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Ma femme, la salope de la cité (Partie 2 de son journal intime))

Publié par : elena75 le 14/06/2021

Ce week-end, je me suis comportée comme une véritable femelle en chaleur avec Edouard. Le vendredi soir, à peine au lit, il s’est mis à lire Les Echos comme il en a l’habitude. Lorsque je me suis déshabillée, j’ai tout retiré excepté mes bas autofixant. Je me suis glissée sous la couette, j’ai sorti sa queue de son pantalon de pyjama et je l’ai prise en bouche. Surpris, il en a jeté son journal par terre et a plaqué ses mains sur ma chevelure pour que je l’embouche entièrement. Une fois qu’il a été bien raide, je suis venue sur lui et me suis empalée sur sa bite. En quelques minutes, il s’est répandu en moi.

Après ce rapide coït matinal conjugal, le dimanche se passe normalement ; Edouard et moi vaquons chacun de notre côté à nos occupations dans l’appartement. En début d’après-midi, je m’accorde un peu de repos dans mon fauteuil préféré du salon en écoutant quelques airs de la Callas. C’est reposant mais je n’arrête pas de me poser des questions
- Ce jeune beur aurait-il réveillé mes désirs ?
- Est-ce normal d’avoir eu avec lui plusieurs orgasmes dévastateurs ?
- Une femme doit-elle se priver de plaisirs sexuels parce que son mari n’est plus trop vaillant ?
- Est-ce vraiment de l’adultère que de prendre du plaisir sans partager le moindre sentiment ?
- Avec l’âge, une femme ne doit-elle pas penser à profiter de ses charmes avant qu’ils ne se fanent ?
Je ne sais nullement si la musique adoucit les mœurs mais je sais qu’elle n’apporte pas de réponses à mes multiples interrogations.
Le soir, pour éviter que mon mari ne s’inquiète sur ma subite frénésie sexuelle, je choisis de me donner du plaisir sous la douche avec mon sextoy. Mais je dois bien reconnaître que l’objet me sembla vite bien trop petit par rapport à ce que j’avais connu quelques jours plus tôt dans la cité du Maroc.

Le lundi en fin d’après-midi, je reçois un nouveau sms de madame Dahout «Madame de Trébout, pouvez-vous passer demain vers 12h00 ? J’ai les papiers ». Je lui réponds aussitôt « Oui, je serai là. A demain ». Je me dis en moi-même que plus tôt j’aurai bouclé le dossier de cette famille, plus tôt je pourrai oublier cet incident qui est en train de m’obséder. Le soir à la maison, malgré l’envie de me masturber qui me taraude le bas-ventre, je décide d’y résister. Nul doute qu’en faisant quelques efforts, je dois arriver à passer à autre chose pour reprendre une vie normale plus conforme à mes habitudes.
Le lendemain matin, alors que Edouard est déjà parti à sa banque, je suis encore en robe de chambre et j’hésite sur la tenue à mettre. Je dois veiller à ne pas être BCBG dans l’éventualité où le fils serait encore là ; inutile de le provoquer en lui montrant trop mes jambes. Je sors donc de ma penderie une robe longue très classique ainsi qu’un petit gilet qui ira très bien avec. Un manteau léger par-dessus conviendra complètera ma tenue. J’hésite toutefois concernant la lingerie.

Il doit être 11h30 lorsque je quitte mon bureau au volant de ma petite Twingo ZE électrique. J’ai expliqué aux collègues de travail avec lesquelles je déjeune que j’ai un RDV médical et ne pourrai donc pas me joindre à elles comme d’habitude. J’ai préféré arranger un peu la vérité car il n’est pas dans les coutumes du service d’avoir des RDV professionnels en dehors des heures normales de travail. Question d’assurance et de responsabilité civile semble-t-il en cas d’incidents ou accidents.
Je suis à l’heure et n’ai aucun problème à rejoindre rapidement l’appartement de la famille Dahout au 8ème étage du bâtiment C de la cité du Maroc. Je sonne et suis surprise que ce soit de nouveau le fils qui m’ouvre. Il me fait entrer et m’annonce d’emblée
- Ma mère vient juste de m’appeler. Elle est retenue à son travail !
Je le regarde quelques instants puis je lui réponds
- Ça ne fait rien ! Comme j’ai un autre rendez-vous dans le secteur, je ne peux pas traîner. Tu as les deux papiers qui manquaient ?
Il me demande de le suivre dans la cuisine où sa mère a accroché les papiers sur le frigo pour ne pas les oublier. Je le suis donc et nous voici dans une petite cuisine. Il décroche un papier et me le tend en me disant
- L’autre papier, elle ne l’a pas encore !
Je prends le papier en main mais lui ne le lâche pas pour autant. Il se rapproche de moi et ajoute
- Il faudra que vous repassiez une nouvelle fois. Ça ne vous ennuie pas ?
Je lui réponds sans lâcher le document et en le fixant bien droit dans les yeux pour lui montrer qu’il ne m’intimide pas
- Pourquoi est-ce que ça m’ennuierait ? Je ne crains rien !
Il est maintenant tout près de moi, relâche soudainement la feuille de papier et, avant que je puisse réagir, plaque ses deux mains sur mes fesses. C’est en me tutoyant qu’il me rétorque
- Mais non tu crains rien ! Je veux juste te faire du bien comme l’autre jour !

Comme la fois précédente, sa bouche s’empare de la mienne, et il me fouille de sa langue. Plaquant mes mains sur son buste, je tente de le repousser mais c’est impossible. Une de ses mains est maintenant dans mon dos en bas de mes reins et de l’autre il m’interdit de bouger la tête pour échapper à son baiser. Il me dit
- Ça m’excite que tu te débattes ! Mais tu sais très bien que tu vas y passer !
J’arrive à lui répondre
- Pour qui te prends-tu ? Petit prétentieux !
La main dans mon dos descend sur mes fesses et trousse le bas de ma robe. Il exulte en découvrant mes bas
- Salope, tu as mis des bas pour m’exciter ! Tu ne demandes que ça, être bien baisée.
Je continue de me débattre mais il se rend compte que mes gestes sont de moins en moins défensifs. Il me saisit de nouveau avec ses deux mains sous les fesses puis me soulève avant de me poser assise sur la table de la cuisine face à lui.

Il peut contempler à loisir le spectacle obscène que je lui offre avec ma robe troussée, les jambes grandes ouvertes, ma chatte que l’on devine sous la dentelle transparente de mon string. Sa braguette est déjà ouverte et sa queue déjà bien bandée. Il glisse ses mains sous les jarretières et me caresse les cuisses. Il jubile
- T’es vraiment canon ! Et tu portes des dessous de pute comme j’aime. Si mes potes te voyaient, ils n’en reviendraient pas !
J’ai beau vouloir refermer le compas de mes jambes, c’est impossible car il est maintenant emboîté avec moi. Son gland cogne déjà contre ma fente tandis qu’il m’attire tout contre lui et écarte mon string. J’essaye de lutter, physiquement et moralement, mais je sens que je vais m’abandonner à ses assauts. Je repense à mon comportement ce week-end et à la réaction d’Edouard. Nos étreintes conjugales me semblent bien fades comparées à cette vague de chaleur qui monte en moi lorsque son gros gland commence à m’investir. Je sais que je ne dois pas montrer mon plaisir à Mohamed sinon il va jouir doublement. Je dois faire semblant de lui résister, de trouver cela répugnant même si je n’attends que cela/

Me voilà maintenant couchée sur le dos, le formica de la table de cuisine me fait froid sur les fesses mais j’ai pourtant le feu au cul comme diraient les copains de Mohamed. Et mes collègues de travail, que penseraient-elles si elles me voyaient me faire saillir ainsi comme une vulgaire salope sur une table de cuisine au 8ème étage d’une cité de Seine Saint Denis ? Quelle dépravation pour une femme comme moi qui est toujours restée très prude et très conformiste, même lors de mes ébats conjugaux.
Mais c’est si bon de sentir en moi ce gros gland circoncis qui m’ouvre les chairs, qui m’explore, qui me taraude et qui me fait vibrer. J’aime quand ma chatte s’écarte sous ce gourdin volumineux, quand mes chairs se dilatent sous ce gros calibre et que son extrémité cogne tout au fond de ma matrice. Pourtant, je crie à mon assaillant
- Non, pas ça ! Je ne veux pas.
- Je vais appeler au secours, tu finiras en prison comme ton père !
Tout en continuant à me besogner sur la table qui se déplace sur le carrelage tellement il me défonce avec vigueur, il me rétorque
- Allons, avoue que tu aimes ça !
- Tu mouilles comme une chienne, salope !
- Tu es comme toutes les bourges, tu aimes la bite des beurs. Surtout des jeunes comme moi !
Alors que je pense qu’il va se vider en moi comme la fois précédente dans sa chambre, il se retire. J’en suis presque déçue et frustrée ! Il m’a tellement excitée que je n’attendais que ça, sentir tout son foutre se déverser en moi.
Il me dit
- Je n’veux pas te retarder pour ton autre rendez-vous. On en reste là !
Puis il se rebraguette et je le vois prendre son portable pour envoyer un sms. Je me remets debout, réajuste ma tenue et me dirige vers la porte. Au moment où je sors de l’appartement, il me rejoins et entre dans la cabine d’ascenseur avec moi.

Je le regarde sans dire un mot, je ne saurais d’ailleurs pas quoi lui dire. Le traiter de racaille des cités ? De petit prétentieux ? De futur délinquant ? Il me regarde droit dans les yeux sans dire un mot. A quoi peut-il bien penser ? Que je suis une salope ? Que je suis un bon coup ? Que j’aurais voulu qu’il me remplisse de foutre ?
Soudain, au moment où la cage d’ascenseur arrive au rez-de-chaussée, il appuie sur le bouton Stop interdisant ainsi l’ouverture de la porte et donc notre sortie.
Il me dit
- Tu croyais vraiment que j’allais te laisser repartir sans te d ...

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