Suite :
... Ma tante se fit obéir rapidement, mon petit trou ne tarda pas à se faire inonder. En quittant la salle de bain alors que j'étais encore au sol, Tonton me sortit cette phrase :
- Allez à plus tard, ma putain!
Il n'avait jamais été aussi méchant avec moi, ça m'a un peu choquée mais en même temps, l'idée d'être sa putain me plaisait. Sa chienne, son vide-couille quotidien, pourquoi pas. Avec joie, même. Puis Gwen débarqua à son tour dans la salle de bain. Un vrai moulin cette salle de bain.
- Je voulais te dire, tu veux pas qu'on invite Michel ce soir? Vu que les garçons vont sûrement aller au café, on sera tranquilles, ce sera la fête à notre cul!
- Tu rigoles? Le temps qu'ils partent au café, tes parents seront revenus. Moi je m'en tape mais si tu veux que ce soit la fête à ton cul, vaut mieux aller chez lui direct. Et tu verras sa chambre à baise..
- .. Et sa femme, juste. Répondit ma cousine, dépitée.
- On s'en branle la quetsche de la vieille je t'ai déjà dis.
Une heure plus tard, je lui en faisais la démonstration en arrivant chez notre amant. Evelyne était dehors, elle arrosait ses fleurs. Je sentis Gwen se crisper quand le regard noir de la vieille se posa sur nous.
- Bonsoir Evelyne! Il est là, Michel? Dis-je d'une voix guillerette.
- Tiens, la Lolita. Et bien, tu as amené de l'aide?
- Oui, exactement, je partage les bonnes choses, je suis comme ça, moi.
- MICHEL! Hurla t-elle, y'a ta chaude-du-cul, qui est là!
Une voix puissante se fit entendre depuis la petite maison.
- J'suis au téléphone, sois gentille avec la p'tiote ou tu auras affaire à moi!
- Si ces demoiselles veulent bien se donner la peine.. Dit-elle avec ironie et sourire forcé.
- Je prendrai bien une bière moi, tu en veux une aussi Gwen?
- Y'en a pas! Objecta Evelyne, d'une voix excédée.
- N'importe, dit Gwen.
- Ben, j'ai envie d'alcool. Alors offrez-nous quelque chose de bon, chère Evelyne! Je passe devant.
J'entra dans la maison et pris mes aises, en allant directement à la cuisine.
- Vas-y Gwen, assieds-toi. C'est sympa ici, hein? Bon, qu'est-ce qu'il fout le gros?
- Dis-donc, dit Evelyne en sortant une bouteille et des verres, j'espère que t'es pas venue pour foutre la merde.
- On devrait peut-être y aller Chloé.. dit Gwen.
- Hum! Du rosé, j'adore! dis-je en servant un grand verre à Gwen.
Puis je me planta devant la maîtresse de maison, pencha la tête sur le côté jusqu'à ce qu'elle me regarde dans les yeux. Je lui dis alors :
- Pas du tout, chère Evelyne, on est juste venues prendre notre coup de bite!
- Oh la p'tite pute.. Soupira-elle.
Michel entra brusquement et me claqua les fesses.
- Tout va bien ici? Qu'est-ce qui se passe?
- Tout va bien, je demandais à ton épouse pourquoi elle ne s'était pas sortit un verre. Pour boire un coup avec nous, quoi.
Elle posa un verre de plus et s'assit à la table. Et, tandis que je faisais le service, Michel se mit à me peloter le cul sous ma courte jupe. Je me contentais de soupirer en lui lançant un regard faussement agacé. Puis j'ai voulu m'assoir sur ses genoux mais il mis sa main. Donc je m'assis sur sa main.
- Oh la la, elle a le trou du cul moelleux comme une bouche! Dis donc, il a l'air d'avoir faim ce petit cul! Et hum, quel parfum! Tiens sens-moi ça Evelyne..
Il passa son doigt sous le nez de sa femme et non seulement, elle ne broncha pas mais elle sniffa comme s'il lui présentait une cuillère de soupe.
- Oui. Dit-elle d'une voix calme. Il rigola.
- Dis Chloé tu veux bien qu'Evelyne mette son doigt?
- C'est bon! coupa t-elle je vous laisse entre dépravés.
- Non, non je t'en prie Evelyne, vas-y puisque je suis une pute, tout le monde peut me faire ce qu'il veut! Dis-je d'une voix provocante. Puis je continua, Gwen, tu savais que Madame se tapait le patron de notre si gentil Michel pendant qu'il travaillait? C'est pas faire sa grosse pute, ça?
Michel éclata de rire,
- Bravo poulette! tu te défends très bien toute seule! Vas-y, donnes-lui sa punition pour t'avoir manqué de respect.
- Mais non voyons, je vais pas faire ça.. Ou bien juste..
- Ben quoi? Fit le gros.
- Elle pourrait nous regarder..
- Ah, c'est tout? Bon. Et, se tournant vers sa femme : Compris toi? Tu restes là, tu ouvres bien les yeux et tu en prends de la graine, parce que la petiote, c'est une artiste.
Puis il sortit sa queue. La vieille soupira encore, puis se recala sur sa chaise, croisa les bras et fit un rictus de dégoût. Gwen qui ne disait toujours rien, prit une grande gorgée de vin.
Je me colla contre lui et commença à me frotter contre sa jambe tout en lui caressant le paquet puis je saisis sa bite et commença à le branler. Je prenais des poses de salope, j'en rajoutait en me passant la langue sur les lèvres et en hochant du cul, ça m'excitait grave de faire ça devant elle. Une idée me vint tout à coup. Je me saisis de mon smartphone, le régla sur "vidéo" et le tendis à Evelyne.
- Tu peux filmer s'il te plaît? C'est pour faire chier un mec. Tu appuis là.
Michel rigola et baissa son froc jusqu'en bas. Toujours en mode chaudasse, je m'agenouilla et commença à passer ma langue sur ses parties génitales avant de saisir son zboub à pleine bouche pour le pomper goulûment. Il dit à sa femme :
- Mais filme correctement! Tu ne regardes même pas ce que tu fais!
- Oui, fais gaffe, ajoutai-je. Viens tout prêt qu'on voit bien ce que je fais.
Elle s'approcha et s'appliqua à sa tâche alors que je reprenais mon bouffage de couilles. Michel avait maintenant une belle gaule, et lui téter le gland devenait si savoureux qu'un filet de bave coulait sur mon téton. J'entendis Gwen poser son verre vide, puis se lever et, tout naturellement venir s'agenouiller à côté de moi. Je la connais bien, la simple vue d'une queue en érection la fait craquer. Elle se jeta littéralement sur la bite que je lui tendit. Puis on s'y mis à deux, on lui bouffait chacune une couille, on le léchait sur la longueur, on mélangeait nos langues sur son gland, le tout en bavant comme des chiennes en chaleur.
Je sentit qu'on me caressait les fesses, mais les deux mains de Gwen étaient sur Michel. Me tournant vers Evelyne, je pu constater qu'elle continuait à bien filmer. Je lui fis un clin d'oeil. Elle tapota alors son doigt contre mon anus et le porta à son nez. Je n'en revenais pas mais ne dis rien pour qu'elle reste dans le délire. Quand elle remit son doigt, je mis un petit coup de cul pour le faire rentrer. Elle le sortit aussitôt et le porta à sa bouche. Et elle recommença. Son époux remarqua enfin.
- Ben voyons! regardez-moi cette morue qui se met à tripoter ma copine! s'esclaffa Michel.
- Vas-y, fais-toi plaisir, Evelyne. Ajoutai-je en me mettant à quatre pattes et en lui tendant ma rondelle humide.
- Lèche! Dit Michel.
- Sûrement pas! Répondit-elle, et, s'adressant à moi: Il marche plus, ton portable..
- Oui, répondis-je, plus de mémoire, pas grave.
Michel en profita pour lui fourrer sa queue dans la bouche. Pendant qu'elle pompait, je me déshabilla complètement et retendit mon cul vers elle; Gwen se mit à poil aussi et se frotta contre la jambe du mâle en rut. Michel attrapa Evelyne par le chignon et doucement, la poussa vers mon cul. Elle finit le chemin toute seule et commença à me lécher. Gwen en profita pour se réapproprier le sexe de Michel, et moi je dis :
- Vas-y morue, bouffe-moi!
Elle se mit à lécher, et copieusement! Autant la chatte que le cul, avec de grands coups de langue. Personne ne la forçait, à mon grand étonnement, elle aimait visiblement ça.
Puis Michel posa Gwen sur la table et commença à la besogner. Elle avait mis ses pieds sur les épaules du mâle et poussait des petits gémissements de plaisir. Il s'adressa à sa femme :
- Il est bon hein? Dis-donc toi, tu m'étonneras toujours, j'aurai pas cru que tu aimais aussi bouffer des culs..
- Qu'est-ce que tu crois, moi aussi j'aime bien les petites salopes! Et ta nièce Emma, tu crois que je ne fais que lui donner des cours de tricot quand je vais chez elle?
- Emma, c'est une petite coincée..
- Tu es vraiment naïf, elle n'est pas coincée, elle est lesbienne. Et salope!
Pendant ce temps, je m'étais glissé sous Gwen pour lécher les couilles qui battaient la mesure. La bite sortit de sa moule et s'engouffra profondément dans ma gorge, et quel délice de téter le gros gland tout juteux! La vieille, elle, commençait à se désaper. Elle est moche, elle a le ventre et les seins qui tombent, un vieux cul plat et une grosse touffe rouquine. Rien à voir avec Cécile comme daronne.
- Viens en 69, me dit-elle.
- Ah ah! Tu m'as bien vu? y'a pas moyen. Répondis-je, pour ne pas être méchante. Tiens, reviens pl ...
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