Cela fait déjà pas mal d'années que je me suis mis à me travailler les tétons et j’y ai pris un immense plaisir si bien que maintenant, dès que je les effleure même à travers mon tee shirt cela m’excite énormément. Mon anus se met à frémir et il me prend une irrésistible envie de me faire enculer.
Dans ces cas là, je saute dans ma voiture et me rend dans un lieu de rencontre pas très loin de chez moi ou j’ai de fortes chances de rencontrer des client.
Arrivé sur place je me gare et pénètre dans ce bois ou ont été installés, je ne sais par qui, des sortes d’autels sacrificiels fait de pneus ou blocs de polystyrène. Je prend l’allée du fond et tourne aussitôt à gauche dans un petit chemin en cul de sac ou se trouve un premier autel en pneumatiques. Ce n’est pas le préféré des adeptes car c’est paraît-il celui qui est visité par la police mais je l’aime bien car c’est aussi celui ou il y a le plus de visiteurs.
Je m’installe et me déshabille plus ou moins selon le temps et m’occupe de mes tétons, j’aime sentir un rayon de soleil qui vient chauffer mon corps à travers les branchages ou bien les caresses d’un courant d’air sur mes fesses et mon sexe.
Je tourne toujours le dos au chemin de manière à ne pas voir qui arrive, j’aime les surprises. Parfois un léger craquement vous prévient d’une arrivée imminente, parfois rien, vous sentez soudain un souffle dans le cou, une main qui vous caresse les fesses ou vous palpe les couilles, c’est déjà un grand plaisir qui monte en vous.
Généralement le client passe devant et me regarde me triturer les tétons avant de prendre les affaires en mains. Certains font ça avec délicatesse mais d’autres sont de véritables sadique et pincent et étirent mes tétons sans ménagement jusqu’à faire vraiment très mal je gémis et grimace de douleur mais je vois dans leurs yeux le plaisir qu’il ont à me faire souffrir et souvent ils ajoutent «  T’aime ça ma salope hein ! » en pinçant de plus belle. N’y tenant plus je leur dis «  Va y encule moi maintenant, je t’en supplie »
Ils ne se font pas prier et on vite fait de me ret ...

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