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Le garçon accro aux effluves du mâle

Publié par : jeune48000 le 03/05/2024

J’ai toujours été attiré par les odeurs.

Je ne saurai comment l’expliquer, mais j’ai toujours eu un odorat sensible, et ce pour tout. Mais cette sensibilité m’a amené vers un chemin que jamais je n’aurai pensé emprunter.

L’été de mes 18 ans, je participais à une brocante avec mes parents. En raison d’un déménagement, nous souhaitâmes nous débarrasser de nombreuses affaires, et nous avions décidé de participer au plus grand vide-grenier de la région. Si le matin avait été rythmé par de nombreuses ventes, l’après-midi et sa chaleur caniculaire avait découragé nombre de visiteurs. Ma mère étant parti chercher à boire, je me retrouva seul sur le stand, lorsqu’un homme âgé d’une soixantaine d’années vint devant mon stand pour regarder les objets en vente. Ce dernier avait le crâne dégarni, ventru, et barbu. Lorsqu’il s’approcha, une odeur vint électriser mes nasaux. Cet homme sentait le mâle, le mâle mûr, celui qui respire le sexe. Mais pas seulement le sexe, le sexe vicieux, pisseux, celui qui ne s’essuie pas lorsqu’il finit d’uriner et qui aime qu’on le sente. Il resta une dizaine de secondes devant mon stand avant de me regarder dans les yeux, me sourire, et se diriger vers un autre stand.

Sans un mot, rien. Cet homme m’avait foutu les frissons, une farandole d’idées plus perverses les unes que les autres me traversèrent l’esprit. Moi le jeune hétérosexuel, qui n’avait rien fait d’autre que baiser avec quelques copines de son lycée. Je ne savais pas quoi en penser, et j’en étais tout retourné. Une fois la journée terminée, je couru à la douche pour me masturber en pensant à nouveau à cet homme, et son odeur. Mon envie apaisée et les idées claires, je voulais en avoir le cœur net. Je décida donc de me mettre en quête d’un partenaire mûr capable de me mettre dans le même émoi.

Je vous passer la longue quête du jeune en recherche d’identité sexuelle, les tentatives infructueuses, la peur d’aller voir un homme chez lui etc… La vérité, c’est que je n’arrivais pas à m’enlever CET homme de ma tête, il m’obsédait, je me masturbais quasi quotidiennement en pensant à lui, alors que si ça se trouve, ce bon vieux monsieur était le plus hétéro du monde ! Mais je n’arrivais pas à me faire à l’idée. Et le destin allait me donner raison, seulement je n’avais pas idée à quel point.

1 mois plus tard, l’été touche à sa fin, je me prépare à quitter le cocon familial pour partir dans une grande ville afin de poursuivre mes études. L’homme m’obsède moins. Bien sûr je pense toujours à lui, mais cela est moins fréquent, je recherche moins activement un partenaire, bref, je suis passé à autre chose. C’est un événement tout à fait fortuit qui va tout relancer. Un ami me propose d’aller à un match de charité organisé par les deux plus grandes équipes de foot de la région. Il me persuade en m’expliquant qu’il y aura un apéro après le match et qu’on pourra boire à l’œil, une bonne après-midi en gros. Je décide de le suivre et clairement, je regrette mon choix pendant une bonne partie de l’aprem. Le match est chiant, et je n’attends que l’apéro pour m’amuser un peu.

Il y a beaucoup de monde, mon ami et moi enchaînons les pintes quand je sens une odeur. La même odeur. Je me retourne discrètement, et il est là. C’est cet homme, à quelques mètres de moi. Ce dernier ne semble pas m’avoir remarqué alors je décide de rester discret et je constate qu’il porte un Pin’s d’un des deux clubs qui a joué tout à l’heure. Je demande innocemment à mon ami des renseignements sur quelques personnes au hasard avant de porter mon intérêt sur le fameux. Il m’apprend que ce dernier s’appelle Gérard, qui a la soixantaine, et qu’il est un peu bizarre mais qu’il en reste sympathique.

Le problème étant que je ne peux aller lui parler de but en blanc. Je ne le connais pas et cela pourrait paraître bizarre. Cependant je vois que Gérard (appelons par son prénom maintenant) boit de la bière, je me dis donc qu’à un moment, il faudra bien qu’il aille se soulager. C’est à ce moment-là que je m’éclipserai aux toilettes et advienne que pourra. Cela ne manque pas, car 10 minutes après, je le vois quitter la conversation pour se diriger vers les toilettes. Mon cœur tambourine dans ma poitrine. Je doute, je me pose un millard de questions, mais je prends mon courage à deux mains et je prends la direction des toilettes.

Ce sont des urinoirs positionnés dans un algeco. Très rustre donc. Mais il n’y en a que deux, ainsi qu’un toilette handicapé. Gérard occupe l’un des deux urinoirs, je me positionne donc devant l’autre. Je sens alors la même odeur que la fois dernière, mais cette fois elle est puissante, presque violente, mais je suis comme hypnotisé parce ce que dégage cet homme. Pendant que je sors mon sexe, je vois que Gérard me regarde, le même regard que la fois dernière. Il me sourit aussi, le même sourire que la fois dernière. Et sans attendre, il engage la conversation :

« On s’est déjà croisé toi et moi non ? 
- Oui, je tenais un stand à la brocante.
- Hum. Tu joues au foot aussi ?
- Non, j’ai jamais été assez bon pour jouer en équipe une donc j’ai arrêté rapidement.
- Dommage, tu as un bon gabari. Tu es fin, tu pourrais facilement jouer ailier. »

En disant cette phrase ses yeux se posèrent sur mon corps et me reluqua intégralement, sans oublier mon cul. Je perdis aussi mon regard sur lui pour remarquer que ce dernier avait fini de pisser mais qu’il tenait toujours sa queue. Elle semblait à demi-molle, son gland était violacé et sa queue semblait bien poilue. Une queue de mâle.

Ce dernier égoutta son sexe tout en insistant bien sur le bout de son gland et remballa son paquetage. Il vint vers moi et me tendit sa main, que je serra aussitôt.

« Tu pourrais venir chez moi tu sais, histoire de tester ta condition physique. J’habite derrière le stade et je participe activement à la vie du club. Si tu fais l’affaire, je pourrai te trouver une place dans l’équipe une. »

Il finit sa phrase en me laissant son numéro de téléphone, et quitta la pièce. Tout s’emballait dans ma tête lorsque quelque chose me frappa. Il ne s’était pas lavé les mains avant de me serrer la main. Je porta ma main à mon nez et une forte odeur de bite me traversa de tout mon long, cela m’excitai comme un fou. Je me mis dans les toilettes pour handicapé afin de me lécher la main et me masturber frénétiquement pour jouir au bout de 30 secondes. Décidément, je voulais voir ce que cet homme avait à m’offrir. Il réveillait en moi des instincts encore inconnus, une envie animale de sexe et autre perversités, je voulais le découvrir.

Le lendemain, je me décide à lui envoyer un message afin de convenir d’un rdv, et ce dernier décide de m’inviter chez lui de bonne heure car il se lève tôt pour entretenir le stade. Je me prépare alors, et je décolle. Ce fut le trajet le plus long de ma vie, j’ai souvent failli faire machine arrière. Peur de ne pas aimer, peur qu’on me fasse faire des choses sous la contrainte, bref, un tas de pensées. Mais je décide quand même de me jeter dans la gueule du loup et je finis par arriver chez lui. Gérard m’accueille, il est habillé d’un simple débardeur ainsi que d’un boxer en Lycra qui semble être taché mais je n’y fais pas attention. Il m’explique qu’il vient de finir de tondre la pelouse et s’excuse de son état. Lorsqu’il me fait la bise, j’ai l’impression que l’odeur est encore plus forte. Il sent l’homme après l’effort, mais garde aussi cette odeur quasi sexuelle. Ce savant mélange a un effet détonnant sur mon sexe et je le sens se dresser dans mon boxer.

Je m’installe sur son canapé et ce dernier me sert un coca. Il prend aussi son ordi afin de me montrer quelques extraits vidéos des derniers matchs de la saison. Et pendant 3/4 d’heures, rien. À part m’expliquer quelques concepts tactiques obscurs et me poser quelques questions simples, cela ne va pas plus loin. J’essaie timidement de capter son regard, mais je ne trouve rien. Malgré son odeur toujours aussi enivrante, mon excitation commence à redescendre, et je commence à penser que je me suis trompé de A à Z. Au bout d’un moment, il se lève pour aller se resservir et m’intime à continuer de regarder les vidéos pendant qu’il remplit nos verres. Je m’exécute donc et en cherchant la prochaine vidéo je tombe sur un dossier simplement nommé « X ». Mon cœur frappe dans ma poitrine, et je décide de cliquer. Plusieurs vidéos sont présentes dans le dossier, mais elles ne sont pas nommées, sans vignettes, impossible de savoir ce qu’elles renferment. À ce moment-là je me dis que perdu pour perdu, je n’ai qu’à cliquer. Je prétexterais m’être trompé de dossier. J’ouvre alors la première vidéo et ce que je vois me secoue de haut en bas.

Je vois un jeune mec autour de deux hommes très mûrs être en train de sucer à tour de rôle leurs queues. Ces derniers se mettent ensuite devant le petit gars et commencent à lui pisser dessus tout en lui soufflant des insanités. « Petite chienne, trou à pisse, salope, garage à bite » et j’en passe. Et d’un coup, je m’attarde sur une des deux bites. C’est celle de Gérard, c’est bien sa queue ! Celle que j’ai ...

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