Et oui en ce temps je me baladais en travesti

Depuis quelques jours le temps s’améliore et comme cela fait un petit moment que je n'ai ni caressé ni sucé et encore moins senti une bite me pénétrer.
Je ne peux résister plus longtemps à l’envie d’en chercher.
Je décide donc d'aller faire un petit tour.
Je pense à une aire de repos que je connais bien pour y avoir de belles rencontres et comme je suis seul en ce moment l'heure de mon retour importe peu.
Un peu avant d'entrer sur l'autoroute, je me gare sur le bas coté et me transforme en petite pute aguichante, avec ma perruque blonde, je suis tout de noir vêtue : haut sans manche et dentelles avec une minijupe, string, bas résille et chaussures à haut talon et sans oublier mon collier de chienne soumise.
Lorsque je dépasse les camions ; je le fais doucement certains routiers peuvent ainsi admirer très haut mes cuisses. (je les trouve pas mal).
Entrant sur le parking de Cestas, je me dirige directement vers celui des camions. Ils ne sont pas encore très nombreux, mais roulant à faible allure j'ai tout le temps de voir et surtout d'être vu.
En effet 2 routiers me regardent passer assez surpris et suivent mon camping car du regard. Quittant mon rétroviseur des yeux je me gare un peu plus loin, en face des toilettes.
Le temps, exceptionnellement, de me mettre un peu de rouge à lèvres et je retourne dans la cabine pour observer les environs.
Après un petit moment ne voyant rien bouger, je me décide à quitter la quiétude de mon camping-car et me dirige lentement vers les WC tout en jetant discrètement un œil vers les camions.
Arrivée devant l’entrée des toilettes je fais une pause et regarde autour de moi, rien ne semble bouger. Plus loin mes 2 routiers regardent toujours dans ma direction mais continuent de discuter sans changer de place.
Bon tant pis, je me risque et entre coté « homme » juste le temps de m’accroupir devant les urinoirs mais pas le temps de faire une prière.
(ceux qui connaissent mon profil comprendront).
Mais aussitôt une voiture s'arrête juste en face et un homme se dirige vers les WC. Je suis coincée.
J'entre rapidement dans une cabine. Juste le temps de voir l'homme entrer à son tour.
Comme je ne peux pas savoir s'il vient pour un pipi ou pour moi, je reste un moment sans bouger dans ma cabine. Le temps passe lentement et finalement n'entendant rien je me décide à ouvrir lentement et très précautionneusement la porte.
Visiblement il ne vient pas pour soulager sa vessie car il est là et regarde dans ma direction, surprise je tente de refermer la porte mais déjà l'homme est devant moi tout sourire et maintient la porte entr'ouverte.
Étonnée et toute à la fois rassurée, je laisse la porte s'ouvrir davantage laissant ainsi à l'homme tout loisir de me mater.
Il n'a évidement aucun doute quant à mon orientation aussi après un rapide coup d’œil, il s'avance dans la cabine et referme la porte derrière lui.
Il ne perd pas une seconde et commence à me peloter. De mon coté je pose ma main sur la bosse qui déforme son pantalon puis caresse son entrejambe, qui, ma foi, est bien rempli.
Alors qu'il va m'embrasser, je lui murmure que j'ai un camping car et que l'on serait plus tranquille à l'intérieur de celui-ci.
Pour toute réponse il descend sa fermeture éclair et sort avec difficulté une belle bite déjà raide à souhait.
« Penche toi, tu me suces un peu ici et on va dans ton camping car et là ...»
j'obéis, me penche sur son pieu et lentement le fait pénétrer dans ma grande bouche gourmande.
Sa main va directement sous ma jupe et l'un de ces doigts s'empare de l’élastique de mon string qu'il écarte. Sa bite coulisse lentement dans ma bouche. Je recule ma tête pour faire sortir une partie de sa bite avant de la ravaler. Elle sent bon, j’apprécie.
Ses mains écartent mes fesses et explorent tout aussi lentement le bord puis l’intérieur de mon petit cul déjà bien lubrifié. L'homme, la quarantaine, costaux me domine d'au moins 20cm et ce que je lui fais semble vraiment lui plaire.
Cependant la porte de cabine voisine claque et nous rappelle que nous ne sommes pas seul. A regret je laisse s'échapper de ma bouche la bite de cet inconnu si bien membré. Une fois celle-ci remise en place, il ouvre lentement la porte pour s'assurer qu'il n'y a aucun risque et lestement nous nous dirigeons vers mon camping car.
Faut-il préciser qu'à peine à l'abri l'homme quitte précipitamment ses vêtements qu'il jette à la hâte sur le meuble et m'offre de nouveau sa bite toujours aussi raide. Sans manière il appuie sur mes épaules pour me faire mettre à genoux à ses pieds, puis prenant ma main la dépose délicatement sur son sexe.
Sa bite me fait envie et en bonne salope je m'applique aussitôt à lui prodiguer tout mon savoir faire, après l'avoir juste un peu branlée afin de bien la décalottée, j’engloutis petit à petit cette belle queue qui rapidement commence des va et vient dans ma bouche. Cela ne dure pas longtemps, il me relève gentiment et me pousse contre le lit.
Évidemment le message est compris et je me laisse faire, rapidement à 4 pattes, je sens ses mains me caresser les jambes, les fesses et descendre mon string. Une nouvelle petite visite rapide de mon petit cul et ses mains remontent vers mes seins.
Elles s'arrêtent un instant et bien qu'il semble un peu déçu, elles restent sur ma poitrine, ses doigts titillent maintenant mes tétons qui pointent sous ses caresses. Je suis très sensible à cet endroit.
Il s’en rend compte, car il les roulent et les pincent.
Je gémis, difficile de dire si c'est la douleur ou l’excitation qui domine. Il me les pince encore plus fort. Et bien que ce soit la douleur qui me fasse réagir, qu'importe, je dois subir son sadisme.
« Tu aimes que je pince les bouts de tes nichons, hein … espèce de salope ! »
Je n'ose lui répondre et sers les dents, je vois bien qu'il aime ça : quand il me pince plus fort, je le vois sur son visage.
Enfin à mon plus grand soulagement, il délaisse mes tétons et pose son gland contre l’entrée de mon petit cul, puis le frotte lentement sur le bord de ma raie.
Il agrippe mes hanches. Je crains un instant qu'il me pénètre avec brutalité mais non, de nouveau c'est avec douceur qu'il entre en moi. Je sens sa bite avancer lentement dans mes entrailles. Il va ainsi s'activer un bon moment faisant monter rapidement mon plaisir. Alors que je le sens tout prêt à exploser, Il s'arrête de me limer ; la bite bien au fond de moi et me murmure presque :
« je voudrais que la porte soit ouverte et qu'on puisse me voir t'enculer »
J'aime l'exhibe mais là nous sommes sur le parking et en pleine journée.
Là où nous sommes le risque est trop grand de voir apparaître des personnes hors milieu !
« on risque d'avoir des ennuis si des voyageurs nous voient »
« alors bouge ton camping car et mets toi du côté PL »
Sur ces mots il se retire de mon cul, me claque les fesses et s'assoit sur le lit, attendant que je bouge le ccar.
Ayant bien trop envie de me faire de nouveau enculer par lui, j'hésite à peine et rapidement enlève totalement mon string, qui déjà était sur mes genoux, me mets derrière le volant et déplace le véhicule pour le garer près des PL, bien plus à l'abri des surprises.
Alors que je regagne l'arrière, lui n'a pas perdu de temps car déjà la porte est entrouverte. J’aperçois alors l'un des routiers assis à une table de pique nique, juste en face de l'ouverture. Quant à mon partenaire, lui ne veut pas attendre d'avantage et me précipite sur le lit.
Aussitôt le cul en buse il m'encule à fond sans plus attendre. Bien sur de là où il se trouve le routier a tout loisir de nous mater. Tournant à fond la tête, je l'aperçois. Il s'est levé et s'est approché de la porte et peut tout à loisir observer cette bite qui entre et sort de mon arrière train.
Mon enculeur hèle le routier
« si tu veux en profiter c'est une salope et ne demande que ça ! »
Le routier fait un signe avec sa main très significatif.
« viens te faire sucer pendant que je l'encule »
Le routier hésite un instant à ...

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