L'alcool aidant Lorène devenait de plus en plus irritable et les séances de face sitting et pisse devinrent donc de plus en plus fréquentes. Mais j'aimais vraiment m’avilir pour la satisfaire. La soumission presque la dévotion faisait que j'acceptai ces humiliations récurrentes même si maintenant elles étaient sans jeu ni second degré. Je l'aimais pour ce qu'elle était, un corps magnifique, un charme fatal, mais une colère terrible contre la vie que seule la domination apaisait. Sans ça je ne sais pas comment elle aurait fait d'ailleurs. Mais contrairement à Karine, fausse soumise qui manipulait Laurène grâce à sa dépendance à la domination, moi je commençai à me demander comment je pourrai vivre sans elle ! Même si, par moment, dans ses excès, elle me faisait peur. Mais cette peur faisait monter la tension et, finalement, l'excitation quand le sexe arrivait, car cela finissait toujours dans le sexe.
Ainsi un samedi matin je revenais d'une séance de sport qu'elle ne voulait pas que je fasse, et je la trouve sans rien en bas mais habillé normalement en haut et surtout très agitée. Je me dits ça y 'est, elle a apaisé sa colère en invitant un de ces nombreux prétendants pour la sauter. Ou plusieurs d’ailleurs pourquoi se limiter quand la moitié de l'immeuble, de ses collègues de boulot ou du club de danse rêve de la culbuté. Trop heureux de l’aubaine, Le mec à du la prendre contre la porte et elle a juste eu le temps de quitter le bas avant de se faire emplir le cul, elle a presque cessé les rapports vaginaux. J’espère juste que le mec ne soit plus là.
Sans que je n'aie le temps de comprendre ou de réagir elle me dit "c'est de ta faute !" et me plaque au sol. Rien que très normal jusque-là, depuis Karine nos ébats commencent souvent par un face-sitting violent. Je me dis juste que cette fois, il y aura en plus le sperme des heureux gagnants du « tirage » du matin...ce qui m'excite (je suis bi depuis des années). Et puis ça me touche, j'aime tellement sentir que je suis celui l'apaise...
Lorsque ce fessier que je vénère littéralement viens s'écraser sur mon visage je comprends enfin la situation...il n’y avait plus de papier aux toilettes ! elle a, sans doute, dû quitter le bas pour ne pas se salir et partir en quête du rouleau salvateur…et fatalement c'est de ma faute ! La rancœur et l'alcool aidant par mesure de rétorsion mais surtout par vice elle se torchait sur mon visage. Elle se frotte, s'agite, me plaque la tête avec sa main libre. Moi j'ai envie de la satisfaire je ...

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