J’ai déjà évoqué les seins de ma femme dans de précédent récits. Ils m’ont tellement obsédé que j’ai encore pas mal de choses à en dire.
Elle était bien consciente de l’atout que lui procurait sa poitrine et de l’attrait que celle ci pouvait avoir sur les mâles. Du coup elle en usait et en abusait à la moindre occasion.
Ainsi à la belle saison elle n’hésitait pas à vêtir son buste d’un simple t-shirt ou d’un débardeur bien ajusté à son corps sans soutien gorge en dessous bien sûr. Ces vêtements léger moulant si bien sa poitrine que l’on avait l’impression que ses tétons allaient transpercer le tissu.
Je trouvais qu’elle y allait fort quand même, ça ressemblait beaucoup à de la provocation.
Elle sortait ainsi en ville ou dans les grandes surfaces pour faire les courses.
C’était vraiment marrant d’observer la réaction des hommes (des femmes aussi d’ailleurs!) sur son passage. Certains mataient discrètement mais d’autres n’hésitait pas à venir lui tourner autour et se planter devant elle. Je suppose qu’ils devaient bien bander devant la vue qui s’offrait à eux.
Chez les femmes s’était plus mitiger, certaines semblaient apprécier elles aussi mais à voir le regard d'autres on sentait de la jalousie. Elle eu même droit à quelques insultes.


J’avais un beau frère qui était un peu obsédé sexuel, un jour il vint nous faire une visite à la maison avec ma sœur. C’était par une belle et chaude journée d’été et nous étions dans le jardin. A la vue de me femme qui était en débardeur j’ai cru qu’il allait nous faire une crise cardiaque. Il ne quittait pas du regard le buste de ma femme , les yeux lui sortait de la tête et il bavait.
Quand ma femme rentra dans la maison pour allez nous chercher des rafraîchissement, je la rejoignis en prétextant que j’allais l’aider. En fait je lui ai demandé de se couvrir un peu plus sinon le beau frère allait nous claquer entre les doigts Puis j’avais bien sentis que ma sœur qui était moins bien lotie question poitrine n’appréciait pas vraiment. Cela allait se terminer en scène de ménage.
Quand elle revint elle avait enfiler un gilet prétextant que le temps ce rafraîchissait.


Pendant les vacances, lors d’un voyage en Italie nous nous fîmes une petite frayeur .
Quand nous roulions, je l’encourageait des que cela était possible à relevé son t-shirt ou déboutonner son chemisier pour mettre ses nibard à l’air. Ainsi nous roulions et le plaisir qu’elle puissent être vu me donnait beaucoup d’excitation. Cela arrivait bien sur quand nous doublions les camions. Avec la caravane atteler derrière la voiture cela prenait un certain temps et les chauffeurs avait ainsi tout loisir d’admirer. Les coups de klaxon confirmant qu’ils avaient appréciés.
Des que nous abordions un lieu habité ou traversions un village elle se recouvrait.
Cet après midi là alors nous roulions à la recherche d’un camping pour passer quelque jour dans cette région fort jolie, notre petit garçon dormait à l’arrière. Selon mon désir elle enleva entièrement son te shirt et mit sa marchandise en devanture. Nous allions devoir traverser un petit bourg, ma femme s’apprêtait à se revêtir mais je l’en empêchais, j’avais envie de franchir un degré supplémentaire. Elle me dit que j’étais complètement fous et que nous allions avoir des ennuis avec mes conneries. Mais je fini par la contraindre et avons commencé la traversé du bourg. Les rue n’était pas très larges et pour l’instant il n’y avait que quelques piétons sur les trottoirs Mais plus nous nous enfoncions dans ce bourg plus il y avait de foule et je m’apercevais que ce bled était beaucoup plus important que je ne l’imaginais.
Il était évident que certains piétons ne pouvaient pas ne pas voir. A un moment ou la circulation était très ralenti , nous roulions au pas quand un type est venu toquer à la vitre de ma femme et a levé le pouce en signe d’appréciation. Ce bruit ayant eu pour effet de réveiller notre fils elle enfila tant bien que mal son te shirt et nous continuâmes la traversé de ce qui était finalement une petite ville.
Après avoir rouler encore plusieurs kilomètres nous arrivons finalement au camping que nous avions repéré. Après les formalités d’usage nous avons rejoint notre emplacement.
Nous venions de finir d’installer notre campement, notre petit garçon s’était déjà fait des copains et était partis rejoindre l’air de jeux un peu plus loin quand nous vîmes se diriger vers nous un policier italien en uniforme « holà, ça ne sent pas bon » me dis-je. Après nous avoir saluer il nous expliqua dans un français approximatif et surtout à l’aide des mains qu’il nous avait vu traverser ( le nom de la ville ne me revient plus ) et nous comprimes bien sur qu’il avait aperçu ma femme avec la poitrine à l’air. Il commença à nous sermonner et nous dit qu’il allait falloir payer un amend ...

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