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LE JOUR OU J'AI DECOUVERT QUE BABETH ETAIT UNE VRAI SALOPE

Publié par : barbaratrav le 04/05/2018

Eric m'avait convié à l'apéro afin que je récupère un outil que je lui avait prêté.
Je me rend donc chez lui vers 19h00 et nous prenons l'apéro.
Il m'informe qu'il doit partir pour jouer au foot et qu'un copain doit passer le prendre.
En effet, vers 19h30, on sonne et Eric dit que ça doit être lui.
On prend un dernier verre ensemble.
Puis Eric dit, tu peux finir ton verre tranquille, nous il faut qu'on file.
Et ils partent tout les deux, me laissant seul avec Babeth.
Je n'avais pas fait trop attention à sa tenue, elle portait un gilet long, car elle disait qu'elle avait un peu froid.
Elle me propose d'aller fumer une cigarette dans l'arrière cuisine.
Je l'accompagne avec plaisir, elle s'installe sur un tabouret de bar et me dit que je peux prendre la chaise à côté.
A ce moment, elle enlève son gilet et je vois qu'elle porte un leggins gris et un top blanc transparent laissant voir sa poitrine dénudée de tout soutien gorge.
On discute de tout et de rien et elle se tourne vers moi.
Je vois que le leggins lui moule et lui dessine parfaitement la chatte. Etant à hauteur je ne peux détacher mon regard.
Ses lèvres sont dessinées comme si elle était nue.
Visiblement elle l'avait fait exprès.
Aussitôt j'ai senti ma queue se raidir.
Quand j'ai relevé les yeux, Babeth m'a sourit et m'a demandé si la vue me plaisait.
Oh que oui, ta chatte à l'air vraiment belle, on en mangerait.
Elle me répondit et bien qu'est-ce qui t'en empêche ?
Et joignant le geste à la parole elle descendit son leggins.
Il ne me restait qu'à avancer ma bouche pour pouvoir me délecter de cette superbe chatte.
Je la léchais lentement et lapais la liqueur qui s'en écoulait.
Elle commençait à gémir ce qui montrait qu'elle appréciait.
Je m'appliquait donc, en accentuant la pression et la vitesse de mes caresses buccales. Elle gloussait de plaisir.
Je me sentais de plus en plus à l'étroit dans mon pantalon et me décidais donc à le tomber.
Et dans mon élan je lui demanda de me sucer.
Elle ne se fit pas prier et goba ma bite entièrement.
Pendant qu'elle me pompait gouluement, je lui demanda de m'offrir une de ses cigarettes et m'en alluma une.
J'adore fumer en me faisant sucer, c'est la meilleure, plus que celle d'après le coït.
Elle s'appliquait à bien me lécher la tige sur toute sa longueur, à me gober les boules et me pomper avec vigueur.
Une fois ma clope terminée, je lui dit que j'allais la baiser comme une chienne qu'elle était.
Elle se mit en levrette et je l'ai prise d'un coup sec. J'ai commencé à la baiser lentement, avec des gran ...

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