Arrivés au bord du lit, nous nous embrassons vigoureusement en partageant cette arrière-bouche de l’élixir de roubignole versé à la mode cosaque. Jérémie se couche sur le côté et je me colle à lui. Mes mains ne peuvent se départir de ses fesses et mes doigts persistent dans leur intromission de sa rondelle. Jérémie ne peut pas cacher son plaisir tant celui-ci est fort. Il se contorsionne en s’arrangeant pour que mes doigts le pénètrent le plus profondément possible. Je les tourne et les écarte afin de distendre au maximum cette rondelle que j’ai l’intention de traverser avec ma verge tendue. Je sais que Jérémie est totalement ouvert à toutes les propositions/positions sexuelles.
Je suppose que c’est plus par goût que par nécessité mais Jérémie me positionne sur le dos et entreprend de me bouffer la bite avec ardeur. Je me rends vite compte que cette position lui a permis de mettre sa rondelle à portée de ma langue et je ne me fais prier. Je lui écarte un peu les jambes afin de rapprocher la cible de ma langue qui se tend pour devenir la plus pointue possible et telle une lance, elle transperce cette rondelle déjà bien détendue, ouverte. Je tente de recroqueviller mon dard, une fois planté mais il y a de la résistance qui se traduit par des jappements de Jérémie. La manœuvre est audacieuse mais payante. Je lui asticote ainsi le fion pendant quelques temps et je radoucis ma technique en laissant ma langue plus détendue parcourir l’extérieur de cet œillet pourpre. Mes mains lui écartent les fesses pour faciliter ce massage anal. Jérémie est de plus en plus excité, ses cris jappements se sont transformés en râles et son bassin connait désormais des mouvements saccadés de moins en moins contrôlés au point que sa bouche en lâche son morceau de viande : ma bite a retrouvé l’air et sa fraîcheur.
Jérémie se relève et vient s’empaler sur mon pieu dressé. Il s’enfonce d’une traite rapide comme un mort de faim. Nos regards s’illuminent l’un l’autre de nouveau. Il commence alors une sorte de danse qui fait coulisser mon membre en lui, plus ou moins profondément, plus ou moins vite et parfois il virevolte tel son esprit libre. Je remarque un éclat dans ses yeux à chaque fois que mon gland se situe en lui à un certain endroit et dans un certain angle. Je remarque aussi qu’il recherche systématiquement cette position et je vois une nouvelle éruption au niveau de son méat. Cette fois la lave n’est plus translucide mais blanchâtre. Il avait gardé une réserve d’élixir vraiment bien au chaud ! Je glisse un doigt sous cette coulée afin de la récolter et la porter à ma bouche une première fois. A la deuxième, Jérémie me fait signe de partager. Quel gourmand !
Je me dis que je vais lui faire goûter le mien mais il ...

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