Une époque où j'étais abonnée à une revue spécialisée dans les rencontres, je recevais bon nombres de courriers, certain plus "fantasques" que d'autres.
Cependant l'un d'entre eux retint toute mon attention.

Plusieurs échanges plus tard, une invitation me fut faite pour me rendre chez ce Monsieur.
Ayant accepté, j'avais deux cent cinquante kilomètres à parcourir, je pris donc la route de bonne heure.

Ma voiture était équipée d'un radio, pouvant ainsi communiquer avec d'autres véhicules ou camions.
Pour rendre le trajet moins monotone, engagée sur l'autoroute, je m'amusais des mille-pattes "camions" les doublant, ayant une vue plongeante, je ralentissais à hauteur de la cabine.

Vêtus d'un ensemble tailleur, les échanges radio entre routiers ne manquaient pas.
- Attention les stations, il y a une gonzesse complètement débâchée (jupe bien remontée) qui vient de me passer.
Les commentaires fusaient sur les ondes (et l'YL "femme" es-tu là-dessus ?)

Bien entendu, je ne répondais pas aux "tu cherches ? C’est une salope qui allume, ce n'est pas pour ta queue), etc. "
À l'approche de ma destination, je cessais mon petit jeu.
Mon mentor m'accueillit chaleureusement.

M'offrant un bon café, il se plaça derrière moi, plongeant une main dans mon corsage, me malaxa les seins avant de m'entraîner dans sa chambre.
La soixantaine, assez svelte, et bien membré, mise sur le dos, sa main se glissa sous ma jupe la retroussant jusqu'à la taille.

Plongeant la main dans mon string de couleur rouge, il se mit à me branler le clito avant de l'absorber.
Pour faire suite à ses envies, il guida ma main vers son entrejambe.
J'entame une lente masturbation afin de bien le durcir, et le décalotter en douceur.

Me penchant sur ce braquemart, le prenant en bouche, ma langue se promène sur son gland, puis le long de sa verge avant de l'engloutir en ...

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