J’ouvre la porte et découvre une grande pièce richement décorée et très lumineuse. Je me rends compte que le miroir dans lequel je devais me regarder est un miroir sans tain. Le maître était donc en train de m’observer quand, nu, je tournais sur moi-même. Tata Ninie est de forte corpulence. Elle m’interpelle et je devine qu’il s’agit d’une trans ou au moins d’une trav. Elle me fait asseoir sur le petit tabouret qui est en face d’elle et se saisit directement d’une pince à épiler ; elle s’attaque à mes sourcils. Je me tais car je sais que je dois me montrer docile et ne pas moufter. En peu de temps, elle a l’air satisfaite de son œuvre et me dit que je lui semble un excellent modèle. Elle ajoute qu’elle va réussir à satisfaire le maître avec moi si mon mental égale mon physique. Elle me montre une sorte de cheval d’arçon sur lequel elle m’allonge les fesses en l’air, jambes et couilles pendantes. Elle badigeonne ma raie et mes testicules avec une substance tiède. Ensuite, elle m’attache le torse sur ce « meuble » et les pieds et les mains au sol. Je suis totalement entravé, à sa merci. Je ne la vois plus car elle est passée derrière moi et je sens sa main qui effleure le haut de ma raie et je devine qu’elle manipule la substance qu’elle y a déposée auparavant. Cette dernière s’est desséchée et elle me tiraille la peau. Ninie m’arrache alors un cri de douleur en tirant brusquement sur cette sorte de masque de beauté qui, durci, a emprisonné mes poils qui sont arrachés en même temps ! Je suis en train de me faire épiler à la cire une partie de moi des plus intimes et sensibles. Des larmes coulent de mes yeux tant la souffrance est grande. J’entends la porte qui s’ouvre et je prends une rafale de coups de fouet sur les fesses. Alors que ma bouche s’ouvre pour laisser échapper un nouveau cri, je me ravise à temps et serre les dents. Arthur m’indique avec rudesse qu’il ne saurait accepter un nouveau cri de ma part : je dois me soumettre sans mot dire ! Ninie continue son travail de « lissage » de mes parties intimes et me détache quand c’est fini. Elle me fait me tenir droit devant elle et elle se saisit d’une paire de ciseaux et s’approche de ma verge. Je sens un réflexe de fuite s’initier en moi mais je me ravise à temps en comprenant que Ninie ne va pas me la couper. En fait Ninie s’attaque à mes poils pubiens de façon à les coiffer en une jolie toison. Elle me dirige vers un miroir qui va du sol au plafond sur quatre mètres de largeur et effectivement c’est la classe ! C'est différent de l'aspect de ces chiens ou chats sans poils.
La porte s’ouvre de nouveau et c’est la femme croisée hier qui entre. Sans dire un mot, Elise se déshabille et je découvre un entrejambe qui est coiffé dans le même style que le mien. Elle s’approche de moi, écarte les cuisses, appuie sur mes épaules et m’enjoint de la faire jouir avec la langue. Ninie indique qu’elle sait comment il faudra qu’elle me maquille et s’en va ; Arthur nous regarde. Je m’applique durant plusieurs minutes mais aucune réaction de la part d’Elise. Arthur intervient et me pousse sur le côté. Il m’explique comment procéder pour atteindre l’objectif fixé. Il me montre les différents éléments des parties génitales d’Elise et m’indique comment parcourir ces différentes zones pour découvrir celle qui est la plus érogène. Il titille alors le clitoris d’Elise entre deux doigts et celle-ci ne peut réprimer des mouvements qui indiquent son plaisir. Arthur m’ordonne de tout reprendre à zéro, en partant des zones les moins sensibles jusqu’à aboutir à cette cible qu’est le clitoris d’Elise. Je m’affaire et en profite pour me délecter de cet élixir féminin qui suinte à chacun de mes coups de langue. Toute la vulve d’Elise est trempée de sa cyp ...
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