Elise est affalée sur moi après cette jouissance extrême et nous restons dans cette position jusqu’à reprendre nos esprits. Arthur nous aide à nous relever et nous offre une collation très revigorante. Il me félicite pour ma résistance anale et me tend un pot de crème à m’appliquer afin de soulager mon anus douloureux. Il précise que ça aidera aussi à l’élargir car il me faudra être prête dans deux jours. Demain, j’aurai une séance d’habillage avec Tata Ninie et probablement un premier essai maquillage. En attendant, il faut que je travaille la fellation, le cunnilingus et l'anulingus. Il accorde une pose à Elise et me demande de le sucer. Je reste à le regarder car il n’a pas sorti son engin. Devant mon hésitation, il me gifle avec vigueur et je comprends que je me dois de le déshabiller.
Je me baisse pour lui défaire les lacets de chaussures et je me prends une nouvelle salve de baffes. Il me relève et m’indique que s’il avait voulu du « vite fait mal fait », il aurait retiré lui-même ses grôles, baisser son froc et aurait planté sa teub dans mon gosier. Il veut de la classe, du tact, de la délicatesse, à la limite du romantisme. Il faut que j’apprenne à deviner les désirs des clients (il a utilisé ce terme de client). « Regarde-moi dans les yeux pour savoir ce que je veux, ce que je ressens… »
Je lui lance un regard de braise et il me félicite de mon initiative d’un geste de la tête. J’approche mon visage du sien, mes lèvres viennent en contact avec les siennes et ma langue lui propose de rencontrer la sienne. Il me laisse faire et me laisse l’initiative des mouvements de nos langues entremêlées. Là, je suis serein : j’ai toujours emballé les filles avec ma façon d’embrasser et je ne vois pas comment un homme pourrait avoir un avis différent. Arthur apprécie puisque je sens sa bite gonfler au travers du tissu qui la sépare de ma main. Ma deuxième main caresse ses cheveux avant de descendre dans sa nuque puis lentement le long de son dos. Je ne m’attarde pas longtemps sur ses fesses puisque l'objectif est de sortir son sgeg de sa cage en tissu pour le mettre bien au chaud dans ma bouche avide de sperme.
Arthur ne dit mot et pour cause : sa langue est fermement sous l'emprise de la mienne. Ma deuxième main passe devant pour rejoindre la première et dégrafer ce bouton de braguette peu récalcitrant. Je descends ensuite la fermeture éclair et je titille ce sexe dont l’érection est entravée. Je prends un malin plaisir à maintenir ce sgeg dans ses entraves tout en le caressant avec volupté. Ma torture est telle que c’est Arthur, lui-même, qui libère sa queue en écartant l’élastique de son sous-vêtement. Ma main sent bien que son gland est encore à moitié prisonnier de son prépuce et ne s’en préoccupe pas : elle vient se loger sous ses deux couilles bien lourdes.
Je poursuis mon travail dans la bouche d’Arthur tout en lui malaxant les couilles et la base de son pieu, désormais fièr ...
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