C'est un morceau de Paradis qui a miraculeusement résisté au déluge il fut peuplé de couples paisibles , vivant comme Adam et Eve sans se préoccuper de la notion de pécher: tout était innocent et pur: les uns et les autres se croisaient , se rencontraient, se divertissaient les uns les autres : certains aimaient se rencontrer , se caresser se faire l'amour... d'autres préféraient rester à l'abri des buissons pour se régaler en solitaire.
Un jour j'ai débarqué sur cette île innocemment, pour cueillir de végétaux pour faire des paniers , des corbeilles des nattes Je ne peux pas vous cacher que j’appréciais la vue de ces corps qui s'offraient joyeusement au soleil et aux autres et puis un jour j'ai été particulièrement émoustillé par deux hommes tendrement mais vigoureusement enlacés , ils poussaient des gémissements de plaisir, innocent malgré mon âge , je me suis approché, j'ai vu , j'ai eu des frissons dans le tout le corps. Et j'en suis resté là.
Quelque jours après , j'ai repris ma cueillette , mais envahi par d'autres idées. Je me suis allongé sur les galets à l'ombre des saules , faussement dissimulé et j'ai attendu…. Un homme s'est approché , se caressant vigoureusement le sexe et me regardant fixement. Je me suis enhardi , me suis agenouillé, il s'est approché, je l'ai sucé , timidement puis avec conviction: j'étais conquis (j'aurais du écrire "perdu", mais je sentais que j'aimais ça).
Malheureusement un jour , alors que nous devisions avec d'autres couples un pervers mal élevé est apparu brandissant son instrument et demandant à la cantonade "qui veut baiser avec moi" Le charme était rompu, nous tombions dans la vulgarité , dans le sordide. Ce fut le début de l'exode... les couples se firent plus rares , les mâles méfiants.. Petit à petit il n'est plus resté que quelques satyres. Ainsi depuis chacun a son petit espace protégé par une tacite convention entre nous et nous nous rencontrons au gré des promenades ou plutôt des recherches.
Pendant cette période j'aimais à discuter avec un monsieur qui s'exposait discrètement au soleil,
un jour , brutalement il me dit "elle vous plaît, vous la regardez avec envi", et il a ajouté" l'homme au chien m'a dit que vous consommiez" ,alors je me suis pris au jeu, je l'ai "gâté". nous aimons nous retrouver "par hasard", et alors je lui fais les plus belles fellations possibles: j'adore poser mes lèvres sur son gland bien lisse , bien dur bien brillant, j'adore les gorges profondes pendant qu'il me masturbe, contrairement à moi il répugne à faire des fellations, nous nous donnons du plaisir pendant longs moments toujours trop brefs. Il m'a appris à lécher le long de la hampe , à gober chaque testicule, il branle vivement , mais cherche la douceur de ma langue qui chatouille son frein , et ma glotte qui titille son méat.
Nous nous cachons de façon à être vus par ceux qui cherchent, il arrive parfois qu'un troisième satyre se joigne à nous… Nous ne pratiquons pas la sodomie , mais ce doit être l'âge…
Quoique…
Un après-midi , alors que je m’approchai de mon espace favori je vis deux corps allongés presque côte à côte: j'en connaissais un ,c'était mon complice , mais pas l'autre. Ils m'ont invité à prendre place entre eux deux .
J'y fus.
Et la je me sens vivement couvert de caresses , je bande et j'embouche la pine bien connue , tandis que l'autre homme tout en me caressant les seins se met à me masturber , cela m'excite ...

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