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Le garçon accro aux effluves de mâle - 3

Publié par : jeune48000 le 14/05/2024

Quelques jours passèrent après cette superbe baise avec Gérard, et j’avais commencé à comprendre ce qui me plaisait réellement. Au-delà de son odeur (évidemment !!), c’était aussi son âge. Le fait que ce mec de 60 ans passé, grand, poilu, costaud, souille une petite crevette de 18 ans à peine et remplisse sa rondelle de son foutre, bordel c’était génial. C’était cela qui me plaisait par-dessus tout, le fait d’être la salope d’un daddy, de lui vider les couilles ainsi que la vessie. Ça me faisait tellement triper..

Juste avant de partir, j’ai décidé de lui envoyer un message pour le revoir, et cette fois chez lui ! La table de massage ça va deux minutes, mais clairement je préférais faire mes saloperies dans un lit. Coup de bol, sa famille était partie plus tôt, on avait donc le champ libre. Je pris donc ma voiture direction la maison de la perversion pour rejoindre au plus vite mon baiseur. Arrivé là-bas, je franchis la porte et me déchausse rapidement, avant de constater quelque chose. L’odeur était différente dans le hall. Bien sûr l’odeur de Gérard était là, toujours aussi puissante, mais il y avait autre chose, de plus suave, de plus animal. Je m’avançais vers le salon et je constata en entrant que Gérard n’était pas seul.

Un homme était assis à côté de lui. Une armoire à glace. Un grand nounours noir, chauve, barbu, avec un beau bide à bière, avec un débardeur blanc et un short. Putain de merde, c’était quoi ce plan ? Je salua l’homme d’une poignée de main tandis que Gérard se leva pour m’embrasser. Je ne savais pas quoi faire alors je lui rendis son baiser et ce dernier vint immédiatement me peloter le cul, devant ce gars que je ne connaissais pas ! J’étais tétanisé, que faire ? Partir ou rester ?

« Bah voilà Chris, ça c’est le petit mec dont je t’ai parlé ! Dit Gérard
- Ah ouais, je vois. Bah putain, t’es encore plus mignon en vrai, répondit-il.
- Merci… bafouais-je. Je vais pas vous déranger, je peux revenir plus tard.
- Bah non p’tit gars, enchaîna Gérard, reste avec nous ! Prend au moins le café tu verras après.
- Ouais ok, mais juste un café. »

Mon cul le café. Je voyais très bien ce qui commençait à se tramer et il était hors de question que ça arrive comme ça. Je ne connaissais pas ce type et il faisait certainement le double de mon poids. En même temps ça faisait très film de cul, moi assis sur un canapé premier prix, entouré de deux daddy bears bien chauds de la bite, c’est un fantasme dont beaucoup rêvent. Mais sur le moment, je ne savais pas comment agir.

La conversation se lança alors par des banalités. Comme s’ils m’avaient attendus avant de parler, bah tiens. Ils faisaient la conversation et je me contentais d’acquiescer.

« Et toi alors mon Chris, toujours en mer ?
- Bah ouais mec, les plateformes pétrolières ça fonctionnne 24/24 et 365 jours à l’année.
- Putain, t’en as pas marre à un moment donné ?
- Tu déconnes ? 5 mois de vacances par an, personne me fait chier et j’suis plein de thunes ! J’ai la belle vie crois-moi.
- Oui d’accord, mais quand t’as envie de tirer un coup ?! Me fait pas croire que tu tiens des mois sans te faire vider les burnes.
- Bah… tu trouves toujours de quoi faire. Entre mecs on a des envies hein, donc on éteint la lumière et hop, on soulage le colosse. »

Ils éclatèrent de rire, mais moi j’étais focus sur ce qui se disait. Chris était bien gay donc, j’en avais la confirmation. Putain mais dans quel guêpier je me suis fourré moi ? La discussion se poursuivait lorsque je remarqua un détail. Le short de Chris était déformé par sa queue et ses couilles, et putain il avait l’air d’être monté comme un âne le bougre ! Tout de suite des pensées me traversèrent l’esprit, je commençais à avoir chaud, eh merde.

« Et toi alors mon Gé, tu t’éclates à ce que je vois !
- J’me plains pas mon gars, je trouve toujours de quoi faire.
- Bah je vois ça, répondit Chris, tu dois pas t’ennuyer.
- Et encore, t’as rien vu du tout !
- Je m’en doute. Et toi alors petit mec, c’est quoi qui t’attire vers ce vieux débris ? »

Attends, c’est à moi qu’il parle ? Putain, je sais pas quoi dire.

« Euh… bah ouais je sais pas.. dis-je.
- Donc t’aimes les mecs murs c’est ça, demanda Chris.
- Oui je préfère.
- Et t’as déjà été en couple avec un mec ?
- Non…
- Putain Gérard c’est ton premier ? C’est lui qui t’a deviergé ?
- Oui c’est lui..
- Putain mon salopard ! Tu te fais pas chier, s’exclama Chris, t’as le flair !
- Oh tu sais, j’ai pas eu grand chose à faire hein, répondit Gérard, il avait déjà ça en lui. »

Ça y est la conversation dérape et je suis dans la merde. J’ai chaud, je sens leur odeur de mâle, j’ai envie d’eux, qu’ils me baisent, qu’ils me souillent, je ne contrôle plus rien.

« Mais bon reprenons petit gars, dit Chris, t’aimes quoi alors chez les mecs mûrs comme nous ?
- J’en sais rien..
- Leur odeur ? T’aimes renifler le mâle ?
- Oui…
- Ça te fait quoi comme sensation ?
- J’aime bien..
- C’est tout ?
- Non je… ça m’excite.
- Ah, voilà. Et t’aimerais me renifler moi ?
- Euh…
- Tu veux me renifler petit mec ?
- Oui pourquoi pas..
- Alors approche toi, tu vas déguster. »

Il leva son aisselle et pris ma tête pour l’en approcher. Son odeur était suave, bestiale mais aussi douce, c’était un mélange enivrant, j’adorai son odeur putain. D’abord timidement, puis ensuite avec mon nez collé contre ses poils, je reniflais son aisselle. Naturellement je me suis aussi mis à lécher, j’adorais le goût de sa sueur. J’entendais Chris gémir sous mes coups de langue, c’était tellement excitant.

« Putain mon gars, t’es un faux timide toi, ça se voit que tu aimes ça.
- Oui… j’aime ça. »

Chris se leva alors, il était grand putain. Son bide à bière était sexy, sa barbe, son regard fin bref, tout était sexy à ce moment-là. Il se positionna devant moi, j’avais alors son short devant mon visage, qu’il baissait ensuite pour laisser paraître son silp. Un slip blanc avec des taches de pisse. Un simple « sens » qui claqua comme un ordre poussa ma tête vers son paquet et putain que ça sentait bon. Ça sentait la bite de mâle, la branlette, la pisse, la sueur, c’était un cocktail détonant. Je reniflais alors son gros paquet en léchant aussi le slip et les taches. Au fur et à mesure je voyais une tache de precum apparaître sur son slip, il mouillait comme un fou et j’étais aux anges, ça avait si bon goût. Sa main caressait mes cheveux en même temps, comme des papouilles, c’était doux et sauvage en même temps, j’adorais.

« Tu me permets de l’essayer Gé ? J’ai trop envie de lui donner ma queue à biberonner.
- On va alterner t’inquiète pas, commence à te faire plaisir, de toute façon il adore la bite.
- Putain merci mon gars. »

Il libéra alors sa queue de son slip pour révéler un membre immense. Je me suis direct dis que ça allait être compliqué de sucer tout cela. Au moins 20 centimètres, mais très large ! Sa queue portait des traces de sperme séchés et puait la pisse, mon rêve. Je pris le membre en bouche pour faire plaisir à cet homme, et sa queue était un délice. Bien dure, beaucoup de mouille, et un très bon goût. Ma bouche était déformé par ce membre hors norme et j’eus plusieurs fois besoin de reprendre ma respiration pour ne pas m’étouffer. Les larmes coulaient toute seule mais j’étais heureux de m’empaler sur ce membre bien chaud.

Excité par le spectacle, Gérard sortit aussi sa queue et je me suis retrouvé à les sucer à tour de rôle. Aussi bien l’un que l’autre en essayant de ne pas faire de préférence même si la queue de Chris me faisait plus envie. Le spectacle était incroyable, j’étais entre deux gars à les sucer en même temps, et je prenais mon pied, moi aussi devant mes deux pervers du jour. Je leva les yeux au ciel pour les voir se rouler des pelles, putain ! Je redoublais d’efforts pour les faire gémir, je suçais l’un pendant que je branlais l’autre de ma main pleine de bave, ils gémissaient, me traitaient de chienne, pute à sperme, et je demandais davantage. Je plantais souvent mes yeux dans ceux de Chris quand je le suçais pour lui faire comprendre que j’aimais sa bite, sa manière de faire. J’en avais mal à la bouche et je bavais de partout, mais je m’en foutais, j’adorais ça.

Au bout d’un moment les deux se retirèrent et nous allâmes vers la chambre de Gérard. Tout était déjà prêt, capote, lubrifiant, c’était p ...

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