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Ma première fois avec un homme

Publié par : mec550 le 11/11/2018

Je devais avoir, 19 ans, à l époque je conduisait un camion de petit tonnage, pour des trajets nationaux, aussi ce camion était il équipé d'une couchette rapportée au dessus de la cabine.
Ce jour je devais me rendre à paris au départ du limousin par ce qui est aujourd'hui l'ancienne nationale 20. Il devait être autour de 20 H et le soleil était couché, moi j'effectuai une pause sur un parking en bord de route, ce n'était pas une aire de repos, et les voitures et camions passaient bruyamment sur la route juste à coté de mes roues, mais la fatigue m'imposait de me reposer un peu avant de continuer pour une bonne partie de la nuit.
A l'époque mon régime 5 fruits et légumes se limitait souvent, comme ce soir, à des BN, que je grignotait coté passager avec la porte droite grande ouverte pour ne pas salir avec les miettes qui tombaient immanquablement. Avec pour vue des arbres sombres formant un bois à droite du camion.
Je rêvassais quand une voiture roulant à vive allure dans la direction opposée à la mienne, ralenti vigoureusement en arrivant à ma hauteur, puis tourna sur sa gauche pour faire demi-tour, et vint se garer derrière mon véhicule, stoppa son moteur et coupa ses feux.
Surpris, j'attendais en guettant les bruits, mais rien...
Dans ma tête je me faisais des petits films, et soudain l'idée que le geste de ce conducteur pouvait être motivé par ma vue, assis ainsi porte ouverte, comme une invitation, commenca à me donner des fourmillement dans le bas ventre, et lentement mon excitation montait.
Alors que je n'étais pas du tout un habitué des rencontres et que je n'y aurais même pas pensé sur le moment, mais c'était un de mes fantasmes récurent à l'époque ou internet n'était pas accessible au grand public et il venait de resurgir.
Tout en guettant le moindre bruit, je me penche de temps en temps pour tenter d' apercevoir la voiture, noire bien sûr, mais je ne vois rien.
Mon excitation est grandissante alors que je ne sais toujours pas pourquoi cette voiture s'est arrêtée derrière moi. Sans m'en rendre compte, ma main frottant allègrement le tissus de mon pantalon au niveau de la braguette, occasionne une bosse, et mon sexe qui cherche à grandir est en position repliée coincé dans mon slip ce qui m'occasionne une gêne et m'oblige à descendre le marchepied pour y remettre de l'ordre.
Maintenant que je suis au niveau sol, je décide de feindre une inspection de mon chargement pour me rendre à l'arrière et voir de plus près cet(te) inconnu(e). Arrivé à l'arrière, je jette un rapide coup d'oeil vers la voiture, c'est un homme, il fume une cigarette au volant avec juste la vitre ouverte. Je fait comme prévu et ouvre et referme aussitôt les porte de la caisse, histoire de trainer un peu dans le coin. Puis ne voyant pas de réaction, je prends mon courage à deux mains et m'approche de la vitre ouverte:
"Bonjour, vous avez l'heure s'il vous plait?"
"Bonsoir, il est 20h20..."
Et prenant un air blazé:
"Merci, pfff il se fait déjà tard, et je suis fatigué, mais il va falloir qur je roule encore un peu si je veux arriver"
"Vous n'avez pas de couchette pour dormir?"
"Si, c'est juste que je ne suis pas en avance..."
"Je me suis toujours demandé à quoi ressemblaient les couchettes dans un camion"
Et là je répond sans réfléchir:
"ben, je peux vous montrer la mienne si vous voulez"
"J'aimerai beaucoup!"
Et le voila qui me suit. Je lui explique que la couchette est située au dessus de la cabine et qu'il faut soulever une trappe pour monter, ce qui soulève aussi le matelas, et ce faisant j'ouvre la trappe pour qu'il puisse voir.
Il me dit qu'effectivement avec le matelas relevé et la trappe ouverte ou ne se rend pas bien compte de la taille de la couchette.
Je lui propose donc de monter avec moi pour pouvoir refermer la trappe. Je suis maintenant avec un inconnu, coincé dans la couchette, car nous sommes sur la trappe permettant de sortir!
Il complimente l'agencement et la propreté de l'endroit, et me demande si je n'ai pas chaud quand je dors fermé dans cet endroit exigu.
Je lui répond que si, et que d'ailleurs je dors nu tellement il y fait chaud. Lui me répond aussitot:
"Il fait déjà très chaud, tu peux te déshabiller si tu veut!"
Surpris par cette demande, je bafouille:
"vous aussi..."
Et me voilà me déshabillant devant un inconnu, mais je m'exécute car j'ai toujours ce fourmillement dans le bas ventre, et un léger tremblement, dù à la peur ou à l'excitation peut-être?
Je suis nu le premier, et suis allongé de côté sur la couchette, lui a gardé son slip et me caresse les cuisses, sa main passe doucement sur mon sexe qui a pris de la longueur, mais ne bande pas dur à cause des émotions qui me traversent, puis ses mains se dirigient vers mes fesses, et s'y attardent. Il me demande de me mettre sur le ventre, je m'éxécute.
Pendant de longues minutes ses deux mains vont et viennent sur mes fesses, de temps en temps, l'une d'elle se faufile dans mon sillon, me faisant un bien fou, je ne puis d'ailleurs le cacher car à chaque fois qu'une de ses main frôle mon anus, mon fessier se soulève pour prolonger la carresse.
Il me dit:
"j'adore tes petites fesses, elles sont très belles, j'ai envie de les embrasser..."
Et sans attendre mon consentement, il est déjà en train de leurs déposer des bisous au hasard, puis en se rapprochant de ma raie ou ils se font plus insistant. Son nez est maintenant entre mes fesses qu'il tient écarté de ses mains et ses baisers descendent vers mon petit trou. Je ne saurais dire à ce moment à quoi je pensai tant j'étais suspendu aux bon traitements qu'il me prodiguait, c'est quand il a sorti sa langue pleine de salive et qu'il est venu lécher mon petit trou que j'ai eu un moment de mal être en sentant cette humidité en moi comme si je m'était fait pipi dessus;
Rapidement, son souffle chaud sur mon intimité, la douceur de ses caresses sur ma rosette et la lubrification de sa salive, ont eu raison de mes éventuelles réticences, car mon petit trou s'ouvrait à ces délices et sa langue inexorablement se frayait un chemin vers l'intérieur de mon ventre, et j'en redemandait, sans le vouloir, par les petits bruits que laissait échapper ma gorge.
Il me baisait avec sa langue, la faisant entrer puis sortir à tour de rôle, mon anus ne se resserait même plus, j'étais aux anges et j'aurai voulu que ça dure toujours.
Mais il s'est relevé et a abaissé son slip devant moi, c'était la première fois que je voyait un sexe d'homme en érection d'aussi près, une petite odeur s'en dégagait et m'enivrait, j'étais toujours allongé sur le ventre, mais je me suis relevé sur mes coudes pour m'en approcher et la renifler.
"Si tu veut que je te la mette dedans, tu devrait là lubrifier pour que ce soit plus agréable" m'as t'il dit.
Alors comme dans un état second, j'ai ouvert la bouche, et laissé son gland se poser sur ma langue. C'était gros une fois dans la bouche, dur et mou à la fois, sans goût, mais avec une texture agréable. J'ai donc entrepris de s ...

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Mots-clés : Gay, Bisexuel, Branle, Sodomie, Au travail