peu ton pantalon qu ‘on devine un peu ton cul, tu sors ta queue en te paluchant comme tu bandes, c’est parfait. Caresse-toi les fesses sur le pantalon et en dedans aussi, si des mecs viennent tu leur dis timidement en baissant les yeux - on regarde, on touche pas s’il vous plait monsieur. Compris ? OK vas -y »
Curieusement je n’ai pas le trac. Je m’approche des pissotières en me caressant les fesses, je force le trait je fais très ‘’folle en chaleur’’ avec les épaules dégagées
Je sors mon chibre, j’ai une barre d’enfer, en me paluchant je glisse une main dans mon pantalon et me caresse les fesses. Subitement toutes les places sont occupées, et tous les yeux sont rivés sur moi. Je jette un coup d’œil par-dessus mon épaule, apparemment tous les types qui trainaient sont venu au spectacle. Personne n’a cherché à me peloter je range tout et remonte le jean mais ne le ferme pas. Je me dirige vers le lavabo, me lave les mains, il n’y a pas d’essuie-mains je glisse mes mains sous ma chemise et m’essuie en me caressant la poitrine et je retourne me coller à Enki.
« Viens ce n’est pas fini. » il m’entraine dans les toilettes des femmes vers la cabine du fond met toi à poils quand quelqu’un vient, tu fais un petit numéro aguicheur tu vois ce que je veux dire ? mais surtout montre bien ton cul, c’est ça qu’ils veulent.
Je suis à poil, dos au mur de façon à ce qu’on me voit tout de suite en ouvrant la porte, une jambe relevée le pieds contre le mur derrière moi, la bouche entre ouverte la langue au bord des lèvres. J’attends, une vraie pute, Enki m’a dépucelé il y tout juste quinze jours et il avait déjà fait fort en m’offrant à deux mecs et en me prévenant il voulait faire de moi une pute. La semaine dernière c’est une douzaine de types qui me passent dessus, c’est bien parti.
La porte s’ouvre un type 1.80m 110kg a vu de nez des paluches énormes. Je me déplace, tourne devant lui en me caressant les fesses je lui tourne le dos me penche en avant, mes mains écartent mes fesses je lui offre ma rondelle, je pose mes mains sur les chiottes et ondule de la croupe.
« Je vais t’exploser le cul salope à tout à l’heure »
Je reprends la pose, Enki entre, me met la main sur la cuisse : « je ne sais pas ce que tu as fait mais il est comme un fou, il va te mettre quelque chose c’est sûr. Continue comme ça. » Il sort.
La porte s’ouvre de nouveau un turc du même gabarit entre, je lui fais mon numéro quand j’ai fini, que je suis penché les fesses tendues il me les claque sans douceur.
« On se revoie bientôt » et il sort.
Je suis en position, la porte s’ouvre, un mec costaud mais pas gros, pas très grand un regard très dur, je fais mon job quand j’ai le dos tourné il voit la trace de doigt sur mes fesses.
« Tu aimes les fessées ça me va »
De nouveau en position, cette foi la porte s’ouvre sur le gars qui me travaillait le cul on est tous les deux surpris mais je lui fait quand même mon numéro de racolage et quand j’ai fini, le dos tourné, il me chope les couilles et voit les traces de doigts.
« Il rigole, ça va très bien se passer je t’assure »
Je me remets en position, mais c’est Enki qui entre, il a un grand sourire,
« Tout le monde te veux, super si tu es à la hauteur ça va être très bien pour tout le monde, ne me déçois pas petite chienne ! »
« On va remonter dans la petite salle au troisième, tu te mettras à poil et tu attends s’il y a des mecs c’est du bonus pour toi tu fais ce que tu veux mais interdit de jouir, c’est pour les autres, d’accord ?» me dit Enki, il a l’air bizarre, je lui dis, « non ce n’est rien mais j’ai un peu le trac, je veux que ça se passe bien. » me dit-il
On sort ensemble de la cabine curieusement on dirait qu’il y a plus de monde dans les couloirs, ils ont les yeux rivés sur moi surtout qu’Enki me colle contre lui en avançant et glisse sa main dans mon pantalon ouvert et me caresse le sexe, regarde comme tu leur plais.
Les commentaires vont bon train, rien que des trucs qui m’excite bien du genre « oh Enki, alors c’est ça ta pute » « elle a une bouche à faire des pipes cette fiote » « oh Enki je l’ai vu se faire défoncer à l’Atomic par quatre mecs en début d’après-midi » et bien d’autre toutes aussi explicites.
On monte, deux trois mecs nous suivent, en arrivant devant les WC un peu avant le troisième étage Enki me tend un sac, « va te mettre à poils dans les chiottes. » Comme j’hésite, il devient virulent
« Me fait pas chier salope, tu fais ce que je te dis ou je te dérouille »
Je ressors de la cabine à poils, Enki est là, il y a deux autres mecs, ils me regardent ébahis Enki en colère me dit ;
« Je t’ai dit à poils vire moi ces pompes, tu as déjà vu une chienne avec des godasses » les deux mecs se marrent pendant que j’enlève mes chaussures et chaussettes, je mets tout à dans le sac et le donne à Enki. On sort, il me pousse devant lui je marche en me trémoussant et me caressant je regarde les mecs droit dans les yeux, personne ne se marre, quand j’arrive devant la porte de la salle, il y sur le côté mes quatre ‘’clients’’ l ...

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