Il faut s'écarter du GR et marcher près de dix minutes pour atteindre le lac, à condition de savoir où il se trouve. Autant dire que l'endroit est tranquille. Je m'installe à ma place habituelle, après les rochers. Je commence la lecture de mon livre électronique sur mon téléphone, la lisibilité étant rendue un peu difficile par le soleil.

Sébastien arrive quelques instants plus tard. C'est un bel homme de 37 ans - moi j'en ai 65 - dans la force de l'âge comme on dit. Mon attirance va pourtant pour les gens de mon âge, voire plus. Notamment pour les femmes. J'ai toujours adoré les femmes qui ont quelques années de plus que moi [j'ai le secret espoir que cette confidence amènera une sexagénaire à me contacter]. Là, c'était différent. C'est lui qui m'avait contacté et, les circonstances s'y prêtant, j'avais accepté une première rencontre, qui fut suivie d'autres.

J'embrasse Sébastien et il se déshabille. Il porte un slip de bain noir qui moule ses parties génitales et les met en valeur. J'aime quand il est comme ça et il le sait. Je commence à me caresser à travers mon pantalon. Sébastien va à l'eau et pique une tête. Je le regarde du bord du rivage en continuant de me caresser. Sébastien ressort, ruisselant. Je l'enveloppe d'une serviette et le frictionne. Je passe la serviette partout sur son corps. Bientôt il sera sec. Alors pourquoi la gêne de garder un maillot mouillé ? Je le lui ôte et je passe la serviette sur son pénis, sur ses bourses, entre ses fesses. L'érection qui s'en suit montre que Sébastien apprécie mes caresses. Ce spectacle me fait bander moi aussi.

Je baisse mon pantalon et mon slip.
"- Tu vas prendre ma bite dans ta bouche et me sucer !
- Non monsieur, je n'aime pas ça !
- Moi j'aime que tu me suces alors pas de discutions !"
Je l'attrape par la nuque et force sa tête sur ma bite. Je passe ma bite sur sa figure puis la présente devant sa bouche.
"- Non, arrête !
- Ne me tutoie pas !
- Oui monsieur !"
Je passe ma bite entre ses lèvres et j'entreprends de lui baiser la bouche. De temps à autres, j'enfonce ma bite au fond de sa gorge, mes couilles venant s'écraser sur son menton. Je m'arrête avant de jouir dans sa bouche.
"- C'était bon, maître.
- Ne m'appelle pas maître, appelle moi monsieur !
- Oui monsieur."
Dans l'action, Sébastien oublie parfois de me vouvoyer ou, à l'inverse, en fait trop dans la soumission.
"- Maintenant retourne toi et écarte tes fesses !"
Sébastien obtempère et me présente son anus. Je présente ma bite ruisselante de sa salive et la frotte sur son petit trou du cul.
"- Je vais t'enculer sans lubrifiant. Tu ...

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