Il insista alors pour que nous rapprochions nos teubs afin de la comparer. Confusément, j’espérais que la mienne ne serait pas plus grande que la sienne car je devinais qu’il le vivrait mal. Il me fit me lever avec lui, nous nous mîmes face à face et sans me demander mon avis, il posa ma bite sur le sienne. Comme je reculais, surpris, il me dit :
-Allez, n’aie pas peur, c’est juste pour comparer. T’as jamais fait ça avec tes potes ?
Et il s’approcha, superposant à nouveau nos vits. Par chance, le sien s’avéra légèrement plus long que le mien. Il me le fit remarquer et je l’en sentis fier. En revanche, il ne mentionna pas que le mien était légèrement plus épais que le sien. Mais je ne dis rien … Cependant, la comparaison était faite et pourtant il ne lâchait pas nos queues. Progressivement, il entama même un mouvement de va-et-vient pour nous branler ensemble. Cette fois, je reculai violemment.
-Arrête Vincent. Je ne suis pas pédé !
Il éclata de rire.
-Et moi, tu crois que je le suis, vu comment je baise ta mère – et les autres ? Faut te décontracter, mon coco. Et de toute façon, j’ai décidé que j’allais t’apprendre la vie ! Tu vas faire ce que je veux, compris ?
Je savais qu’il maîtrisait mal ses émotions et pouvait rapidement devenir violent. Je savais aussi que je n’étais pas de taille à lutter contre lui. Je le laissai donc nous masturber. Ce que je n’avais pas prévu, c’est que lentement mais régulièrement, le plaisir s’immiscerait dans nos rapports. Le contact de cette main ferme mais douce pour la première fois de ma vie n’était finalement plus si désagréable et ma respiration s’accéléra. Je fermai les yeux et me mordis la lèvre inférieure.
-Petit salaud, va ! tu vois que tu prends ton pied !
Je ne prêtais pas attention à sa remarque, ayant choisi de me laisser porter par le flot de ce plaisir inédit. Il recula alors d’un pas et, saisissant ma main, il y mit son propre sexe puis m’incita à le branler pareillement. Je ne résistais pas. Le jeu se poursuivit quelques instants puis il nous fit asseoir et assis l’un près de l’autre, cuisse contre cuisse, nous reprîmes notre branle mutuelle. J’avoue que je n’avais plus peur. La curiosité et le plaisir ayant pris le pas sur l’angoisse du départ. Vincent me regardait, arborant un sourire narquois, fier d’avoir gagné cette première manche. J’ignorai, quant à moi, que le jeu n’allait pas s’arrêter ainsi.
-Ca te dirait d’y goûter ? me lança-t-il à brûle pourpoint.
Sa question me sortit instantanément de la douce torpeur dans laquelle je m’enfonçais, faisant rejaillir une peur soudaine. Je restais silencieux, incrédule.
-Tu veux me la bouffer ?
-Non, ne me demande pas ça ! suppliais-je.
-En fait, je ne te le demande pas. Je t’en donne l’ordre !
Et saisissant ma nuque, il abaissa mon visage vers son dard menaçant. Je me débattis mais en vain. Son dur prolongement d’homme entra de force dans ma bouche. Un haut-le-cœur me saisit aussitôt mais il me tenait ferme par le cou et je ne pus rien faire.
-Suce maintenant, salope ! éructa-t-il. Fais voir si t’es aussi bon suceur que ta mère !
Son sexe envahissait ma bouche et de ses mains puissantes qui entouraient ma tête, il m’obligeait à un mouvement de va-et-vient. Quand il arrêtait de bouger ma tête, c’est son bassin qui prenait le relai. Il me baisait la bouche. Plus j’essayais de me dégager et plus il m’enserrait le crane comme dans un étau. A la fin, sous la douleur, je renonçai à résister et je le laissai se servir de ma bouche comme d’un vagin dans lequel il finit par se répandre en grognant de plaisir.
-Putain, chiennasse. Que c’est bon ! La vache ! Tu m’as bien fait jouir !
J’avais son foutre dans la bouche ; je fus pris d’un nouveau haut-le-cœur et je crachai tout sur le carrelage au sol. Il éclata de rire. Les hauts-de-cœur se poursuivaient et je croyais que j’allais vomir. Lui s’amusait toujours de la situation. Quand je fus calmé, il me fit assoir près de lui et me prenant par les épaules il déclara ...

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