Depuis quelque temps j'écris un journal qui mêle à la fois fiction et expériences réelles (ou désir inassouvi)... voici la dernière en date... c'est une histoire totalement fictive... c'est une histoire totalement fictive... car Isabelle est au jour d'aujourd'hui en couple.

Journal d’Isabelle n°55
samedi 11 mars 2023

MONSIEUR
quatrième partie

J’étais encore toute tremblante de la séance du ceinturon, et mon Maître me permit d’aller me coucher.
J’ai été réveillée en pleine nuit. C’était Olivier... il était au-dessus de moi, les jambes de chaque côté et il me mettait sa queue dans la bouche.
— Salut salope, j’ai trop envie de pisser.
J’étais surprise, et je me demandai où était “Monsieur”. C’est dans la pénombre de la chambre que je l’ai vu. Il était juste à côté du lit et regardait la scène. Il me sourit.
— Allez, Isabelle, sert bien mon ami.
Rassurée, j’ai offert, soumise, ma gorge à Olivier pour qu’il puisse se satisfaire.
Une fois qu’il eut fini, mon Maître se rapprocha.
— Donne-moi ton cul, j’ai très envie de te prendre ton p’tit trou.
Je me mis alors en position de levrette. Je sentis ses mains parcourir mon postérieur encore endolori des coups de ceinturon que j’avais reçu. Olivier, lui, s’était positionné en face de moi. Il me caressait les joues d’une main tout en se branlant de l’autre, son gland à l’orée de mes lèvres.
“Monsieur” m’a donné une forte claque sur les fesses.
— Écarte mieux, Isabelle !
J’ai obéi, et une seconde, il m’a prise, alors qu’Olivier enfournait sa pine dans ma bouche avec une claque sur la joue.
— Suce, salope.
Les coups de boutoir de “Monsieur” d’un côté et le va-et-vient nerveux d’Olivier de l’autre ont fini par me réveiller complétement. J’étais la proie de leur concupiscence respective.
— T’as vraiment une bonne bouche.
Alors que j’essayais de sucer au mieux Olivier, lui ne cessait de me claquer les joues en me traitant de tous les noms, et je sentais bien que ça l’excitait. Son sexe battait la chamade dans ma gorge et prenait encore plus de place à chaque claque qu’il me donnait.
— T’es une bonne pute... t’aime ça !
Évidemment, c’était du dialogue classique de film porno, mais j’avoue que ça avait aussi tendance à m’exciter aussi, à lui donner le meilleur de moi-même.
“Monsieur”, lui, était du genre silencieux quand il me prenait, mais ça ne l’empêchait pas de taper du pl ...

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