Les imprévus des voyages

Cela ce passe il y a une dizaine d'années, je faisais beaucoup de déplacement , à l'époque , je gérais un lot de chantiers sur l'est de la France le principal étant à Nancy, tout en gérant aussi d'autre sur Paris , des clients récurrents.
Donc , je devais partir très tôt le matin de Paris , pour des réunions de chantiers à 9h le matin, 4H de route. Ce jour là, réveillé à 3h , je me lève , café douche , j'enfile ma petite culotte fendue que j'aime porter quand je conduit, mes bas, chemise et pantalon de toile légère, nous approchons de l'été et il fait chaud la nuit.
Je me mets en route , autoroute A4 , j'ai l'habitude du trajet et m’arrête régulièrement à mi parcourt à une station , pour un bon café et parfois une petite sieste de 20mn. J'arrive à l'endroit et malheureusement pour moi l’accès est fermé pour travaux.
Je poursuis jusqu'à la prochaine aire , la fatigue ce faisant sentir, 20kms plus loin je rentre dans une aire de repos, elle est blindée de camions , je ne vois pas le parking voiture. Je trouve une place entre deux camions. Je sors , m'étire et passe coté passager pour me reposer, j’enlève ma chemise, il fait chaud, sans clim c'est vraiment lourd, je bois un bouteille d'eau. Je m'installe en position couchette, dessers mon pantalon , et sommeil, je me réveil j'ai bien fait 20mn, et j'ai une belle envie de pisser, je ne sais ou sont le toilettes avec ce rempart de camions, je vois la pelouse, avec un bosquet au milieu, ça fera l'affaire.
Je sors et tiens mon pantalon d'une main, j'arrive au bosquet enlève mon pantalon , et m’accroupis, , oui je pisse comme une fille , avec mon petit clito, j'ai tendance à me faire dessus si je fais debout.
Je fais ma petite affaire, prends un mouchoir papier pour essuyer les dernières gouttes , à ce moment je reçoit des gouttes, la pluie vas nous rafraîchir.
J'entends une voie dans mon dos avec un fort accent allemand.
- reste comme ça, tourne toi !
Je tourne la tête et me trouve face à une grosse bite molle tenue par une main poilue.
- suce , tu as un beau cul de salope !
Je ne peux résister à cette invitation, je suis en manque de queue depuis une bonne semaine , surcharge de travail oblige.
J'ouvre la bouche , et le type m'enfonce son gros truc dedans. Je suce , passe ma langue autour du gland sous le prépuce, elle grossi dans ma bouche , elle m'écarte les lèvres , elle est énorme, je suce pompe , il me tient la tête maintenant, c'est lui qui mène la danse , et il m'enfonce sa queue au fond de la gorge , je déglutis, salive. Apparemment ça lui plaît , il me plaque à lui et envoie sa décharge épaisse au fond de ma gorge , j'avale , il en recrache encore, ça déborde de ma bouche, il se retire , je vais pour me relever , on m’appuie sur les épaules , je regarde autour de moi , il y a bien une douzaine de type , la queue à la main , parlant toute les langues , espagnol, portugais, allemand, belge, c'est l’international.
Certains giclent déjà sur mon dos et mon visage, un s’approche, et me fourre sa bite , déjà bien bandée, dans la bouche , fine et longue, avec un gros gland, je pompe, après tout je suis la pour ça maintenant. Il vient vite , un autre , puis un autre, il n'y plus personne, les derniers ce sont vidés sur mon dos. Je me relève, il se met à pleuvoir à grosses gouttes, au moins ça me lavera, je reste sous la pluie, savourant cette eau qui me lave, et me rafraîchi, je suis en culotte fendue , avec mon petit clito, et pantalon à la main, l'averse dure 10 bonnes minutes et j'en profite.
Fin d'averse je retourne à ma voiture ouvre le coffre, sort une serviette et un pantalon de mon sac de voyage. Je commence à m'essuyer, quand une main prend la serviette, et me frictionne ne laissant pas un endroit mouillé.
Je me retourne et vois un homme d'une cinquantaine d'année, tous sourire, il se penche vers mon visage et m'embrasse à pleine bouche.
- Je t'ai vus de ma cabine tout à l'heure, avec les autres, tu les à bien soulagé.
– Ce n'est pas mon habitude , mais j'ai été prise par surprise et je n'ai pas pus résister. Je n'avais pas sucer depuis 8 jours au moins.
- tu veux bien venir dans ma cabine , j'ai envie de te faire l'amour.
– d'accord tu seras mon premier camionneur en cabine.
Je récupère ma chemise et pantalon et ferme la voiture puis le suis à son camion.
Il ouvre le coté passager, me fait monter , en me poussant au cul , il en profite déjà , un doigt bien placé.
Passe sur la couchette , je me déshabille.
Je m'installe, et le vois enlever son T shirt et jean , il est bel homme avec un petit ventre rebondi.
Il s'assoit à coté de moi , me caresse, m'embrasse le corps , suce mes seins , ses mains visi ...

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