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La retraite spirituelle 3eme partie

Publié par : poupidou72 le 30/03/2024

Le lendemain, même rituel que la veille, debout 5h, repas, messe, lecture biblique, re repas, jardinage, re messe, re re repas et dodo. Toute la journée, Julien n’a cessé de repenser à ce moment passé avec le frère Thomas. Les souvenirs de cet acte nouveau pour lui, la texture douce de ce sexe d’homme, son gout, sa rigidité associée à sa chaleur. Julien n’en revient pas d’avoir fait cela et ne s’attendait pas à autant de plaisir ressenti. Il est tout excité à chaque fois qu’il y pense. Avant d’aller à la douche, il va demander, non sans arrière pensée, au frère Thomas s’il veut l’accompagner. Il frappe à sa chambre mais aucune réponse. Une autre moine passe devant la chambre et lui apprend que le frère Thomas est absent pour la soirée, pris pour une autre mission.

Dommage, résigné, il file à la douche mais ne s’y attarde pas, mis à part la propreté aucun autre intérêt. Il regagne sa cellule et dans un silence de méditation, il entend des chants religieux provenant du couvent situé en contrebas. Il décide de se lever et d’aller découvrir de plus près. Il revêt sa toge et entreprend de trouver un accès pour se rapprocher de ces jolis chants. Il passe de salle en salle, de cour en cour toujours en se dirigeant vers les chants. Dans une pièce, Il remarque une porte avec le mot SORTIE écrit dessus, Il l’ouvre. il voit un escalier qui descend on ne sait où. Il commence à descendre, un courant d’air referme la porte. Pas rassuré, il tente de trouver un interrupteur. Ses yeux s’habituent peu à peu à l’obscurité et il lui semble apercevoir une lueur en bas de l’escalier. Il descend en faisant attention de ne pas glisser sur les marches humides en pierre. Plus il descend et plus la lueur s’intensifie tout comme les chants qui se font de plus en plus forts. Il arrive dans un long corridor bordé de colonnes et il voit une vingtaine de nonne entrain de chanter des cantiques. Il se fait très discret et écoute pendant de longues minutes. A la fin du concert, les nonnes quittent l’esplanade et regagnent leurs chambres à la demande de la mère supérieure. Julien décide de poursuivre son exploration dans son corridor. Il arpente ce couloir dans la pénombre et remarque des lueurs dans le mur. Il s’approche et découvre des fines meurtrières dans le mur lui permettant de voir à travers les pièces, il peut découvrir une salle ressemblant à un réfectoire, une autre salle ressemblant à un atelier de couture et ainsi de suite. Il poursuit et il tombe sur une meurtrière donnant sur une chambre. A travers celle-ci, il remarque qu’il s’agit d’une cellule semblable à la sienne. Il n’y a personne dedans, toutefois il se prend à imaginer qu’il pourrait surprendre une nonne se déshabiller. Ses pensées lubriques le font sourire et l’excitent aussi un petit peu. Il se dirige vers la meurtrière suivante et là aussi la chambre est vide.
Il entend du bruit dans la suivante, il s’approche et voit une nonne, de dos, agenouillée sur un prie-dieu entrain de prier. Elle se lève et enlève sa coiffe, elle détache ses cheveux, ils sont longs et bruns. Elle fait glisser sa toge le long de son corps et se retrouve en sous vêtement. Vu de dos et dans la pénombre, la silhouette à l’air « interessante » se dit Julien. La nonne prend une brosse et se coiffe les cheveux lentement. Julien passe sa main sur son sexe et se pince doucement son gland qui grossit à la vue de cette nonne presque en tenue d’Ève. La séance de coiffure se termine, la religieuse pose la brosse et passe ses mains derrière son dos, elle dégrafe son soutien gorge et le pose sur une chaise, elle descend sa petite culotte et passe une jambe puis l’autre pour la retirer. Julien peut admirer sa joie paire de fesse, il augmente ses caresses sous cette vision mais il remarque après coup, que les fesses de la nonne sembles impactées par la gravité et sont quelques peu flétries. La nonne se retourne pour se saisir de sa chemise de nuit et Julien s’aperçoit qu’elle a un certain âge voire un âge certain. Julien se recule instinctivement un peu honteux d’avoir dérangé cette femme plus que mûre. Il décide de poursuivre sa ballade, son excitation retombe un peu.
Après quelques minutes et plusieurs meurtrières sans interêt, il tombe sur une chambre où se trouve 2 nonnes. Une est agenouillée sur le prie-dieu et la deuxième est debout à coté d’elle. De ce qu’il entend, il comprend qu’il y a une nonne novice et une plus expérimentée qui lui explique ce qu’elle devra faire au couvent. Julien intrigué par cette scène, décide de s’y attarder et de jouer aux espions. La prière finie, la jeune novice se lève et vient se poster devant sa tutrice. Julien entend l’ancienne dire à la jeunette qu’elle devra faire tout ce qu’elle lui enseignera et que ce qui se passe entre ces murs restent entre ces murs. La nonnette acquiesce timidement tandis que Julien repense à cette même phrase que lui a dit le frère Thomas. C’est l’omerta dans ces édifices ? pensa-t-il en souriant.
La tutrice se place à coté de la novice et lui demande d’enlever sa coiffe et sa robe. La nonnette hésite un instant, la marraine insiste plus fermement cette fois. La jeunette s’exécute et retire sa coiffe, sa robe et se retrouve en petite tenue. L’ancienne lui dit que ses dessous sont trop affriolants et ne sont pas convenables pour une nonne. Elle lui demande de les retirer pour les jeter. Dorénavant elle devra porter des dessous moins profanes. La nonnette enlève ses dessous également et se cache ses seins et sa petite chatte épilée avec ses mains. Julie n’en perd pas une miette. La marraine apporte une bassine en émail avec un broc d’eau. Elle en déverse la moitié dans la bassine, trempe une grosse éponge qu’elle frotte sur un savon et commence la toilette de la jeunette. Elle lui lave ses épaules, son dos avant de passer au devant. Elle lui demande de retirer ses mains sans attendre. L’ancienne mouille l’éponge une nouvelle fois et l’applique sur le torse de la demoiselle. L’eau froide ruisselle sur son jeune corps et ses tétons se durcissent instantanément, sa peau frissonne. L’eau suit les courbes du corps de la donzelle et coule sur son sexe imberbe. La nonne passe l’éponge sur ces jolis seins blancs, lentement elle en fait le tour et rétrécit ses cercles jusqu’à arriver sur les tétons durcis. La nonne les prend dé ...

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Mots-clés : Lesbiennes, Branle, Pénétration vaginale, Jeunes, Première fois, Soumission/domination