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Metro en allant à la fac

Publié par : klod le 28/01/2019

Ces souvenirs datent d’il y a quelques années maintenant…
C’était l’heure de pointe, les rames du métro étaient bourrées à craquer. Normal avec ces mouvements de grèves les Parisiens étaient littéralement pris au piège…
Le signal sonore retentissait dans la rame pleine, bousculé, je montais presque malgré moi, poussé, porté par la foule qui s’entassait avant la fermeture des portes. Impossible de se tenir mais je ne risquais pas de tomber, serré comme nous l’étions !
Je me tournai un peu pour tenter de trouver une position légèrement plus confortable, je vis juste contre moi, ce beau mec que j’avais remarqué sur le quai quelques minutes plus tôt : une quarantaine d’années, environ 1M80, mince, très bien foutu, genre sportif entretenu, le costume sombre parfaitement taillé, et, surtout un visage superbe, des yeux d’un bleu magnifique et pétillant, une barbe parfaitement taillée et entretenue… Le mec type hétéro superbe, celui dont toutes les femmes rêvent !
Les secousses du métro nous rapprochaient sans cesse, nos corps l’un contre l’autre se touchaient. Ses yeux ne me quittaient pas et son sourire permanent me semblait adressé ; j’avais à peine vingt ans à l’époque, étudiant à la fac, mince, 1m72, une soixantaine de Kilos, soigné de ma personne, je ne laissais pas indifférent, mais trop timide, mes aventures étaient restées jusque-là presque inexistantes…
Mon bel inconnu ne semblait absolument pas dérangé par notre promiscuité. Il devait se rendre à son bureau. A la station suivante, profitant du mouvement des voyageurs descendants, je me glissais un peu plus au fond de la rame, mon bel inconnu en fit autant, restant près de moi. J’étais troublé. La foule s’entassait de nouveau nous poussant l’un contre l’autre irrémédiablement. Les portes de la rame se refermant, je sentis comme une main contre ma cuisse. Je ne fis rien, ne bougeais pas. Cette main se faisait plus précise, semblant chercher un espace, plus confortable, elle remonta légèrement pour se retrouver au niveau de mon sexe ! Sentant ce mouvement, ma bite troublée se mit à bander sans retenue, et je sentais maintenant cette main la caresser sans hésitations.
Mon bel inconnu me regardait dans les yeux, et brusquement m’adressa la parole : « désolé pour l’inconfort, nous sommes très serrés ! » je souris et rougis, mais restais sans voix ; il enchaîna « Vous descendez à la prochaine ou bien plus loin ? »
Je lui répondis qu’il me restait encore cinq stations… Son regard parut encore plus brillant, son sourire encore plus prononcé « comme moi alors me répondit-il ! »
Les mouvements de sa main étaient précis, elle caressait mon sexe gonflé et excité, je commençais à avoir très chaud, puis subitement son autre main pris la mienne et la colla sur sa braguette. Je le laissai ...

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