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La factrice (2/2)

Publié par : francinne le 16/08/2017

Comme à son habitude, elle entra en trombe.
Son regard fit un rapide tour de la pièce.
Nadine fichée sur le gode, l’écran déroulant des images obscènes, la valise d’objets et moi m’activant sur le dard de Marc.
Eh bien mon lapinou, on ne s’ennuie pas ici ! Moi qui te croyais sagement assis à regarder la télé ! Mais tu es jolie habillée en petite pute ! Tu ne m’avais pas dit que tu avais des amis aussi chauds. Tu ne me les présentes pas ?
J’étais un peu décontenancée. Stoppant mes mouvements je voulus me retirer de la pine mais elle se précipita et m’appuya sur les épaules, ce qui me fis redescendre jusqu’aux bourses de Marc.
Non, non, continues ! Je suis Edwige. Vous ne verrez pas d’inconvénients à ce que je me joigne à vous ?
Elle enleva prestement son top, dévoilant sa magnifique poitrine enserrée dans un soutien gorge corbeille en dentelle orange.
Moi c’est Nadine et voici mon mari Marc. Oh oui, venez nous rejoindre. Vous avez des seins magnifiques !
Je me mets à l’aise et j’arrive !
Son pantalon vola au travers de la pièce. Quel corps splendide ! Les portes jarretelles semblait être le cadre d’un tableau centré sur une chatte mordorée à peine voilée par le string ficelle.
Je ne regrettais pas de lui avoir offert cette parure quelques jours auparavant.
Puisque mon euh ma chérie est occupée avec votre mari, il me semble normal de partager votre plaisir.
Permettez-moi de lécher votre fente qui me parait bien humide.
Joignant le geste à la parole, elle s’agenouillât devant Nadine et enfoui son visage entre les cuisses béantes.
Jamais je n’aurais imaginé vivre une telle situation, ni surtout que Edwige puisse être bi !
Oh oui ! Suces moi le bouton ! Lèches moi l’abricot ! Fais-moi couler la chatte !
La grosse queue qui me limait et la scène de gouinage sous mes yeux emportèrent ma résistance. Je sentis une double jouissance m’envahir. La chaleur venue du plus profond de mon cul se généralisa et j’envoyai un copieux jet de foutre qui s’étala sur le parquet.
Regardez, la salope, elle a jouit sans nous attendre cria Nadine.
Relevant la tête, Edwige lui répondit : ne t’en fais pas, on a encore des ressources. Ton mari, une valise pleine d’objets rigolos et puis je connais la bête ! Elle récupère vite ! Mais je me taperais bien une queue moi aussi !
Moi je préfère continuer à défoncer cette chienne précisa Marc en me saisissant par les hanches pour mieux rentrer en moi.
Quel salaud ! Il m’empalait à fond. Ses burnes tapaient contre mon cul de plus en plus fort. J’allais bientôt avoir un autre orgasme culaire !
Alors voyons ce qu’il y a dans cette valise qui puisse me contenter. Oh un gode va et vient ! C’est pour moi !
Elle s’étendit sur le tapis, puis écartant son string enfonça d’un coup le gode au centre de sa merveilleuse toison rousse.
Mon gland commençait à relever la tête…
Mhhh, c’est bon cette bite en plastique dans ma fente ! Attend Nadine, je vais reprendre ma léchouille, tu as si bon goût.
Une main tenant le gode, sa langue reprit son activité, allant des couilles du gode ventouse jusqu’au clito de Nadine, suivant le mouvement de pénétration.
Oh oui, lèches moi bien ! Aspires moi le clito ! Tu suces bien salope !
La queue de Marc gonflait en moi et soudain un jet chaud m’envahi le fondement.
Ah, ah, ah, je jouis dans son trou de pute ! Putain c’est bon !
Je me relevai et senti le foutre dégouliner le long de ma raie et couler sur mes cuisses.
J’en veux cria Nadine en se détachant du gode.
Allonge toi et écartes les jambes, Francine, on va te nettoyer, hein Edwige ?
Je me mis en position et tandis que l’une lapait le jus qui sortait de mon trou, l’autre m’astiquait le sexe.
Une telle situation ne pouvait avoir qu’une issue : je crachai à mon tour une giclée abondante aussitôt récupérée par la langue gourmande d’Edwige.
Les deux filles s’embrassèrent à pleine bouche pour échanger les deux jus onctueux.
Ben mes salopes, vous voila rassasiées murmura Marc.
Oui et non ! On voudrait bien nous faire exploser le cul nous aussi, hein Nadine ?
Mais il va falloir se rabattre sur les godes. C’est pourtant tellement meilleure une vraie queue de male.
Attendez, je vais vous montrer comment regonfler la bonne bite de Marc.
J’attrapai la pompe à pénis et après l’avoir branloché pour acquérir un minimum de raideur, introduisit le pieu dans l’objet.
Après deux ou trois pressions sur la poire à vide, celui-ci remplissait complètement le tube de plexiglas.
Et voila ! M’écriais-je triomphante en retirant délicatement le tube, l’engin est prêt à fonctionner !
A peine la pompe retirée, Edwige vint s’empaler sur le dard tendu.
Ah oui, défonce moi la moule, gros vicieux.
De voir les grosses couilles cogner contre le clito gonflé d’Edwige me regonfla un peu le mien.
La poire entre les dents, Nadine enfila la pompe sur ma bite.
Si ça a marché avec Marc, ça doit marcher pour toi aussi ! Tu va déjà aller t’asseoir sur la table. Les pédés comme toi bandent plus vite avec un gode dans le cul !
Je m’accroupis au dessus de la table et m’enfonçai le gros manche de latex encore humide de la mouille de Nadine.
Lorsque les burnes synthétiques m’arrivèrent à la raie, mon engin à moi était opérationnel.
Se mettant à quatre pattes, Nadine m’implora : viens me défoncer, je veux me faire baiser par une femme à bite. C’est trop délire.
Je saisi ses fesses à pleines mains et forçai sa rosette d’un coup. L’étreinte du muscle me laissa penser qu’elle ne devait pas souvent pratiquer la chose…
La salope, elle m’encule à sec !
Va y oui, c’est trop bon ! Fais moi jouir du cul sale pute ! Après je te ferai la même chose !
La pensée de subir ce sort me fit frissonner de plaisir.
Marc et Edwige avaient changé de position. Couchée sur le tapis, celle-ci se faisait ramoner le rectum par une bite énorme.
Et dire que j’avais prit le morceau dans le cul quelques minutes avant.
Oui, continue, c’est bon, oui, je jouis ah, je jouis…
Nadine tout en se paluchant la fente imprimait des mouvements de cul circulaires qui me firent un effet fou. J’avais le gland en feu.
Je me mis à bêler à mon tour : je vais venir aussi, tu me serre bien salope !
A ces mots, Edwige se désencula de Marc et me tirant en arrière s’écria : non ! Largues pas ta purée dans son cul ! Je veux ton foutre pour moi toute seule ! Décharges moi dans la bouche.
Elle goba mon membre et la pression de ses lèvres autour de ma bite accéléra la montée de la sève. Je me lâchais dans sa gorge en dix secondes.
Le renversement de situation avait fait que la queue de Marc était à dix centimètres de ma bouche.
Je le happais goulûment, appréciant l’odeur de mâle en rut et cell ...

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Mots-clés : En partie vraie, Bisexuel, Trav, A plusieurs