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Le retour des collegues de mon epouse

Publié par : voyeurcoquin le 30/03/2024

Le lendemain, c’est une douce chaleur dans le bas-ventre qui me tira de mon sommeil.

Il me fallut un certain temps pour réaliser où j’étais et ce qui m’arrivait. En fait, je découvris mon épouse enfouie sous les draps et occupée à m’administrer une fabuleuse fellation. Comme réveil en douceur, je ne pouvais espérer mieux.

D’un seul coup, tout me revint en mémoire: la trahison de mon épouse, la journée d’hier si riche en divers rebondissements, Aline et nos galipettes, la surprise affichée chez les cinq acteurs déchainés sur mon épouse lors de notre irruption dans la chambre, la soirée et le retour de l’infidèle, puis sa confession. Mais aussi et surtout, la décision que j’avais prise mais dont je devais lui faire part.

Machinalement je regardai l’heure: 8h15. J’avais dormi tout d’un bloc, sans interruptions et sans rêves. J’étais vraiment crevé hier soir. Joss sentit que j’étais réveillé et sa tête émergea de sous les draps.

– « Et bien dis donc, on peut dire que quand tu dors, tu dors toi! Cette nuit, impossible de te réveiller et tu as ronflé la moitié du temps!
– « J’étais crevé! Ça fait quatre nuits que j’ai peu et mal dormi. Tu dois savoir pourquoi non?

Elle préféra ne pas répondre.

– « C’est pas grave. L’important c’est de voir que tu es en forme ce matin, regarde! dit-elle en soulevant le drap et en me montrant mon érection triomphante.

Elle sauta alors du lit, me faisant admirer sa splendide nudité, en me disant:

– « Ne bouge pas, je reviens.

Un quart d’heure plus tard elle était de retour, elle reprit sa place sous les draps et s’activa pour rendre toute la raideur à mon sexe qui, du fait de sa courte absence, avait quelque peu fléchi.

Lorsqu’elle fut satisfaite du résultat, elle s’allongea alors sur le ventre près de moi et, de ses deux mains, elle ouvrit son somptueux fessier m’exhibant par la même occasion sa rosette luisante d’un onguent qu’elle venait d’aller s’administrer, me faisant comprendre qu’elle tenait à réaliser la promesse qu’elle m’avait faite hier soir en des termes qui m’avaient quelque peu choqués par la formulation employée.

Ainsi, j’allais réaliser le fantasme dont j’avais toujours rêvé mais qu’elle m’avait toujours refusé alors qu’elle usait et abusait de cette forme de pénétration avec tous ses partenaires sexuels! D’un côté cette décision me satisfaisait, mais d’un autre je ressentais tout de même une certaine amertume d’avoir été obligé de connaître toutes ces désillusions pour obtenir satisfaction.

Je ravalais donc ma fierté et j’allais enfin connaître ce plaisir jusqu’à maintenant interdit et que je n’avais, d’ailleurs, je dois le reconnaître, jamais connu avec aucune femme.

Je pris position au-dessus de son postérieur, ma queue bien bandée dans la main, je la présentai à l’entrée de son orifice. Je pressai mon gland sur son petit œillet et fus surpris de la facilité avec laquelle la pénétration se fit. Il faut dire qu’en plus de s’être bien préparée, elle avait acquis une longue expérience dans ce genre d’exercice, je m’en étais rendu compte à mes dépens. C’est sans aucun problème que je me retrouvai avec le sexe entièrement enfilé dans son fondement, mon bassin venant presser ses somptueuses rotondités. Son sphincter formait un anneau qui m’enserrait fabuleusement le pénis et une douce chaleur m’irradiait la tige. Je commençai aussitôt de lents mouvements de va-et-vient, puis, au fur et à mesure, j’en accentuai l’amplitude et la puissance. Après quelques minutes, mon pubis vint claquer sur ses fesses, mon sexe s’enfonçait loin dans ses entrailles. Me voir en train d’enculer ma femme me procurait une jouissance phénoménale. En plus du bien-être ressenti dans mon sexe, c’était aussi un plaisir cérébral inouï. Il est certain que je n’allais pas pouvoir la « travailler » bien longtemps dans ces conditions, j’allais jouir dans peu de temps.

Mais mon atavisme naturel m’interdisait toute jouissance égoïste. Pourtant, après ce qu’elle m’avait fait, j’aurais pu me dispenser de ces principes, mais c’était plus fort que moi. Je ralentis donc la cadence et me préoccupai de ses réactions. Je fus alors surpris car, elle, si prompte à réagir habituellement lors d’un rapport sexuel, n’exprimait rien. Sa respiration ne s’était même pas accélérée, elle avait les yeux grands ouverts et restait complètement passive, inerte, amorphe. Une grande incompréhension m’envahit alors.

Je décidais de changer de tactique. Je sortis mon sexe du soyeux fourreau et la fis se retourner sur le dos. Je lui fis écarter les jambes et me présentais dans une position des plus classiques. Mon vit pénétra alors son vagin, tout juste humide, signe que son excitation était très moyenne. Et c’est ainsi que je fis l’amour à ma femme, calmement, tendrement, comme nous l’avions toujours fait. Elle me souffla alors un « merci » timide dans l’oreille. Très vite sa respiration s’accéléra, sa vulve s’humidifia faisant entendre rapidement un clapotis caractéristique au fur et à mesure de mes intromissions. Je sentis ses jambes se nouer dans mon dos et une plainte continue sortir de sa bouche entrouverte. J’accélérais alors mes mouvements, mon membre cognait maintenant le fond de son vagin, nos deux pubis se heurtaient violemment. Mon épouse avait toutes les peines du monde à maîtriser les mouvements de son bassin. Elle avait maintenant la bouche grande ouverte de laquelle s’exhalaient des sons inarticulés. Puis, après quelques minutes elle ne put se retenir:

– « OUIIIIII! OUIIIIIIIIIII! Mon amouuuuuuur! C’est bonnnnnnnnnn! AAAAAAAAHHHH!

Sa jouissance fut spectaculaire, son bassin était désormais décollé du lit, me soulevant comme si je n’avais pas existé. Je profitai de son état d’extase pour jouir à mon tour et lui projeter de longues giclées de sperme au fond de sa vulve en plein bouleversement. Puis elle reprit position sur le lit, ma sueur coulait de mon visage, se mélangeait à sa propre sueur. Elle me prit les lèvres et nous conclûmes ce merveilleux accouplement par un baiser torride.

Quelques minutes plus tard et après avoir repris mon souffle, je m’étalai sur le dos près d’elle:

– « Dis moi si je me trompe, tu n’as pas l’air d’apprécier énormément la sodomie?
– « Je l’ai en horreur!
– « Mais alors, pourquoi avec les autres?
– « C’est simple, comme je te l’ai expliqué hier, lorsque je suis dans mes dé ...

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