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Le père de mon pote

Publié par : suceur16 le 06/09/2021

Un pote m’avait invité à passer la nuit chez lui. Malgré notre heure tardive de coucher, je m’étais réveillé tôt, et, pour le laisser dormir tranquille, je suis descendu en quête d’une petit-déjeuner. J’allais souvent chez lui et je savais où trouver ce qu’il me fallait dans la cuisine en général déserte à cette heure-ci, car ces parents partaient tous les deux travailler très tôt. Mais ce matin là, j’y trouvais le père de mon copain, en robe de chambre, en train de finir son bol dans l’odeur forte et entêtante du café qui emplissait la pièce. Il me salua cordialement et, semblant ravi de me voir, m’invita à la table pour partager la fin de sa collation matinale. Il s’enquit de savoir si son fils dormait encore puis m’explique que son épouse était partie tôt comme à l’accoutumée, mais que lui avait droit ce jour là à un congés, ce qui expliquait sa présence.
Il se leva pour débarrasser sa vaisselle et ses déchets, puis revint se poster à côté de moi, débout. Je sentais aux effluves forts et peu ragoûtants qu’il dégageait qu’il ne s’était pas encore douché. C’est là qu’il me dit à brûle pourpoint qu’il m’avait aperçu plusieurs fois en train d’attendre prêt des toilettes du parc… Il s’agissait d’un lieu de drague local où je passais de temps en temps sucer quelques bites quand l’envie devenait trop pressante. Et il fallait avoir vraiment très envie, car la grande majorité des mecs que l’on y croisait n’étaient plus de la première jeunesse. Enfin bref, je n’en menais pas large, craignant qu’il ne prenne motif de ma fréquentation de ce lieu pour m’interdire de revoir son fils. Mais il enchaîna en disant que c’était curieux que l’on ne s’y soit jamais croisés. La stupéfaction qui m’envahit éclata en une expression si curieuse sur mon visage qu’il éclata de rire avant d’ajouter que le hasard faisait bien les choses, puisque nous étions tous les deux réunis ce matin. Puis il se mit à me raconter qu’il aimait bien passer se faire faire une petite pipe de temps à autre, qu’il avait toujours trouver que les mecs suçaient mieux, mais que c’était encore plus agréable quand c’était fait par un petit jeune un peu efféminé. Il plongea alors ses yeux dans les miens en déclarant qu’il était sûr que j’adorais ça, sucer des hommes murs, qu’il l’avait lu en moi dès la première fois qu’il m’avait vu. Et sans même attendre mon approbation, il écarta les pans de son peignoir, me révélant qu’il ne portait rien en dessous. Sa queue encore molle reposait doucement sur le coussin velu de ses bourses rebondies, émergeant d’une touffe épaisse de poils bruns aux relents entêtants de sueur et d’urine. À l’extrémité, entre le haut de ses cuisses, pendant légèrement en dessous des boules, je voyais luire légèrement, encore presque totalement dissimulé sous le prépuce, son gland cuivré, dont la petite fente semblait me sourire. Il saisit sa bite d’une main, le dressant dans ma direction et l’autre vint se poser derrière ma tête, dans une invitation sans équivoque à me rapprocher de sa tige durcissante que je voyais prendre de la substance à vue d’œil, atteignant rapidement des dimensions plus qu’honorables. Le « Suce ! » qu’il me murmura en me jetant un regard d’autorité était inutile, j’avais bien compris ce qu’il attendait de moi et au moment même où il mourrait sur ses lèvres, les miennes s’arrondissaient autour de sa verge maintenant totalement raide qui pénétra ma bouche en y laissant un goût âcre de crasse et de pisse qui allait avec l’odeur nauséabonde qui se dégageait de sa pilosité intime. Je luttais contre une nausée envahissante pendant que je commençais à aller et venir le long de sa queue. Il me laissa faire trois ou quatre fois, puis ses doigts se crispèrent dans mes cheveux, et, se cabrant brutalement, il projeta ses hanches vers l’avant, projetant son gland turgescent au fond de ma bouche, forçant le passage de ma glotte pour l’enfoncer au fond de ma gorge, en m’arrachant un haut le cœur humide, suivi d’une coulée de bave épaisse qui ruissela sur ses bourses et mon menton. Suivant son injonction, je nettoyait adroitement ses couilles avec ma langue avant de les aspirer entre mes lèvres, jusqu’à ce que d’un geste sec, il ne remonte mon visage vers sa bite et me l’enfourne à nouveau au fond du gosier. Ses hanches s’immobilisèrent, et saisissant ma tête à deux mains, il se mit à la faire monter et descendre, pendant que ma bouche suivait le même mouvement sur son sexe. Il lança : « Putain ! Tu suces mieux que ma femme ! », et accéléra encore le rythme. Je suffoquais presque à chéque fois que, sous la pression de ses paumes, mes lèvres descendaient jusqu’à la base de sa queue puis qu’ils les y maintenaient de longues secondes en étouffant des râles de plaisir. Il n’eut pas besoin de longtemps de ce traitement pour lâcher cinq longues giclées de sperme épais sur ma langue en me précisant bien de tout avaler.
Il referma sa robe de chambre, et sa bite disparut aussi vite qu’elle était apparue, et il m’envoya prendre une douche pour rincer les traînées de salive qui me couvraient le visage. Pendant que l’eau chaude me ruisselait sur la peau, je réalisais peu à peu ce qui venait de se passer : je venais de sucer la queue du père de mon pote, dans sa cuisine. Il aurait pu nous surprendre à n’importe quel moment… Et maintenant, son paternel pourrait quand ça lui chanterait le lui dire si jamais…

Quand je suis redescendu, j’ai retrouvé mon copain attablé à la table du p’tit déj avec son vieux qui lui tapait la discut comme si de rien était. Je les ai rejoint et, une fois ma première gêne dissipée, j’ai repris ma journée tranquillement. En fin de matinée, je suis reparti chez moi. Au moment de franchir le portail, le paternel a couru dans ma direction en m’appelant pour me retenir. J’ai cru que j’avais oublié quelque chose, et c’est sans doute l’excuse qu’il avait donnée à son fils, mais en fait, il a juste glissé sa main dans la mienne en me chuchotant à l’oreille : « Essaye de passer au parc samedi vers 17h, on devrait bien s’amuser... » Puis il a tourné les talons et a filé vers la porte d’entrée.

J’ai passé la semaine à tourner et retourner son invitation dans mon esprit. D’un côté, c’était malsain ce type qui aurait pu être mon père et qui me demandait de lui tailler une pipe puis me donnait rendez-vous en cachette, mais en même temps, j’en avais déjà pompé des plus vieux que lui, des plus mous et des moins biens équipés, et quand je repensais à sa bite bien raide et gonflée, je ne pouvais m’empêcher de bander dans mon caleçon.
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