Vero était si occupée avec son gode et captivée par la vidéo qu elle regardait qu elle ne nous a pas vu revenir dans le salon.
Nous étions sortis, François et moi, de la douche très calmes et moins excites mais la vue du gros gode enfoncé dans la chatte trempée de Vero et les soupirs qu elle poussait à chaque mouvement du gode nous firent rebander immédiatement.
Nous étions débouts, François saisit ma bite, me la decalotta vivement et me serra la base de la hampe. Mon zob était violacé.
Je lui rendit la pareille au moment où Vero cria sa jouissance et inonda le canapé de son jus.
Tu aimes les godes, me demanda François ? Les plus petits, répondis je !
Il ouvrit le tiroir ou Vero avait pris le sien et me montra un petit jouet vibrant. OK ? Oui, bien sur.
Il me fit allonger sur l autre canapé, relever les jambes, mis le gode en vibrations et commença à le passer autour de ma rondelle. C était doux. En même temps, il me pris le zob en bouche et me sucait légèrement en cadence.
Vero n était pas retournée à la salle de bain, elle avait juste essuyé sa chatte sur son peignoir et semblait éreintée par ses deux orgasmes.
Sa touffue noire était luisante, les poils collés par son jus, son clito dépassait de ses lèvres, mais ce sont ses seins qu elle caressait, ses tetons, au milieu de ses auréoles larges comme des soucoupes de tasse à café.
Nous étions dans un moment calme.
La bouche de François passait de ma bite à ma bouche, le gode vibrait autour de ma rondelle. J aurai pu m endormir.
C est Vero qui repris l initiative, en allant chercher un gode ceinture dans le tiroir.
François ne la vit pas s équiper et fut tout étonné quand elle lui demanda de se retourner et de la sucer.
Tu veux faire la femme, vas y, gros pédé, lui sussura t elle.
François lâcha ma bite pour sucer sa femme. Le gode continuait à vibrer entre mes fesses. Je l attrapais et me l enfonçais doucement.
Franço ...

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