Le soir arrive et j’entre dans l’hôtel restaurant que j’avais réservé. Je m’installe dans la chambre et me mets à l’aise avant de me rendre dans la salle de restaurant. Il n’est pas tôt et le serveur me propose une table mal placée qui ne m’attire pas du tout. Je jette un œil autour et je remarque un homme seul sur une table qui offre une jolie vue sur la mer. Le gars est assez attirant que la vue d’ailleurs. Je demande au serveur si cet homme seul accepterait de partager sa table et comme nous sommes assez près, il entend ma demande, me regarde et accepte avec un grand sourire auquel je réponds avec enthousiasme.
Le serveur m’installe et je fais connaissance avec ce client chaleureux. Il est dans le commerce… Il n’a pas encore commandé et nous commentons ensemble la carte. Nos attirances sont quasiment les mêmes et nous hésitons entre deux entrées et deux plats principaux. Je lui propose de choisir différemment l’un l’autre afin de faire goûter à l’autre ce qu’il n’a pas commandé. Il acquiesce et nous débutons par un petit apéritif.
Le serveur nous apporte nos verres et une coupelle avec quelques amuse-bouches. Au moment de goûter les amuse-gueules, nos mains se touchent et nous nous regardons avec un éclat dans les yeux. Arrivent les entrées puis plats principaux. Nous nous faisons goûter l’un l’autre nos plats avec une connivence certaine et arrive le dessert commun : une tarte tatin avec crème fraîche, flambée au Calvados. Les flammes illuminent nos regards qui ne nécessitaient pas autant de faveurs. Dès que le serveur est venu vers nous, nos pieds se sont mis au contact de la cheville de l’autre.
Notre repas prend fin. Nous nous sommes régalés tant culinairement que socialement et l’attirance première entre nous a cru progressivement au fil de notre conversation. Nous décidons de prendre un café agrémenté d’un bon digestif ancien local. Après l’apéritif et le vin, ce breuvage continue à échauffer nos esprits. Nous quittons la table et montons à l’étage. Nos chambres sont contigües et je propose à mon voisin de nuit de venir poursuivre notre conversation dans ma chambre. Il accepte.
Dès que je referme la porte derrière lui, il m’enlace et nous nous embrassons à pleine langue avec ferveur. Nos bites se tendant l’une contre l’autre au travers des tissus de nos pantalons. Tout en nous embrassant nous nous frottons les bites et nous commençons à nous désaper. Les vêtements tombent à terre les uns après les autres et nous nous retrouvons nus, bite contre bite, torse contre torse, langue contre l’autre. Nos mains se promènent sur le corps de l’autre et nous nous échauffons sexuellement.
Je le pousse sur mon lit et commence à lui bouffer la bite : une jolie queue au gland bien dessiné et à la couleur vive. J’en apprécie la raideur, la texture, la douceur, l’odeur et le goût. Tout en le suçant, je lui travaille la raie et je sens bien que sa rondelle est sen ...

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