Il y avait ce soir-là dans la salle paroissiale qui dépendait de la congrégation religieuse qui les hébergeait, un spectacle musical organisé par le curé de la paroisse, qui avait invité une troupe de comédiens à interpréter une opérette de Francis Lopez.
La vogue était à Luis Mariano, et toutes les filles (ma marraine et ses amies en tête) étaient folles du bel hidalgo ! Le remplaçant de ce soir n'avait qu'à avoir l'air bellâte et à bien imiter le ténor basque, et il décrocherait le succès !
Nous nous assîmes ensemble dans la salle bondée, et quelques jeunes gens, firent des petits signes au groupe de filles qui m'entourait. Je remarquais aussi quelques regards curieux dans ma direction, et un jeune homme en passant devant notre rang en nous détaillant me décrocha même un clin d'oeil ! Geneviève le remarqua et dit à ses amies « Sylvie a déjà beaucoup de succès » ce qui les fit rire de plus belle;
Le spectacle commença et je réalisais soudain combien j'étais bien là, dans ma nouvelle toilette, parfumée, maquillée et si féminine, au milieu de ce groupe de jeunes femmes si désirables, qui représentaient pour moi le comble de la féminité.
Chacun des cinq actes était entrecoupé d'un court entracte, et je demandais angoissé à ma marraine comment j'allais faire pour aller aux toilettes ?« Mais le plus naturellement du monde, comme nous et dans les toilettes de dames « me répondit-elle en pouffant. Ses amies rirent aussi et Linda m'accompagna au sous-sol où se trouvaient les toilettes. Lorsqu'elle eut libéré la cabine, elle me dit qu'elle remontait dans la salle et que je n'avais qu'à les rejoindre ensuite. Puis elle m'abandonna seule. Je voulus m'enfermer dans la cabine, mais constatai vite que le loquet ne permettait pas de bloquer la porte. J'écartai donc les pans de mon manteau, et soulevant ma jupe, dégageais mon sexe de la fine culotte de nylon pour uriner debout face à la cuvette. Je me soulageais et j'étais en train de me réajuster lorsque j'entendis un léger bruit derrière moi. Je me retournai, et découvrit soudain l'un des prêtres de la paroisse à deux mètres de moi, assez étonné de ma posture. Je me rappelais soudain ce que m'avait dit Linda, à savoir qu'un prêtre descendait toujours aux entractes surveiller les toilettes, pour empêcher toute rencontre non permise entre filles et garçons!« Que signifie ceci ? commença-t-il d'un air passablement troublé lorsque je me retrouvais face à lui. Je rougis et murmurai doucement de ma voix la plus fine que je préférais uriner debout plutôt que de m'asseoir directement sur la lunette des WC, « pour une question d'hygiène».
Il me fixa et s'approchant de moi, se mit à me parler à voix basse et oppressée « Vous savez que c'est un péché très grave d'avoir une attitude impudique en public ? » Je voulus protester « Je ne suis pas impudique… » mais déjà sa main avait glissé sous ma jupe, et tandis qu'il me poussait contre le mur en refermant la porte de la cabine, je sentis ses doigts s'infiltrer sous la fine dentelle de ma culotte féminine, et soudain marquer un brusque temps d'arrêt lorsque sa main se referma sur mon petit sexe dressé dans ma culotte soyeuse ! Il sembla tétanisé, mais ne retira pas sa main, tandis que ses yeux s'attardaient sur moi pour tenter de percer le mystère de mon travestissement. Il bafouilla soudain « Vous allez remonter avec moi dans la salle, mais je veux vous voir dans mon bureau à la fin du spectacle »Je baissai les yeux en rougissant et acquiesai doucement de la tête. « Vous êtes venu seule ? » me demanda-t-il ; « Non, je suis accompagné de ma marraine et de ses amies ; ce sont elles qui m'ont ainsi déguisé » Il n'avait toujours pas retiré sa main qui enserrait toujours mon sexe ; il me sourit doucement et ajouta tendrement « C'est très réussi… Venez maintenant, je vous raccompagne en salle et nous nous reverrons tout à l'heure. » Il retira sa main, mais me serra brièvement et fortement dans ses bras avant de prendre ma main et de me faire remonter le petit escalier qui menait à la salle de spectacle. Je repris ma place près de Geneviève, mais il se baissa près d'elle et lui murmura qu'il me verrait à la fin du spectacle. Elle parut étonnée, et me lança un bref regard. J'attendis que le prêtre soit reparti s'asseoir derrière avant de lui dire que je n'avais rien fait et que j'ignorai pourquoi il voulait me voir. « Sois discrète, dis-en le moins possible, et contentes-toi de lui faire croire que tu es une de mes amies de province venue passer une semaine à Paris. Ne lui avoues surtout pas ton état réel ! Nous t'attendrons au pensionnat je te donnerai ma clé.» Je lui promis de ne rien avouer de mon état de garçon, omettant bien sur de lui dire que sa main avait déjà découvert « le pot aux roses »…
A la fin du spectacle, la salle se vida lentement, et plusieurs garçons proposèrent aux filles de les raccompagner jusqu'à la pension toute proche. Geneviève en profita pour me faire signe d'aller voir le prêtre, qui campé au fond de la salle me regardait fixement en attendant que je le rejoigne. Je me glissai vers le couloir de sortie, puis le voyant monter l'escalier qui desservait les bureaux du premier étage je le suivis de loin. L'étage était désert, tout le monde quittant le bâtiment, et j'eus l'impression que toutes les portes des bureaux étaient fermées. Pourtant, l'une d'elle s'entrouvrit et je vis le prêtre passer la tête, me découvrir et me faire de la main signe de le rejoindre. J'entrai le cœur battant à se rompre dans son bureau obscur, seulement éclairé par l'éclairage de la rue. Il ferma à clé la porte derrière moi, et prenant ma main gantée, me conduisit vers un canapé qui trônait contre le mur du fond de son bureau. « C'est un grave péché de revêtir des habits d'un autre sexe » commença –t-il d'une voix basse et discrète. Il vint ensuite s'asseoir à côté de moi, et sa main se posa doucement sur mes épaules. « Comment vous appelez-vous ? » « Sylvie » lui répondis-je sans réfléchir. Il sourit, me dit « c'est un prénom charmant » et sans plus d'hésitation il m'attira vers lui en m'enlaçant de ses bras, il fit glisser mon foulard, caressa doucement ma perruque puis, se penchan ...
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