Je me lève un matin et j'entends du bruit à l'extérieur. Je regarde par la fenêtre de ma chambre, et je vois ma voisine, accroupit dans son jardin, qui plantait quelques plantes. Elle porte une robe d'été légère qui a bien du mal à contenir ses rondeurs. J'ai une vue plongeante sur celles de devant, ses deux globes bien visibles grâce à une large échancrure bien ouverte, quant à celles de derrière, je me dis qu'elle ne risque pas d'avoir grand mal si malencontreusement elle doit tomber à la renverse. C'est juste au moment où je me fais cette réflexion que, suite à un faux mouvement, elle bascule en arrière, les quatre pattes en l'air si je puis dire, les jambes bien écartées, et ne portant pas de culotte ceci me laisse voir son petit trésor intime. Je me dis qu'en la circonstance il était bien dommage que ce ne soit pas moi qui la culbute ainsi. Mais j'ai l'occasion de la croiser dans l'après-midi et elle m'invite à prendre le café. Dans le fil de la conversation, je lui avoue que j'ai tout vu le matin même. "Qu'est-ce que t'as vu ?" me demande t-elle. Je lui avoue la belle vision qu'elle m'a offerte et de l'effet que cela ma fait. "Mais tu es un gros cochon" me gronde t-elle, mais çà elle le savait déjà pour avoir déjà fait usage de mes services. Et je lui précise que cela m'a même donné des idées. "Quelles idées ?". "Et bien en voyant tes si avenantes entrées, tu m'as déjà invité à visiter celle de devant, mais je n'ai encore jamais eu le loisir de visiter celle de derrière". Elle fait semblant d'être offusquée, mais vu le nombre de fois qu'elle a déjà eu l'occasion de tortiller son popotin devant moi, je me doute bien que çà doit la travailler quelque peu. "Mais il parait que çà fait mal" me sort-elle tout de go. L'occasion faisant le larron et le sujet étant maintenant sur la table, je lui affirme que non, qu'il s'agit simplement de savoir s'y prendre et avec une bonne lubrification ce serait bien le moment de faire un essai. Elle va me chercher un gel dans un tiroir, puis s'appuyant sur la table de la cuisine, me tend sa croupe rebondie. Sa robe ultra courte permet un accès direct à sa rondelle sans qu'elle ait besoin de l'enlever, elle est ainsi prête à baiser. Bien lubrifiée, ma queue bien raide commence son approche par petits coups, m'arrêtant dès qu'une réaction réticente se fait sentir, et d'étapes en étapes, la pénétration avance doucement mais surement. Mon gland parvient enfin à franchir le premier obstacle et, après une petite pause, à être acceptée par la gente dame. Partant de là, j'entame mes premiers va-et-vient selon un rythme d'abord ralenti. Ostensiblement ses premi ...

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