Cette histoire est le pur fruit de mon imagination. Toute ressemblance avec des personnes ou des faits seraient purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d’une pure coïncidence lollll…..
Julien, la quarantaine, cadre dynamique dans une multinationale, grand, brun, les tempes grisonnantes, un physique entretenu dans les salles de sport de sa grande ville mais sans exagération, n’est pas heureux dans sa vie. Une séparation conjugale récente et douloureuse, une pression professionnelle devenue insupportable, le conduisent à un burn out inévitable. Alors qu’il discute avec un ami de toutes ces pressions psychologiques subies, de son besoin de lâcher prise avant la chute infernale, il lui vient une idée. Et si il partait faire une retraite spirituelle pendant un petit moment, histoire de se ressourcer, de retrouver un équilibre, une paix intérieure, de se recentrer sur l’essentiel en faisant un point complet de toute sa vie et en pensant à celle à venir.
Sa décision est prise, il recherche aussitôt les monastères offrant ce genre de service. Il en trouve un dans les montagnes iséroises. Au programme, méditation, lecture, prière, repos et silence. Sa décision est prise, il réserve une retraite de 10 jours dans cet établissement. Le rendez vous est pris pour dans 1 mois. Il règle tous les détails demandés par les moines comme l’achat de toges en lin beiges, des sandales types spartiates noires, un nécessaire de toilettes réduit au stricte minimum (pain de savon, gant de crin, rasoir, savon à barbe et blaireau).
Le jour J, il embarque dans le train l’emmenant à Grenoble. La température est idéale en ce début d’été. Il s’installe en première classe et entame un livre de poche acheté à la va vite au relai de la gare. Plongé dans sa lecture, il ne remarque pas une jolie femme, grande, brune, les cheveux attachés telle une hôtesse de l’air, vêtue d’un tailleur bleue marine et d’un chemisier blanc, ouvert suffisamment pour laisser entrevoir le début de sa poitrine. Elle s’est assise en face de lui et ferme les yeux, lasse de sa longue journée. Le train roule à vive allure et secoue les passagers dans une parfaite chorégraphie. Elle pose sa tête contre les rideaux et poursuit sa sieste. Julien remarque enfin cette jolie voisine et profite qu’elle a les yeux fermés pour jouer les voyeurs en la déshabillant du regard. Ses yeux commencent par sa bouche, ses lèvres pulpeuses légèrement entrouvertes, ornées d’un rouge à lèvre carmin. Il descend son regard le long de son cou jusqu’à son décolleté laissant entrevoir le début du galbe d’un de ses seins. Il remarque sa jolie peau lisse et blanche. Il remarque un petit grain de beauté entre la commissure de ses seins. Il poursuit son observation en descendant ses yeux le long de ses jambes, croisées et recouvertes de bas noirs, transparents. La position assise fait remonter sa jupe, laissant entrevoir la naissance de la dentelle des bas. Cette vision a un effet détonnant sur Julien. Son sexe se durcit aussitôt tellement fort, qu’il est forcé de discrètement le déplacer dans son carcan de textile pour ne pas lui faire de mal.
Alors que la passagère semble se trouver dans un profond sommeil et que Julien ne peut détacher ses yeux de ses longues jambes gainées de soies, elle décroise doucement ses jambes pour les recroiser dans l’autre sens. Lors de ce passement de jambe délicat de la jeune dame, Julien n’en perd pas la moindre miette. Son regard se porte immédiatement sur son entrecuisse rendu apparent par ce changement de position. La surprise est totale pour Julien qui peut voir que sa voisine ne porte pas de culotte. Il a juste le temp d’apercevoir cette jolie fente recouverte d’une légère toison brune. Julien n’en croit pas ses yeux et commence à avoir des bouffées de chaleur, son sexe est tendu à son maximum, il passe discrètement sa main dessus. Il prend son blouson et le pose sur ses jambes pour être sûr de ne pas être surpris à se caresser par qui que ce soit. Il ne peut détacher son regard de ces jolies jambes avec un espoir de revoir cette vision divine peut être lors d’un autre changeme ...

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