Comme souvent,j avais publié une annonce sur un site de vente d objets d occasion et assez rapidement,j avais été contacté par un homme qui souhaitait faire l acquisition de mon taille haie.

Rendez vous etait donc pris chez moi pour l apres midi à 14h.
Ponctuel l homme m appela 5mn avant pour me dire qu il etait dans le village mais qu il ne trouvait pas ma rue...apres une courte discussion je compris qu il s etait engagé dans la rue de derriere la maison et qu à moins de faire tout le tour du village il ne pourrait pas faire demi tour.
Malgré la pluie battante je sortis lui faire signe de se garer et lui indiquait qu il etait preferable de finir à pied.Accompagné d un ami il me suivirent donc rapidement sous le déluge.

Malgre une courte course de quelques metres lorsque nous avons pénétré dans la maison,nous etions particulierement trempés.

Je proposais donc tout naturellement aux deux acheteurs une serviette apres qu ils eurent posé leurs vestes.
Un grand gabarit pour l un,manifestement trés sportif et une allure plus massive pour le second qui n en semblait pas moins musclé pour autant.

Une fois legerement épongés,les deux hommes et moi avons donc echangé quelques banalités sur ce foutu temps tout en avancant dans mon grand garage pour y chercher le taille haie en question.

L objet etant en parfait etat nous faisons rapidement affaire et pendant que les acheteurs finissent les verifications d usage je leur propose un café.
A mon retour,l attitude des deux hommes semble avoir changé et lorsque je me présente avec les trois cafés l un des deux dit à voix basse à l autre "tu es sûr de ton coup?"
L affirmation du second en réponse a la question ne me dit rien qui vaille.
"Que se passe t il? Un probleme avec le taille haie?"
"Non,non...il y a bien un probleme de taille mais pas de taille haie"
Ne comprenant pas je reste planté avec mon plateau de cafés le regard interrogateur...
"Vous comprenez..on s est déplacés,on a pris la pluie,d ailleurs vous le voyez on est trempés" et en guise d explication,le mec appuie sur le tissu de son pantalon en me montrant trés distinctement que l eau a effectivement trempé ses vetements qui laissent particulierement bien voir les formes...et les formes que je vois...me mettent en emoi.
Je feins alors de ne pas avoir compris et propose une remise d usage.
"Mon pote et moi on n a pas besoin de remise...par contre,il dit qu il te reconnait et qu en terme de compensation tu sais plutot bien y faire...il parait que tu "compenses" pas mal au F212".
Le doute n est plus permis,d autant qu il se caresse maintenant sans gene le sexe à travers le pantalon..un sexe bien epais et de taille tres acceptable.

Je vais pour poser le plateau sur la table dans le garage et alors que je suis tourné une main vient me palper le cul.
"Il parait que tu adores piper en te faisant mettre,petite salope!On va pouvoir tester les dires de mon ami sur ce canapé je pense,non?"

Alors là,on n est plus dans la transaction initiale.
Je suis toujours dos à eux et celui qui s exprime est maintenant collé a moi,la bite contre mon cul,la main droite sur ma hanche et la gauche qui s insinue sous mon pull pour me caresser le ventre.
Ca part alors trés vite en vrille.
Le trapu passe alors sa main derriere ma nuque,m attrappe par les cheveux et m incite à me pencher vers lui: il a déja quitté son pantalon et n a gardé que sa chemise,sa queue,petite mais épaisse bande déjà.
Je ne resiste pas (je ne veux pas resister d ailleurs) et me penche pour gober l epaisse bite.
Je commence a lecher,gober le gland,branler cette queue tandis que le second baisse mon pantalon sans délicatesse.
Lui non plus ne t ...

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