Attention cette histoire est "trash", et elle fait suite à deux épisodes qu'il est préférable de lire.

« Amenez le réceptacle ! » cria le meneur
Deux des 8 mâles revinrent avec une sorte de demi-sphère métallique d’environ 50 cm de diamètre qu’ils posèrent au centre de la cuvette du WC collectif, à environ 2 mètres sous le fondement d’Alexia qui pointait vers le bas, elle-même ayant toujours les jambes attachées, orientées vers le haut et légèrement écartées. L’objet était une sorte de gros bol en métal, fixé par sa base à un petit cylindre en plastique souple. Le moindre choc sur cet objet était étonnamment sonore. Alexia comprit rapidement ce qui allait se passer et était de plus plus morte de honte.

« Allez Alexia, tu vas enfin te libérer » dit le meneur en saisissant le plug.
« Aides moi en poussant un peu » dit-il.
Le débouchage se fit instantanément, le meneur prenant soin de se positionner vers l’avant, de manière à ce tout soit bien visible des spectateurs mâles et spectatrices Sissy.

Commença alors l’incroyable spectacle de ce jet sous pression, qui dura … une éternité ! Les 5 litres d’urine étaient projetés vers le bas avec toute la pression produite par l’expulsion intestinale, et le jet jaunâtre percutait le métal avec une force inouïe. Le liquide tournoyait et ressortait du bol vers le haut pour retomber en pluie sur la cuvette en faïence, générant encore un autre bruit de pluie qui accompagnait l’effet visuel.

L’expulsion du lavement, c’était du grand spectacle, et la phase de jet puissant et continu dura bien 30 secondes ! 30 interminables secondes pour Alexia, tandis que l’assistance, d’abord bouche bée sous l’effet de la surprise, commençait à s’esclaffer puis à applaudir et féliciter Alexia tout en se moquant d’elle : « bravo la cochonne », « elle pisse comme un geyser » « quelle truie » « c’est immonde »… entendait- on au milieu des rires et des applaudissements …

Cette fois Alexia pleurait à chaudes larmes et ne cherchait plus à masquer quoique ce soit. Elle pleurait aussi de soulagement, car au fur et à mesure de cette vidange ignoble, ses douleurs abdominales disparaissaient. Mais le spectacle ne s’arrêta pas une fois le jet principal terminé, car les anfractuosités intestinales libérèrent du liquide bien longtemps après, liquide qui s’écoulait naturellement de l’anus élargi d’Alexia. Epuisée par ce traitement, elle avait perdu totalement le contrôle de ses sphincters. Ce reste d’urine continuait donc à s’écouler par l’anus en même temps que sa vessie pleine se vidait par son pénis flasque en un autre jet sur la partie périphérique de la faïence.

Au bout de 4 ou 5 longues minutes, ce fut enfin fini, on continuait juste à entendre quelques gouttes faisant « plic ploc » sur le métal, au fur et à mesure que le silence se faisait dans l’assistance. Alexia pleurait toujours, le plus silencieusement possible.
« C’est magnifique Alexia, tu as fini de souffrir.. et tu vas maintenant pouvoir profiter de ces beaux mâles ! »
Alexia entendit cette phrase, hébétée. Ils n’allait tout de même pas la baiser après ça ?
« Ben on dirait que ça te fait pas plaisir ma belle ? 
- Heu… ben …
- Tu sembles avoir oublié pourquoi tu es à Sissyland ! L’épreuve n’est pas tout à fait terminée parce que ces mâles alpha qui s’occupent de toi n’ont pas joui, je te rappelle.. et leurs couilles sont pleines ! La moindre des choses maintenant pour toi, c’est de les satisfaire en t’occupant d’eux et en leur offrant ta chatte !" asséna le meneur avec force.
"Euh …Oui Monsieur, vous avez raison » répondit Alexia. Elle était sidérée autant qu’épuisée, mais elle n’avait pas le choix. Il fallait qu’elle retrouve sa libido, qu’elle retrouve l’énergi ...

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