Ce récit a été noté : 3.8 / 4

 
( 0 = histoire nulle   4 = histoire TOP )


Ajouter à ma liste
MA VIE DE COCU 3

Publié par : lemarquis44 le 16/02/2021

Ce soir la nous avons mangés rapidement mis les enfants au lit et sommes allés se coucher. Une fois au lit je me suis dit que j’allais tenter ma chance pour voir sa réaction. Je me serais contre elle et commença à lui caresser les fesses. Sa réaction ne se fit pas attendre « Ah je t’en pris fou moi la paix ce n’est pas le moment ! Dors donc plutôt ! » Dormir, dormir, elle en a de bonnes avec ce que j’avais vu cet après midi ça n’allait pas être facile et ce n’est pas le moment, Pourquoi donc ?

Le lendemain mes craintes furent confirmés quand Serge m’appela : « Alors espèce de lâche, tu t’es barré hier tantôt, Tu n’as pas supporté ? C’est vraiment dommage pour toi, tu as raté le meilleur.
Avec Jean claude on avait remarqué son petit trou qui nous faisait de l’œil alors on n’a pas pu résister. Elle n’était pas d’accord et elle nous a dit que même son mari n’y avait pas droit et bien tu vois on l’a fait pour toi, on te l’a enculer chacun notre tour . Je peux te dire qu’elle était bien serré on a bien vu que son anus n’avait pas souvent servit mais je te promet que les choses vont changer » Je me disais que cette bande de salauds ne respectaient vraiment rien. « De toute façon maintenant ta salope de femme elle n’a pas le choix, elle est à notre botte et si elle ne fait pas ce qu’on lui dit nous lui ferons sa renommé à travers tout l’hôpital, nous avons d’autres photos et là elle va morfler et puis je vais te dire on sais ou vous habitez et maintenant c’est dans ton lit qu’on va la baiser, quand tu seras au boulot, ha ha ha ! »
Bande de salaud ! Pensais-je et sur ce je raccrochais.

Dorénavant il fallait absolument que je dise à mon épouse que j’étais au courant de ses travers.
Je laissais passer les jours en attendant que l’occasion se présente. Celle ci se présenta le jour ou elle m’autorisa à jouer avec ses nichons. Après les avoir longuement caressé comme elle aimait je lui dit soudain : « Tu s’est je suis au courant que je ne suis pas le seul à m’en occuper ! »
Elle : « qu’est ce que tu racontes ? »
Moi : « ben oui quoi une belle poitrine comme ça ce serait dommage de ne pas en faire profiter les autres »
Elle : « Arrête donc de dire des bêtises, idiot ! »
Moi : « Ce ne sont pas des bêtises, je suis au courant de ce qui se passe à ton boulot entre toi et les porteurs »
Elle : « comment ça ? »
Moi : « tiens » Et je lui tends les photos que je venais de sortir de mon chevet.
Sur le moment, elle ne sut quoi répondre. Je profitais de sa surprise pour lui filer le coup de grasse en lui annonçant que j’avais assisté à ses ébats avec ses collègues dans une chambre inoccupé de son service. Le jour ou tu es rentré en fumant et en faisant la gueule précisais-je.
Avec son fort caractère elle rebondi rapidement en retournant la situation contre moi comme à son habitude. « Tu n’as qu’a te poser des questions pauvre imbécile. Tu as vu comment tu me fait l’amour, tu es à peine rentrer dans moi que tu éjacules, je n’arrive même pas à jouir. Ou alors tu me fais mal, Ou alors tu veux me baiser quand tu es à moitié bourré et tu t’endors sur moi, tu parles d’un bonheur. »
Elle poursuivit en me disant que son corps réclamait du sexe, qu’elle avait besoin de jouir, qu’elle voulait en profiter maintenant qu’elle n’allait pas attendre d’avoir cinquante ans etc.
Elle fini par me dire en haussant la voie « De toute façon c’est comme ça, c’est à prendre ou à laisser et si tu n’es pas comptant tu te barres ! »
Bien, tout était dis, c’était maintenant à moi de savoir ce que je voulais. Je lui dit que j’allais réfléchir et que demain je prendrais ma décision. Au font de moi elle était toute prise, je préférais être cocu plutôt que de perdre cette femme dont j’étais si fier. Et puis j’avais quand peur de me retrouver seul donc j’allais accepter son comportement en me disant qu’il y avait peut-être du positif à en tirer. Après tout cela me procurait quand même beaucoup d’excitation.
Donc le lendemain je lui annonçait qu’elle pouvait bien mener la vie qu’elle souhaitait, que je n’en avais plus rien à foutre et que j’en ferais autant de mon côté !
Je lui parlais ensuite que ses collègues m’avait dit qu’ils allaient venir à la maison pour la baiser dans notre lit pendant que je serais au boulot. Elle me dit qu’elle n’était pas au courant et que de toutes façons je ne serais pas la pour voir. Je lui répondis que j’espérais bien qu’elle me raconte.

Pendant plusieurs jours, mes journées de travail furent sérieusement perturbées par cette pensée de ce qui pouvait bien se passer dans mon lit pendant que j’étais là comme un con au boulot. J’avoue que ça me faisait quand même souffrir. J’eus plus d’une fois la tentation de quitter mon poste pour débarquer à la maison mais se serai t’il passer quelque chose ce jour la ? Je n’en savais rien.
Puis avec le temps ces sentiments de frustration s’estompèrent et je fini par ne presque plus y penser.

Quelques mois plus tard je fus envoyé en déplacement pour plusieurs mois bien loin de mon domicile. Vu la distance il n’était pas question de rentrer toutes les semaines.
Je me dis que là qu’elle n’allait pas m’avoir sur le dos elle allait vraiment se lâcher. Cela m’inquiétait un peu malgré tout. Mon couple allait t’il survivre à cette séparation, dans quel état allais-je la retrouver, elle un peu fofolle qui n’était vraiment pas très stricte avec la contraception je craignais de la retrouver engrossé, la honte quoi !
Avant de partir j ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite


Mots-clés : Histoire 100% vécue, Hétéro, Branle, Fellation, Sodomie, Pénétration vaginale, Soumission/domination, Marié(e)s, Au travail, A plusieurs