Si le romantisme vous gave, passez directement au chapitre 3 (les lâches qui mettent des zéros sans faire l'effort d'écrire des histoires pour faire plaisir aux autres me gavent, mais pas avec leur sperme !)

1. Stéphane et moi nous sommes rencontrés sur le pont de Plougastel en octobre dernier à la suite d'un échange de messages sur LDD.
Je m'étais fixé pour objectif de ne pas avoir de contact physique avec lui lors de de cette première rencontre, le covid aidant.
Dès que je l'ai vu, je suis tombé sous son charme. Il m'a parlé de sa voix douce et virile, m'a parlé de sa vie d'une façon qui m'a parue si sincère ! Il m'a regardé franchement.
J'avais envie de me blottir dans ses bras puissants, de placer ma tête contre sa poitrine et écouter les battements de son cœur, de prendre ses mains pour en percevoir la douce fermeté, caresser tout son corps pour en évaluer la puissance de feu...
Malgré la tentation, j'ai tenu, tenu et tenu encore. Nous nous sommes quittés et je me revois prendre le volant, démarrer et le quitter sans me retourner.
L'après-midi même, n'y tenant plus, je lui ai adressé des messages et les jours suivants mais je n'eus aucun retour.
Avait-il eu peur de ce que je lui avais dit ? Je me trouvais dans une situation matrimoniale qui ne durerait pas. Je n'envisageais aucun retour à une relation bisexuelle mais plutôt une relation homo que je ne cacherais pas. Je ne voulais pas d'un coup d'un quart d'heure, dans une voiture ou sous un arbre à l'abri des regards...
Je me suis connecté tous les jours et quand j'ai vu que son compte LDD avait disparu, j'ai effacé nos échanges et je me suis contenté de lire les histoires érotiques pour une hygiène séminale sans avoir envie de connaître un autre homme que lui.

2. Il y a un mois, il m'a recontacté et j'ai immédiatement répondu ! Ce sont des problèmes de santé qui ont induit cette coupure de communication entre nous. Nous avons convenu d'un nouveau rendez-vous. Je ne le laisse pas imaginer à quel point le retrouver m'excite. Cette fois, je ne ferai pas la pucelle effarouchée et j'ai bien l'intention de profiter de son physique de feu. La dernière fois que j'ai été sodomisé remonte à une vingtaine d'année. Je n'ai pas eu le temps de jouir mais j'ai été contaminé par des condylomes qui m'ont valu des opérations chirurgicales aux suites douloureuses

3.Nous y sommes : il est là, face à moi, à quelques mètres. Nos regards se fixent chaleureusement. Il s'approche et nous nous enlaçons naturellement. Nos bouches se rencontrent par le même mouvement non réfléchi et nous échangeons quelques bisous furtifs et tendres tout en nous regardant. Puis notre attirance réciproque se traduit par un contact plus marqué de nos lèvres les unes contre les autres et simultanément nos langues pénètrent les défenses de l'autre. Elles se palpent l'une et l'autre, elles tournoient et dansent ensemble, elles font communion en suivant des courbes inattendues et délicieuses. Elles effectuent un merveilleux mélange de nos salives et déclarent le feu de l'amour : cette chorégraphie a instauré chez chacun de nous une excitation sexuelle qui dresse nos pénis l'un contre l'autre. Alors que mes mains étreignent la chevelure de Stéphane, lui, me caresse le dos de la nuque au bas du dos. Il commence à me malaxer gentiment les fesses avant de venir me prendre fermement le sexe turgescent. J'en fait de même et défait sa braguette afin de libérer son pantalon à la gravité terrestre. Ma main a alors le plaisir de toucher un tissu d'une douceur exquise au travers duquel elle peut estimer le volume d'une bosse prometteuse. Je masse cette montagne et constate qu'elle grossit. Je me baisse pour lui adresser des baisers puis des sucions. Mais aussi doux que soit ce tissu, il fait obstacle et je le traverse par derrière en longeant les fesses de mon partenaire. Je remonte alors jusqu'à l'élastique que je fais descendre jusqu'à ce qu'il se débrouille seul pour rejoindre le pantalon qui le recouvrait auparavant. J'ai ainsi libéré un chibre que j'admire avec les yeux avant de le prendre en bouche goulûment. Je commence par laisser trainer ma langue sur le gland afin d'y recueillir cette gouttelette de précum qui pointait. Je m'en délecte. Sitôt j'enfourne cette lance de chevalier au plus profond de ma gorge et j'entends un râle viril qui accompagne une prise à deux mains de ma tête. Je commence à sucer en allant et venant. J'aime la saveur épicée de cette tige turgescente qui va et vient dans ma bouche, le long de ma lague et d ...

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