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Ma sortie à l’Atlas le mercredi 8 mars…

Publié par : sally_soumise le 22/03/2017

Après mon passage à l’Atlas du lundi 6 mars (récit décrit dans les histoires X), je n’avais qu’une hâte : revenir au plus tôt. Le mercredi 8, j’avais mon après-midi libre mais je travaillais le matin. Depuis le lundi, j’ai prévenu un maximum de contacts et j’ai indiqué à plusieurs reprises sur le site sur l’onglet du ciné et sur ma fiche, que je revenais, quels étaient les challenges je me fixais et quelles étaient mes attentes… J’ai naturellement eu énormément de visites sur ma fiche, beaucoup d’échanges de messagerie et mon excitation était de moins en moins canalisable entre lundi et mercredi.
Je me suis fixé comme challenge de venir au ciné directement habillée en femme depuis la rue en pleine journée. Je prévoyais d’arriver entre midi et deux. Et je suis arrivé effectivement dans ce créneau horaire.
Il fallait trouver un moyen de réaliser mon fantasme, tout en sachant que je travaillais le matin…Je me suis donc levée tôt, j’ai bien pris mon temps pour me préparer le mieux possible (dernières touches d’épilation, notamment, pour être parfaitement lisse de partout). Je suis allé au travail en portant mes dessous féminins blancs (bas résille, ma petite culotte et ma guêpière) sous mes habits masculins. Et pendant toute la matinée, au travail, j’ai continué à communiquer avec mes contacts pour nous maintenir mutuellement « en température ». J’étais très excitée de sentir mes dessous féminins sur ma peau et j’étais encore plus excitée au fur et à mesure que midi approchait…
A midi, je suis sortie du travail, j’ai remplacé ma veste par mon imper mi-long (jusqu’aux genoux) et je me suis rendue vers le boulevard de Clichy, je me suis changée dans les toilettes d’un bar : j’ai enlevé le jeans, les baskets et le pull que je portais et je les ai remplacé par un fuseau et des petites espadrilles noires très légères ; j’ai enfilé auparavant ma petite jupe plissée orange à pois blancs, j’ai mis mon collier noir de chienne autour du cou, j’ai enfermé mon sexe dans ma cage de chasteté et je me suis « rafraîchie » de partout et j’ai fait les derniers « arrangements »(fond de teint, parfumée et lubrifiée) pour être « bonne à la consommation » dès mon arrivée au ciné. A la sortie du bar, je ne portais plus que deux vêtements « normaux » sous mon imper : mon fuseau et mes espadrilles. C’est ainsi que j’ai marché dans la rue jusqu’aux environs du ciné. Il me fallait ensuite trouver un endroit près du ciné où enlever ces derniers habits et enfiler ma coiffure blonde mi-court… A quelques centaines de mètres de l’Atlas, j’ai trouvé des toilettes publiques automatiques. Je suis entrée, j’ai enlevée mon fuseau pour laisser au grand jour mes bas résille blancs, j’ai enlevé mes petites espadrilles pour les remplacer par mes sandales noires ouvertes d’été à talons et j’ai ajusté ma coiffure. J’ai refermé mon imper, j’ai mis mes petites lunettes et je suis sortie, tombant d’emblée sur des personnes qui faisaient la queue pour les toilettes… Pas de remarques mais des regards… Mon excitation était déjà à son comble mais, là, dans la rue en femelle avec ma cage de chasteté portée, j’étais tellement excitée que j’avais même du mal à marcher… J’ai avancé ainsi sur terre-plein piéton du boulevard de Clichy, croisant d’emblée beaucoup de monde, beaucoup de regards, surtout avec ma coiffure blonde et sur mes talons sombres avec des bas résille blancs visibles sous mon imper (vêtement que j’avais pris la bonne précaution de choisir féminin). Autant dire, même si le temps était maussade, j’avais très très chaud… J’étais donc à quelques centaines de mètres du ciné, dans la rue, en femelle, sous les yeux de tous. J’ai avancé vers le ciné sur cette zone piétonne, mais je ne me suis pas pressé car j’avais reçu des « devoirs » de mon maître du sud de la France : faire des photos de moi en femme dans la rue en pleine journée. Il voulait aussi que je fasse de photos en ouvrant mon imper et en dévoilant à tous les passants les habits de pute que je portais dessous. J’ai fait les photos avec mon imper mais je n’ai pas osé en faire en l’ouvrant, trop de passage et puis, pour une première fois, j’avais déjà été bien loin : avec de nombreux passants tout autour, j’ai posé mon petit sac sur un banc, j’y ai appuyé mon téléphone contre, j’ai mis le minuteur et je me suis mise devant l’objectif à quelques mètres (pour être prise en photo de la tête aux talons), j’ai fait six clichés et je suis très contente du résultat (mon maître aussi d’ailleurs…). Mon challenge pour mon prochain passage à l’Atlas (prévu avant la fin du mois), c’est de renouveler cette opération en promenant en femelle plus longtemps et en allant jusqu’au bout pour les photos ; après tout, pour faire les photos dévoilant ce que je porte sous mon imper, il me suffit simplement de rester un peu plus longtemps à proximité du banc où j’étais, de détacher les boutons de mon imper et de l’ouvrir au moment de la photo pour le refermer aussitôt… Je vais faire ça sous très peu de temps et l’idée m’excite déjà comme pas possible.
Après ma petite séance photo improvisée dans la rue, j’ai rangé mon téléphone, j’ai repris mon sac, j’ai traversé la rue, je suis passé devant de nombreuses boutiques, j’ai croisé encore plus de monde sur les trottoirs, mon excitation n’a pas arrêté de faire des bonds, j’avais de plus en plus chaud (de la buée sur mes lunettes…) et je suis enfin arrivée au ciné. A l’accueil, j’ai payé mon entrée, je suis passée et, juste derrière, j’ai enlevé mon imper, j’ai fait les derniers ajustements, j’ai récupéré quelques accessoires dans le petit sachet que je gardais avec moi (vaseline, huile de massage, préservatifs) et j’ai laissé toutes mes affaires à l’accueil.
Pour la première fois, je suis entrée dans les salles du ciné en femelle, directement prête à l’emploi. Je portais ma coiffure blonde, mes petites lunettes de vue, mon collier de chienne avec sa chaîne, ma petite robe plissée orange à pois blancs et en dessous : ma guêpière blanche, mes bas résille blancs, ma petite culotte en satin blanc, ma cage de chasteté fermée, mes chaussures à talons. Je me suis rendue d’abord dans la grande salle du haut, j’ai bien pris mon temps pour monter les marches et j’ai choisi un siège où je me suis installée pour « prendre la température ». Les hommes, nombreux à l’intérieur, n’en revenaient pas de voir une femelle arriver directement de la rue, comme ça, dans sa tenue de pute. Je sentais leur excitation, c’était palpable. Une fois sur mon siège, j’ai décidé d’enlever ma robe, pour ne rester qu’en guêpière, pour exciter encore plus les mâles présents, je me suis lubrifié abondamment mon sexe encagé, sous le regard des hommes qui étaient debout autour de moi. Un premier homme d’un certain âge est venu s’asseoir à côté de moi pendant que je me lubrifiais, il a découvert ma cage, il ne savait pas ce que c’était et m’a demandé de lui expliquer ; je lui ai dit que c’était une cage de chasteté et que je portais ça car j’étais un sale jouisseuse. Je lui ai dit que lorsque je sortais au ciné sans cage, il m’arrivait de jouir au bout de 10 minutes de présence, tellement j’étais excitée et tellement j’étais incapable de me maîtriser, une vraie chienne en chaleur. Avec la cage, mon excitation monte sans cesse, je me laisse aller à m’offrir de plus en plus et je jouis que lorsque je le décide, au bout de quelques heures de présence, quand, trempée de sperme et bien défoncée de partout (ma bouche et mon orifice), j’ai eu ce que j’étais venue chercher. A ce moment-là, je me laissais traire par plusieurs mâles à la fois (comme le lundi 6).
Ce premier mâle a voulu me caresser mais j’ai joué la prude et je lui ai dit que je venais d’arriver et que j’avais besoin d’un peu de temps pour m’acclimater. Il n’a pas trop insisté, il s’est levé et est parti à un autre endroit du ciné.
Je suis restée sur mon siège et, très vite, un second homme est arrivé, il s’est assis sur le siège du rang du dessus du mien, il a commencé à me masser le haut du corps avec ses mains fermes et décidées, il les glissait sous ma guêpière pour venir pincer mes tétons ou serrer assez fort mes seins. Au bout de quelques instants, il m’a saisie par mon collier et ma laisse et il m’a intimée de me lever et de le suivre. Ainsi contrainte, forcée, avilie dans ma tenue de pute, avec des difficultés à marcher à cause de mes talons et de mon excitation (qui aux sommets me prenait toute mes forces), ce dominateur m’a dirigée vers la petite salle sombre (les wc non éclairés) attenante à cette grande salle du haut. Il m’a conduite jusqu’au milieu de l’entrée et là, il m’a forcée à me mettre à genoux. Il a sorti son sexe et me l’a directement enfilé dans l ...

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