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La vendeuse du sex shop ( suite).

Publié par : patinet2 le 06/06/2022

J'avais raconté ici comment nous avions parlé masturbation et étions passé à l'acte avec une vendeuse dans l'arrière boutique d'un sex shop.
La période COVID et confinements m'avait renforcé dans ma pratique solitaire. A peine avais je tenté un ciné sex shop pour une branlette réciproque avec un jeune qui souhaitais aussi être sucé. Mais la peur du virus m'avait poussé à juste terminer la branlette en cours et à essuyer son sperme sur un mouchoir en papier. Le gars était parti et j'étais resté seul, mon sexe érigé ....
A ce moment, le visage de la petite vendeuse m'invitant à revenir si besoin traversa devant mes yeux...je me fis jouir en pensant à elle m'accueillant de nouveau.
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Le COVID passé, enfin semblant passé, je retournais à sa boutique un mardi juste avant midi.

Elle m'accueillit avec un sourire gêné.

Ah bonjour, un nouvel achat ?
Oui, mais j'ai pensé à vous revoir.
Ok, mais votre visite précédente m'a procuré des ennuis. Mon patron a visionné les caméras de surveillance et nous a vu nous masturber, il m'a donné un avertissement , le dernier avant licenciement. Donc plus de ça, par contre si vous allez m'attendre au bar à côté, je vous rejoint à midi.

Elle arriva à midi cinq, toute rose d'envie de discuter sexe et branle avec moi.

Elle m'avoua avoir multiplié ses caresses solitaires depuis ma visite. Elle avait essayé toutes les nouveautés du magasin, Enfin toutes celles qui aidaient à un plaisir clitoridien.

Les mecs m'ennuient, ils ne veulent que me pénétrer et les filles sont voraces, une amie m'a mordu le clitoris, je du consulter et suis resté un mois sans activité sexuelle ! Le médecin s'est foutu de moi !

Et vous, vous vous branlez toujours ?
Plus encore, le COVID m'a coupé du monde.

Je ne travaille pas cet aprem, je passe à 2 heures poser les clés à ma collègue et on peut passer la fin de journée ensemble.
Ok !

Repas avalé, clés déposées, en voiture vers son appartement.Ascenseur, entrée, salon, canapé, café.
Lily, c'était son prénom, fut franche et directe.

On se touche, l'un l'autre mais pas de pénétration sinon on arrête, ok ?
Ok !
Viens !

Direction la chambre, le grand lit, elle s'allonge se déshabille. Debout, j'en fais autant.

Je la découvre entièrement nue, potelée, seins épais, larges aréoles brunes, peau claire, se ...

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Mots-clés : En partie vraie, Hétéro, Branle