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Lui et moi (nous)

Publié par : thimau le 20/03/2023

Le ciel est azur et le soleil de plomb. Nous marchons depuis un long moment et nous arrivons sous un saule pleureur, au bord de la rivière. Un léger vent fait danser les branches et les rayons du soleil transperce le filtre des feuilles par bribes. Des éclats argentés accompagnent ainsi le cliquetis mélodieux de l'eau qui rebondit sur les cailloux.
Je m'assois le premier sur l'herbe fraîche en me débarrassant de mes chaussures et chaussettes. Il en fait de même et s'assoit derrière moi, en positionnant ses jambes de par et d'autre des miennes. Ses pieds puis ses mollets frôlent le miens avant que ses cuisses n'enserrent les miennes. Il place sa thermos d'eau fraîche contre mes lèvres et me donne la becquée avec beaucoup de délicatesse et d'attention. Pas une seule goutte n'est versée à côté. Quand je me considère suffisamment abreuvé, je me tourne vers lui tout en insérant une main entre sa peau et le bas de son short. J'atteins l'objet de ma convoitise : sa bite épilée et si douce. Il faut dire que j'entretiens l'élasticité de sa peau depuis des années avec une crème singulière, hom(m)e made (mon sperme). Tout comme moi, il ne porte pas de sous-vêtement et je commence à titiller ses bourses entre mes doigts avides. Je dépose un baiser sur sa verge au travers du tissu de son short que je défais pour assouvir mes désir de mise en bouche : le festin va commencer. Je commence par lui lécher les testicules un à un et je remonte le long de la tige. Une fois parvenu en bout de piste, je gobe le gland pour le décalotter et j'en effectue le tour dans un sens puis dans l'autre. Le chibre commence à prendre une forme plus satisfaisante. Je redescend vers les couilles que je suce avec gourmandise. Je les avale délicatement l'une après l'autre. Il commence à ronronner et à jouer du bassin. En remontant vers la pointe de cette succulente verge, je sens bien que celle-ci entame un début d'érection. Je me dis que je ne dois pas rater cette sensation d'envahissement de ma bouche par une verge qui devient turgescente. Je m'empale sur ce dard et lui prodigue une gorge profonde et je ne bouge plus, juste quelques succions des plus discrètes. Son sexe gonfle et durcit dans ma bouche, qui est de plus en plus envahie. J'effectue des va et vient tantôt lentement tantôt rapidement. Des fois, je laisse sortir ce chibre de ma bouche et le lèche du gland aux testicules et je le reprends avec encore plus d'avidité. Il ne ronronne plus, il gémit. Il me caresse les cheveux et me dis des mots tendres : "Chéri, nul autre que toi ne sais me sucer aussi bien", "continue, Chéri, c'est si bon". Sa voix devient rauque et il est sur le point de me féconder la bouche. J'ai d'autres intentions, aussi je cesse de l'exciter de la sorte.
Aussitôt, il place ses deux mains entre ma peau et l'élastique de mon short qu'il fait glisser jusqu'à mes chevilles. Nous retirons nos tee-shirts et frottons nos corps nus jusqu'à ce que nos lèvres entrent en contact. Nos langues s'immiscent dans la bouche de l'autre et entament une chorégraphie dont elles ont le secret. Leurs ébats sont tendres et le rythme de leurs mouvements semble inspiré par la musicalité de la rivière. Elles ondulent l'une contre l'autre parfois très rapidement et parfois, leur mouvement est presque imperceptible, elles se câlinent délicatement, se palpant mutuellement. Ces baisers torrides ont toujours cet effet excitant chez moi et je bande déjà bien dur. Il le sait bien et prend ma tige en main et me branle comme il sait si bien le faire. Sa main est aussi douce que sa queue (devinez pourquoi). Je lui susurre alors à l'oreille que j'ai envie de lui, que je l'aime lui, mais aussi sa bite, surtout lorsqu'il la met au chaud bien au fond de mon intimité. "Essaye encore de me faire un bébé" lui dis-je avec tout l'amour que j'éprouve pour lui. C'est un des mots de complicité qui existent entre nous. Des fois, je rêve que ce n'est pas de l'humour et que je porterai le fruit de notre amour... (C'est plus poétique que la rime avec "en cloque" de Renaud)
Il place sa main entre mes jambes et me bascule sur le ventre avant de me soulever le bassin pour me positionner en levrette. Je sais ce qui m'attend et j'en suis déjà tout excité. Sa langue parcourt ma raie et tourne autour de ma rosette avant de revenir sur elle et d'y déposer des baisers et de la salive. Sa langue se durcit et prend une forme plus pointue, comme une ogive. Elle montre toute sa vigueur en écartant mon sphincter pour le transpercer. Je ne contrôle plus mon bassin qui effectue des allées venues d'avant en arrière. Il en profite pour adapter le rythme d'introduction de sa langue avec celui du basculement de mes hanches. Je gémis de plus en plus fort. Sa langue est si puissante que son extrémité se courbe en moi et me lèche en quelque sorte de l'intérieur. C'est prodigieux ! Quelle sensation sublime. Il retire sa langue et m'applique une succion telle qu'il happe mon anus qui est si détendu qu'il pourrait maintenant le mordre à pleines dents. Je jubile d'excitation. Il se recule un peu et me dépose des baisers sur chacune de mes fesses puis remplace sa langue directement par deux doigts curieux et téméraires : ils s'enf ...

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Mots-clés : Gay, Branle, Fellation, Sodomie