Je veux partager avec vous une rencontre faite cette année qui m’a laissé un sentiment étrange.
C’est via TINDER que j’ai reçu un jour son message. Je n’avais pas l’impression de l’avoir likée, ni qu’elle l’avait fait en retour, pourtant elle a pu me parler.
Je ne me rappelle pas son pseudo (rose?) quoiqu’il en soit ce n’était pas son vrai prénom et je l’appellerai Sophie pour protéger son anonymat.
Pas vraiment de photos, profil mystérieux, j’adore..
On s’échange nos tels et une photo arrive.
Bizarre, jolie nana, grande cheveux courts, noirs, fine, en jupe sur la photo, assise en train de boire un verre mais à côté d’un gars… Très vite elle m’explique qu’elle n’aime pas les photos, et que je n’en aurai pas d’autres..
Moi qui aime bien savoir où je mets les pieds, je suis servi.
Pourtant en parallèle, une conversation sincère, débridée et particulièrement coquine se met en route. Elle bosse dans un lycée, genre CPE et me bombarde de messages toute la journée. Bien occupé moi-même, je tâche de répondre entre deux en me disant qu’une chaudasse comme ça, je vais avoir du mal à la garder uniquement pour moi et que j’ai intérêt à me dépêcher de la rencontrer. Parmi nos échanges, elle me fait part de son mal être suite à une relation avortée avec un mec qui l’a chauffée et s’est finalement débiné sans lui donner ce qu’elle attendait (un rendez-vous à l'hôtel à l’aveugle…).
Bref, je me retrouve à lui proposer de se voir pour en parler et elle de m’inviter chez elle…!
Je me retrouve le lendemain soir en plein centre de Clisson pour passer une excellente soirée…
Je sonne chez elle, personne…
C’est quoi ce plan?
J’envoi un SMS, pas de réponse…
Je me dis que ça ne coûte rien de rester 10 minutes alors que je viens de faire 40 bornes…
5 minutes plus tard, SMS.. “j’arrive, désolée”
Finalement, 10 bonnes minutes plus tard, j’entends des talons courir dans la nuit Clissonnaise, et je vois rappliquer une femme superbe perchée bien haut avec une petite jupe serrée des plus sexy…
Elle passe devant moi, s’arrête, se retourne, me claque la bise doublé d’un “vraiment désolée mais j’étais au patati-patata…”, refait volte-face et monte les 3 marches de son chez elle et ouvre la porte… Ça va être chaud!!
Elle est canon, mais visiblement très agitée, stressée, son téléphone sonne et elle engage la conversation avec ce que je comprends être sa fille… qui l’attend à son cours de sport!!
C’est quoi ce plan…!!
“Sophie, si tu as une galère, vas-y, je comprendrais, on se verra une autre fois” lui dis-je
“Non, non reste, c’est bon elle va appeler son père, lui dire que je suis pas disponible”
C’est quoi ce plan….!!!
Je me vois déjà au milieu d’une histoire avec un ex-mari énervé après la mère de sa fille qui le prend pour un taxi pour qu’elle puisse s’envoyer en l’air!
Je redouble ma proposition de remettre à une autre fois..
“Non, c’est ok, tu as ramené des éclairs? … super mignon. Tu sais j’aime pas vraiment la pâtisserie..!”
C’est quoi ce plan!
La situation se calme un peu, et je profite pour me rapprocher et la prendre dans mes bras en guise de vrai bonjour…
Le reste de la soirée sera à cette image, un rameur qui cherche à rejoindre une plage magnifique mais qui n’arrive jamais à accoster…
Après 2 heures de discussion mais surtout de lutte et en ayant été loin dans les invitations, même physique pour faire fondre la glace, je lui pose ouvertement la question: “qu’est-ce qui se passe, je te plais pas?”
“Non c’est pas ça mais tu m’as stressé en me prenant dans tes bras, je ne m’y attendais pas, et puis c’est vrai, tu ne me plais pas…”
Je la regarde, avec ses jambes croisées qui cachent à peine le haut de ses collants, son haut transparent, sa nuque qui appelle mes mains et mes baisers…
J’ai dû rester silencieux un bon moment, me remémorant nos échanges SMS si chauds et la promesse d’une soirée tout aussi chaude qui s’envole à cause d’un hug bienveillant!
C’est quoi ce plan…!!??!
Je prends congé assez rapidement en me disant qu’on ne m’y reprendra plus, vive les plans avec échanges de photos préalables, appels vidéo, même à 100 bornes où tu arrives et la nana t’attends à genoux bouche ouverte!!
Le lendemain matin, je reçois un SMS de Sophie:
“bien rentré?”
“Oui pas de soucis”.
Je reste bref et vague, pas envie de perdre plus de temps, elle m’a clairement dit que je ne lui plaisais pas, à quoi bon lutter.
Pourtant, le soir, je reçois de nouveau un SMS, puis un autre. Je laisse courir.
Le lendemain, rebelote,
“Salut Seb, comment vas-tu? Moi pas super..”
Je me décide à lui répondre
"Ça va merci, et toi alors qu’est-ce-qui se passe”
“C’est ce mec tu sais qui m’avait planté, il est revenu, il m’a re-chauffé et il est reparti”...
Une lueur s’allume dans ma tête, je comprends que l’autre soir, je suis arrivé chez elle alors qu’elle avait la chatte ailleurs!!!!
Attends ma petite, j’arrive.
Nous reprenons nos échanges, et très vite de nouveau, elle se fait salope, sauf que je pars dans son jeu et je l’avilis crûment.
Elle réagit positivement à ma provocation, mais à chaque fois je la ramène à ce qu’elle m’a exprimé “je ne lui plais pas”.
“Oui, mais non, tu sais j’étais pas en forme…Nanani Nanana”.
“En clair, tu as tellement besoin de te faire baiser, que même un mec qui ne te plait pas ferait l’affaire?”
“Non, mais c’est l’autre il m’a tellement donné d’idées que… Nanani Nanana”
"Réponds-moi clairement salope, tu as besoin de te faire sauter, oui ou non?”
“Oui”
“Dis le”
“Oui, j’ai besoin de jouir”
“Ce n’est pas ce que je t’ai demandé"
“Oui, j’ai besoin de me faire sauter”
“Encore”
“Oui, j’ai trop envie de me faire défoncer”
On y était, la petite Sophie, bourgeoise proprette et bien sous tous rapports, connue et reconnue dans son village, venait de tomber le masque.
Elle l’avait déjà fait mais sans accepter de le dire (“tu es une salope?” “Oui” “Dis le” “non”). Là elle commençait à exprimer les choses, la tournure des évènements devenait des plus intéressantes.
Ma prochaine étape (le jour même ou le lendemain peut-être) fût de la travailler pour qu’elle vienne chez moi. Hors de question que je risque à nouveau une banane, surtout la sachant tellement sur le fil du rasoir avec les autres mecs qui lui tournaient autour.
Je travaillais donc rapidement et à fond sur son envie, et la faisait culpabiliser sur le fait que je ne lui plaise pas et que tout ça était donc inutile.
Etape après étape, elle avait de plus en plus envie que je la baise comme la salope qu’elle se rendait compte être, mais admettait qu’elle ne me trouvait pas séduisant. Quel paradoxe.
“Très bien chienne, on va faire comme ça. Ce soir à 21h, tu viens chez moi, voilà l’adresse. Tu seras habillée très sexy, en talons et jarretelles. Tu monteras jusque chez moi, au 5ème étage, à pied. Je veux t’entendre monter lentement, je veux que tous les voisins collent leurs yeux sur leur œil de bœuf pour voir la pute bruyante qui monte dans les escaliers.
D’accord
Au 3ème inter-pallier, tu feras une pause, tu enlèveras ton string et tu le mettras dans ta poche, désormais il m’appartient.
J’ai compris
Arrivée au 5ème, arrête toi et attend que la lumière s’éteigne, tu pourras alors pousser la porte de droite et rentrer, recevoir ce que tu es venue chercher”.
A l’heure dite, mon interphone sonne, puis ses talons résonnent dans l’escalier, la pause sonore se fait, puis les bruits de pas reprennent, le filet de lumière sous la porte disparaît et ma porte entrebâillée s’ouvre.
J’ai fait le noir total chez moi (tous les volets fermés, aucune lumière, même celle de la box internet a été coupée), elle fait 2 pas, je suis derrière la porte, je la referme d’une main pendant que mon autre main se pose sur son épaule pour l’arrêter. Elle sursaute et commence ...
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