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Ma patronne adorée

Publié par : trouakeu le 23/04/2024
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Je travaillais dans une petite entreprise lorsque j'avais une vingtaine d'années. Elle était dirigée par une femme d'approximativement une quarantaine d'années, à la silhouette attrayante. Elle portait une jupe en cuir rouge qui mettait ses rondeurs en valeurs, ainsi qu'un bustier soutenant deux globes qui ne pouvait qu'attirer les regards. Néophyte dans mon travail, je restais souvent tard pour finir les tâches de ma journée. Je la voyais souvent passer, parfois elle s'arrêtait derrière moi, me mettant une main sur mon épaule, pour voir où j'en étais. Il lui arrivait alors de se pencher, son buste collé à mon dos, pour corriger une erreur ou préciser un détail. Cà me mettait en émoi, étant d'un naturel plutôt timide. A plusieurs reprises elle me demanda si çà ne me gênait pas de rester ainsi tard le soir, si je n'avais pas de la famille ou une petite amie qui m'attendait. Je lui répondais par la négative, étant célibataire. Un jour, je ne sais pourquoi, je tournais ma tête vers elle pour lui dire qu'elle avait un parfum énivrant. Elle me souris en disant :"énivrant ? Tiens donc". Puis elle me demanda de la suivre pour qu'on puisse parler un peu. Elle me conduisit à son bureau qui avait tous stores baissés, ce qui était plutôt inhabituel.
Après quelques mots sur ma situation, elle finit par me dire : "Tu sais que tu me plait?", puis s'approchant plus près de moi : "Si je t'embrassais, tu serais choqué ?". Je lui répondis : "Etonné oui, choqué non". Sur ce elle prit ma tête avec ses mains, approcha sa bouche, et après un petit bisou, elle m'embrassa plus profondément, glissant sa langue entre mes lèvres. Cà m'incita à lui répondre de la même manière, la serrant entre mes bras. Je sentais la chaleur de ses gros seins contre ma poitrine, ce qui m'excita quelque peu, et je pense qu'elle s'en aperçu. Elle s'écarta un peu et me dit : "Et si nous allions discuter ailleurs". Elle me conduisit alors jusqu'à chez elle.
A peine entrés dans le vestibule, elle me dit : "Où en étions nous donc de notre conversation ?" et là elle reprit plus ardemment possession de ma bouche. En même temps je sentis sa main passer et repasser au niveau de braguette, caressant une bosse que je ne pouvais plus dissimuler. Entre deux circonvolutions de langue, elle me souffla dans l'oreille : "Tu peux me caresser, tu sais". Je me mis à lui caresser les fesses au travers de sa jupe de cuir, ce qui était des plus agréables. Elle devenait de plus entreprenante, faisant glisser ma fermeture éclair pour tâter de plus près l'objet de sa convoitise. Puis n'y tenant plus, elle me dit, vient, et elle m'emmena dans sa chambre.
Là, se penchant en avant, sa croupe encore emprisonnée dans sa jupe de cuir rouge, elle m'intima d'ouvrir sa fermeture éclair, ce qui libéra ses majestueuses rondeurs. J'eux à peine le temps de les admirer qu'elle se retourna pour faire tomber mon pantalon, puis nous nous débarrassâmes mutuellement du haut de nos vêtements. Ainsi dépouillés de tous obstacles vestimentaires, elle s'allongea sur le lit en écartant les jambes, et m'ordonna : "Viens, viens vite me baiser, je n'en peux plus". Je m'allongeais maladroitement sur elle, elle m'accueillit avec ferveur, et une fois ayant pris possession du lieu et quelques mouvements que je savourais, elle me lança : "Vas-y mon chéri, libère toi complètement" et dans une jouissance commune, alors qu'elle couinait sous moi, je l'inondais de mon foutre sans aucune retenue. J'espère qu'elle prenait la pilule parce qu'il y avait de quoi lui faire des sextuplés. Las, elle me regarda avec tendresse, e ...

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