Il y a quelques jours, je profite de ce que ma femme encore endormie par son somnifère, pour être nu devant mon pc, tchater avec 2 mateurs par cam, regardant me branler suavement.
Soudain la sonnette de l’interphone, je remets rapidement un short et un tee shirt. On insiste, je réponds. J’ai un colis à vous livrer. OK je descends. Dans le miroir de l’ascenseur je me vois avec ma gaule énorme, ben oui, j’ai un gros cockring qui me serre à la base de la queue m’empêchant de débander. Je tente en vain de m’ajuster, mais ça ce vois comme pas possible. Me voila au RdC, trop tard pour m’arranger. Dans le sas d’entrée un nord africain assez balaise 40 an, avec mon colis. Il ne peut pas ne pas remarquer que j’ai un bâton monstrueux dans mon short. En signant le bon de livraison, son épaule se frotte sur la mienne.
Me fait un clin d’œil, en souriant indiquant mon entre jambe et dit : il n’y a pas un coin discret où l’on peut aller ? Sans réfléchir, je dis ”mon garage“ ! Allons-y, dit-il. On descend au sous sol, couloirs, la porte du garage, fou d’inquiétude, mais que fais-je ? Le gus sur les talons. J’ouvre, entre, allume, me suis, et ferme le verrou. Me regarde des pieds à la tête, insistant encore sur le bas ventre ! T’aime être commandé, toi ? Sur un nuage inconnu, j’opine de la tête. A poils dit-il. Tout naturellement comme avachi, je laisse tomber le short aux chevilles que je dégage des pieds, en retirant mon tee shirt. J’apparais alors nu comme un vers, exhibant ma queue bandée à l’horizontale, comme un cerf, devant cet étranger que je ne connaissais pas 2’ plus tôt. Ayant déboutonné son pantalon, il me présente une colonne de chair phénoménale, une matraque, avec 2 grosses couilles pendant très bas. « Suce », m’ordonne-t-il. Me penche alors pour engloutir ce gland décalotté, y arrive avec difficulté, ma langue tourbillonnant sous ce nœud, je titille le méat, plonge lentement sur la hampe. Il jubile. Une main me caresse les cheveux, parcours le cou, l’échine, se glisse dans ma raie culière. « Et raser de partout », constate t-il. Un doigt me titille l’anus, s’y introduit suivi par un autre. Se retirent, se dégage de ma bouche. Me fait tourner dos à lui, se pose aussitôt entre mes fesses et sans hésitation me force l’entrée ! J’ai failli hurler sous la rapidi ...
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