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Le jour de mes 19 ans. (récit fictif)

Publié par : ambre31 le 13/05/2023




Son Mari et ses enfants étaient en week-end en Touraine chez ses beaux-parents. Elle était seule ici à Paris et regardait par la fenêtre, un peu triste, un peu perdue, résignée. Malgré la date, son mari avait quand même voulu partir sachant qu'elle ne pouvait pas venir. Il avait justifié cela en disant que cela ferait du bien aux gosses, mais elle savait que c'était surtout pour retrouver ses amis d'enfance avec qui il passait toutes ses nuits lorsqu'il retournait là-bas. Elle ne s'énervait même plus aujourd'hui lorsqu'il prenait ce genre de décisions égoïstes, c'était une fatalité qu'elle avait fini par accepter peu à peu, d'où la tristesse, elle ne savait plus quoi dire, quoi faire, d'où la résignation.
La date... Aujourd'hui c'était son anniversaire.

Elle se souvenait lors de son dix-neuvième anniversaire, de ce beau garçon un peu plus âgé qu'elle qui l'avait regardé timidement dans le couloir, chez ses parents durant la soirée qu'elle avaient organiser avec ses copines pour fêter l'événement.
Il allait fumer sur le balcon de la chambre de ses parents. Elle était troublée car elle ressortait à peine de la salle de bain où elle avait été enlever sa culotte car elle la serrait trop. Elle était nue sous sa jupe qui s'arrêtait juste au dessus du genou, et ce garçon l'avait frôlée en la croisant à cause de l'étroitesse du couloir, et le fait d'avoir été presque touchée par lui alors qu'une simple étoffe séparait ce jeune homme de son sexe nu l'avait fait frissonner... de plaisir, se rendait-elle compte.
Elle s'appuya contre le mur et le regarda disparaitre dans la chambre de ses parents en direction du balcon/fumoir, puis elle entendit le fenêtre s'ouvrir et se refermer. Une fois seule elle eu comme premier réflexe de retourner dans le salon continuer la fête et pourtant, elle restait à repenser à la scène. Elle se rendit alors compte avec horreur que ses tétons avaient durcis. Non, pas avec horreur, avec un mélange d'étonnement et de délice comme lorsqu'on goûte un plat dont on n'attendait rien et qui finalement s'avère délicieux. Elle remonta lentement ses mains vers ses seins, et saisit ses tétons entre ses pouces et ses index comme lorsqu'elle se caressait dans le secret de sa chambre, la nuit.
Son corps, forgé par la danse depuis sa plus tendre enfance, avait la vigueur d'une athlète et la souplesse du roseau, sa peau délicate appelait les hommes qu'elle avait connue charnellement, ils étaient deux jusque là, son grain de peau incitait à la couvrir de baisers, de caresses. Ses cuisses fermes, ses fesses à la cambrure prononcée attiraient, parfois plus qu'elle n'aurait voulu, le regard des hommes qui la voyaient passer.
Elle secoua la tête, et se dirigea vers le salon, mais au moment où elle allait tourner la poignée de la porte et retourner au brouhaha de la fête, elle s'arrêta. Laissa retomber sa main et se retourna. Elle avait envie... Elle avait envie de jouer.
Elle avança dans le couloir, passa la tête par la porte de la chambre des parents et constata avec plaisir que le jeune homme était seul sur le balcon. Elle s'approcha encore, encore, doucement, hésitante, ouvrit la fenêtre et sortit dans l'air doux du mois de mai parisien. Le garçon sourit encore à sa façon timide et s'apprêta à dire quelque chose, mais elle lui mit un doigt sur la bouche pout lui intimer le silence. Elle se recula à l'autre bout du balcon, sous le regard étonné et subjugué du jeune homme. Elle appuya ses fesses sur la rambarde, écarta légèrement les jambes, et tout en le regardant dans les yeux, elle commença tout doucement à relever sa jupe courte, ralentissant la montée au fur et à mesure qu'elle s'approchait de son sexe.
Le garçon ne souriait plus, sa bouche s'était entrouverte, sa cigarette fumait toute seule entre ses doigts, ses yeux ne cessaient de faire des va-et-vient entre ce regard qui l'hypnotisait et ses cuisses qui se découvraient, il était fasciné. Elle finit par se découvrir tout à fait, et il ne put s'empêcher de dévorer des yeux ce sexe offert, que seul un mince, très mince trait de poils courts habillait en son centre. Il sentit son ventre se contracter, son sexe durcir alors que cette fille au corps de rêve se montrait à lui. Il au ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Hétéro, Branle, Pénétration vaginale, Marié(e)s