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Le froid et un déplacement professionnel bien chaud

Publié par : loulou3131 le 03/02/2017

Le froid et un déplacement professionnel bien chaud
Envoyé pour réparer une machine-outil au fin fond de la Lozère, je finis tard 20h30 et devais rejoindre l’autoroute pour rentrer. La pluie froide dans un univers de brouillard, pendant des km et des km sur des petites routes. Les phares de ma voiture de fonction faiblissaient au fur et à mesure jusqu’à tomber en rade en plein milieu de ce désert de pluie et brouillard glacés.
Pas de réseau de tel mobile vraiment la merde. Pas une bagniole pendant des minutes et malgré mes essaies de redémarrer que dalle, je sors me prends la pluie enfin vous voyez le topo.
Mon seul espoir une lueur d’une lumière dans ce que je pense être une ferme. Je mets 5 minutes sous cette pluie froide juste muni de ma veste pour couvrir ma tête. J’arrive proche de cette maison les chiens heureusement attachés aboient et je m’approche de la porte d’entrée. Là un mec la quarantaine ouvre sa porte et me dit rentrez qu’est qui vous arrive ? Après une explication sommaire je lui demande de pouvoir téléphoner, il me fait entrez dans sa cuisine et me dit » tout d’abord tu vas te sécher sinon tu vas avoir la crève du siècle. »
Revenant à mes esprits, je vois le mec bien foutu en marcel bien décolleté et en slibard avec des cuisses de rugbyman et des pectoraux un peu poilu mais je ne suis pas là pour ça. Je m’approche de son poêle et il me dit « déshabille toit sinon ça sert à rien, je vais chercher de quoi te réchauffer ». Je retire mes fringues trempées et ne garde que mon tee shirt et mon boxer. Il revient dans la même tenu avec une bouteille et me dis « retire ton teeshirt, tu vas vite avoir chaud avec ça ». J’obéis et il se mit à me masser le dos avec un alcool maison, l’effet a été rapide. Il baissa mon boxer juste au niveau de mes fesses et me les massa avec son alcool. Je vous dis pas je n’ai pas pu maîtriser et me suis mis à bander. La honte. Il se mit devant moi et se mit à rire. « Ta queue c’est pour après je te finis les cuisses et les jambes ». Je ne disais rien sauf des mercis. Après m’avoir induit de cet alcool qui m’enivrer il me dit sur un ton ferme « vas sur le canapé » tout en retirant son marcel et son slibard « à poil on va être bien mieux » me dit -il. Il était super beau les mecs comme j’aime carré à vue d’œil 90kg de muscle mais dans ces cambrousses je me méfie des casses pédé. J’étais brulant et bandais d’enfer, impossible de me contenir il vient s’assoir en face de moi et me dit de déplier mes jambes (j’essayai de cacher au maximum mon érection). Je ne savais quoi dire et je répondais à sa demande. « Vas-y écarte bien tes jambes que je me régale » me dit-il en branlant sa bite je m’exécutai avec joie car là il n’y avait plus de doute. L’alcool et tout le reste était pour beaucoup car du coup je me faisais la rosette avec les doigts.
« Je ne pensai pas me taper une pute ce soir en plus à domicile »- « tu risques de prendre cher si tu continues » beurré je lui réponds enfin « je prends le risque » et je me lève et prends sa belle queue avec un gros gland dans ma bouche « salope ce n’est pas ta première tu as de l’expérience » « arrête » me dit-il mais je n’obéissais pas il m’attrapa par les oreilles et me dit « tu m’obéis » il se leva alla chercher une crème et reviens.
Je commençai à le caresser surtout ses pecs, ca m’excité il se touchait la queue en permanence « Retourne toi et mets toi en levrette ». Face à lui je me tenais en position dans l’attente de recevoir cette bite. Je la désirai il se mit à me bouffer le cul comme jamais, la langue titillant ma rosette, je gémissais il en était heureux « t’es comme les meufs à croire que tu es clito ». Il retira sa langue et me massa la rosette avec la crème m’ouvrit le cul avec un doigt (un gros) puis deux délicatement. Je m’agitai et il me dit » c’est maintenant que tu es bien chaude que tu vas en prendre ». Il me mit plusieurs claques sur les fesses et pas de main morte et entra sa bite bien huilée sans précaution. Je fis juste une petite haïe et il me dit « tais-toi et prends. » Je ne sais combien de temps il m’a ramoné ? 5- 10 minutes avec une putain de force, je fermais et ouvrais mon cul au fur et à mesure mais j’en ai perdu le rythme « tu vois ce que c’est un bousard maintenant et bien tu vas t’en rappeler un moment » Il est parti d’un grand râle et éjacula dans mon cul à mon grand regret. J’aurai aimé voir son jus sur moi. Je croyais que pour lui c’était fini, j’étais HS mais il me retourna m’attrapa les couilles d’une main et me branla avec l’autre avec un force d’enfer. J’ai joui dans la douleur mais avec un bonheur extrême
« Merci mec voilà quelques jours que je n’avais pas baisé ni mec ni femme c’était bon » maintenant on va appeler ton assistance. Il était 21h30 et j’appelai toujours à poils car vêtement pas sec., la dépanneuse ne pouvait venir que dans 4 heures ou le lendemain, je laissai un message à ma boite sachant qu’il n’y avait personne et bien sûr j’ai préféré attendre le lendemain 6h 30. Au grand plaisir de Pascal qui me dit je n’ai pas de lit à faire pas de souci.
Il me diriga vers la douche (pas très chaude) et me regarda me laver il se remit à bander. Il me sécha avec une serviette chaude et me prêta un peignoir lui était sec toujours à poils mais un rude quoi.
Il mit sur la table de la charcutaille excellente et du pain et une superbe bouteille et nous avons commencé à parler de tout professionnel cul, foot, il me parla de rugby et de ses aventures sex autant avec les meufs qu’avec les mecs.
Nous en étions au fromage lorsqu’il me dit j’ai un copain pas loin avec qui je fais des virés je l’appelle et on passe un moment ensemble ? « Euh ben je sais pas » « C’est oui tu es maintenant obligé » il l’appela et lui dit de passer qu’il avait de quoi le régaler. J’ai compris que l’autre n’étais pas trop chaud mais Pascal lui dit un « cul ferme et bien ouvert à domicile ça te dis pas. » Pascal raccroche et me dis il arrive dans 10 minutes. « Attends il faut que je m’habille » rire de Pascal « tu vas même enlever ton peignoir allez enlève le et bois un coup de niole ». Je lui fis confiance et le lui dit il me dit « ne crains rien sauf pour ton cul mais pour le reste c’est un nounours. » Les chiens aboient dans la cour et j’entends une voiture, Jacques rentre sans frapper un peu mouillé et dit à Pascal en me regardant » tu as trouvé ou cette tafoille et s’approchant de moi sans me dire bonjour me mets la main au cul et dit c’est vrai un beau cul ferme. Bon tu me file un godet j’ai soif Pascal lui dit assis toi lui retire sa doudoune il a ju ...

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