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La retraite spirituelle

Publié par : poupidou72 le 26/03/2024

Le trajet est relativement silencieux, le moine n’est pas très bavard. Après une heure de route, ils arrivent au monastère. Une vieille et grande bâtisse ressemblant à un château fort, ceinte de grands murs, située au sommet d’une colline. Une autre grande bâtisse située en bas de la Coline héberge un couvent selon les explications du frère THOMAS.

Le moine conduit Julien à sa chambre, une pièce mal éclairée, ne contenant qu’un lit une place, une petite armoire, une table de chevet, un bureau et une chaise. Le frère THOMAS lui communique les horaires et le lieu des repas. Il lui remet un fascicule contenant le plan du monastère et le programme des « réjouissances ». Il termine par une dernière indication « Ici le silence est d’or et tout ce qui se passe dans ces murs restent dans ces murs ! » puis quitte la pièce laissant Julien méditer sur cette dernière phrase. Qu’a-t-il voulu dire par cette dernière phrase ? Que se passe-t-il dans ces murs ?

La fatigue du voyage a raison de Julien qui s’endort du sommeil du juste dans un silence de cathédrale.
Julien est réveillé à 5 h par quelqu’un qui frappe à la porte. Il se lève, ouvre et tombe sur le frère THOMAS qui lui indique que le petit déjeuner est dans une demi heure dans la salle commune. Julien encore endormi acquiesce et s’apprête à fermer la porte. Le frère THOMAS lui suggère de s’habiller avec sa toge et de ne pas descendre dans cette tenue. Julien se regarde et n’avait pas fait attention qu’il avait ouvert la porte en boxer. Il surprend le frère THOMAS à le regarder intensément de la tête au pied avec ses yeux qui s’attarde sur la bosse que forme une érection matinale. Surpris et gêné, il pose la main sur son sexe et s’excuse de cette bévue. Le frère THOMAS lui rétorque « tout le plaisir est pour moi » accompagné d’un petit sourire. Julien ferme la porte, surpris par ce qu’il venait de voir et entendre. Il fait un brin de toilette et revêt sa toge en lin qu’il avait emmenée. Il sort de sa chambre, se rend au réfectoire et sans mots dire, il s’installe à la table commune.

Une vingtaine de moines est là, des jeunes et des moins jeunes, attendant le père supérieur pour les bénédicités avant de prendre le petit déjeuner. Aucun mot n’est échangé au cours du repas comme le veut la coutume. Après le petit déjeuner, le frère THOMAS, chargé de chaperonner Julien, le conduit dans une basilique pour assister à la messe matinale. À l’issu de l’office, ils se rendent à la bibliothèque pour 2 heures de lectures bibliques toujours dans un silence de cathédrale. Ils poursuivent par 1 heure de prière et méditation avant le repas de midi. Même endroit et même cérémonial que pour le petit déjeuner. Après le repas le frère THOMAS conduit Julien vers le jardin du monastère, c’est atelier jardinage pour cet après midi. Ils binent, ils arrosent, ils taillent un magnifique potager. Une dizaine de moine s’active pour entretenir le jardin. À 17h retour à la basilique pour une messe puis le repas à 19h et retour dans les chambres. Voilà le programme que Julien devra suivre pendant 10 jours. Le frère THOMAS l’accompagne à sa chambre et lui montre la sienne qui jouxte celle de Julien. « Si tu as besoin de quoi que ce soit n’hésite pas à venir me voir frère Julien » lui dit THOMAS. « Tu as le droit de sortir de ta chambre si tu veux faire des ballades nocturnes, mais sans bruit surtout ». Julien lui demande où se trouve les douches. Le frère THOMAS lui dit de patienter, qu’il va le conduire. Julien prend son savon et sa serviette. Il suit le frère THOMAS. « C’est ici » lui dit-il.

Julien scanne la pièce du regard, un long tuyau avec plusieurs pommes de douches traversent la pièce. Une chaînette est suspendue à chaque pommeau pour faire couler l’eau. Julien n’ose pas se déshabiller tout de suite alors que le frère THOMAS a déjà retiré sa soutane. Il est nu dessous. Julien l’imite et se place sous la douche. Il tire sur la chaînette et une eau froide en jaillit le faisant sursauter en poussant un petit cri. Le frère THOMAS éclate de rire pendant qu’il est entrain de se savonner le corps. Julien rit également de cette mésaventure. Il observe le frère THOMAS se doucher sous cette eau froide et se dit qu’il doit lui aussi y arriver. Il se lance sous cette eau glacée, frissonne, grelotte, ses tétons se durcissent sous l’effet du froid, il se tourne vers le frère THOMAS, celui-ci se savonne en sifflotant. Il passe ses mains sur l’ensemble de son corps du manière très énergique. Sans doute pour se réchauffer. Julien ne peut s’empêcher de le regarder, le frère THOMAS descend ses mains vers son intimité et avec la même énergie que pour le corps, il frotte son sexe, ses bourses, passe la main entre ses fesses en insistant sur son anus qu’il nettoie aussi très vite. L’eau froide coule sur Julien mais pris dans sa vision il n’y prête plus attention. Julien ne s’aperçoit pas non plus que ce qu’il regarde lui provoque une légère érection lui faisant gonfler son sexe. Le frère THOMAS remarque que Julien l’observe d’une manière étrange et lui demande ce qui lui arrive. Julien sort de cette vision et dit « rien rien ». Il entreprend son savonnage tout en se tournant légèrement pour ne pas que le frère THOMAS voit son taux d’excitation. Il se savonne à son tour de la même manière énergique que le frère THOMAS. Ce dernier entreprend son rinçage. Il penche la tête en arrière, l’eau coule sur tout son corps. D’une main il tient la chaînette et de l’autre il passe sur tout son corps plus doucement pour bien enlever tout le savon. Il s’attarde sur son sexe et cette fois il s’attarde plus lentement. Il se caresse, se décalotte son gland, passe sa main de haut en bas tout au long de cette belle hampe, qui grossit sous l’effet de cette gestuelle.

Le frère THOMAS ferme les yeux, il poursuit ses mouvements de va et vient sur son sexe qui grossit encore plus. Julien ne perd pas une miette de cette scène. Il est excité lui aussi, il se tourne dos au frère THOMAS par discrétion et se caresse à son tour. Il récupère son savon et enduit son sexe avec ce morceau de glycérine naturelle. Il tient son sexe et fait coulisser à son tour sa main le long de son membre doucement au début puis de plus en plus vite. La sensation de glisse avec le savon est divine. Il pince son gland violacé en remontant sa peau, il tire sa peau vers son pubis ayant pour effet de faire ressortir son joli gland. il réitère cette séquence plusieurs fois. Son excitation augmente de plus en plus. Il ouvre les yeux et il voit le frère THOMAS qui n’était plus sous la douche, il s’était séché et rhabillé. Julien pouvait voir qu’il bandait à travers sa soutane. Julien gêné de s’être laché ainsi s’excuse un peu honteux. Le frère THOMAS lui rétorque aussitôt « ce qui se passe dans ces murs, restent dans ces murs » accompagné d’un clin d’œil malicieux. Julien s’essuie très vite, revêt sa toge et ils prennent la direction des cellules. Le frère THOMAS lui glisse un « bonne nuit frère Julien » et ils rentrent chacun dans leur cellule. L’excitation de Julien n’est pas retombée malgré la séquence de la douche. Il s’allonge sur son lit nu et reprend ses caresses intimes. Après quelques minutes, il entend frapper à sa porte. Il se lève, le sexe à l’air en total érection, il prend une serviette pour se cacher et ouvre la porte. Le frère THOMAS rentre dans la pièce et referme la porte derrière lui. Il se dirige vers le frère Julien et lui demande si il n’a pas besoin d’aide, toujours avec ce petit sourire malicieux aux lèvres. Julien surpris de l’audace de cet homme d’église, reste s ...

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