(suite du séjour de Heÿkke, la correspondante allemande de ma fille)
Après cette baise improvisée pendant notre footing dans les bois, je devrais être rassasié mais je suis toujours excité par cette petite salope.
Du haut de ses 18 ans elle a l'air de savoir comment retourner la tête des hommes, enfin surtout leur bite.
Nous rentrons à la maison.
La petite part à la douche pendant que je prend un café. Le nez dans mon téléphone, je relève machinalement la tête en entendant la porte de la salle de bain s'ouvrir quelques minutes après.
Heÿkke en ressort complètement nue et s'envelloppe très lentement de sa serviette de bain en me regardant d'un air coquin.
Elle arrive dans la chambre de ma fille. Je les entend discuter
"j'ai oublié de prendre mes vêtements"
"mais, ça l'fait pas, il y a mon père !!"
"j'ai fait attention, il pas vu".
Elle veut vraiment profiter de son séjour cette coquine.
Les filles passent leur journée entre la visite de quelques lieux et le volley-ball où ma fille va suivre son entrainement en fin d' après midi.
Je fais un peu de ménage à la maison et de bricolage.
Toutes mes pensées vont vers la petite Heÿkke. Elle est terrible. J'en veux encore.
Le soir, ma femme rentre du travail en râlant. Elle doit remplacer une collègue jeudi soir et finira vers 03 heures du matin.
Le jeudi soir arrivé ma femme part travailler avec une gamelle que j'ai pris le temps de lui préparer.
Je mange avec les enfants. Tous le monde va rapidement se coucher.
Je ne tarde pas à y aller aussi.
J'ai du mal à trouver le sommeil. Depuis l'arrivée de Heÿkke, c'est compliqué de m'endormir, mes pensées vont vers cette coquine.
Je sombre néanmoins doucement dans les bras de morphée.
Dans un demi sommeil, je sens une présence dans la chambre. Le chat, mon fils venu réclamer de l'eau ?
J'allume et découvre Heÿkke. Alors que j'allais lui demander ce qu'elle fait là, elle glisse rapidement son doigt sur ma bouche pour me faire taire.
"faire pas de bruit, Élise pas entendue me lever."
La gazelle me rejoint dans le lit et retire son large t-shirt dévoilant son corps parfait.
Elle me pousse à m'allonger en me roulant une pelle langoureuse.
Sa main part à la recherche de ma queue qu'elle carresse au dessus de mon caleçon.
La coquine se place à califourchon au dessus de moi en continuant à m'embrasser.
Elle ondule du bassin, fro ...

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