Depuis quelque temps j'écris un journal qui mêle à la fois fiction et expériences réelles (ou désir inassouvi)... voici la dernière en date... c'est une histoire totalement fictive... sauf mon goût pour l'uro, mon masochisme et le désir que j'ai d'appartenir.

Journal d’Isabelle n°53
mardi 7 mars 2023

MONSIEUR
seconde partie

“Monsieur” était, je crois, assez content de lui après la dernière “séance”. Nous avons passé le reste de la journée à travailler chacun de notre côté.
Vers 17 heures, il était parti faire des courses pour le dîner, et moi je travaillais sur le texte d’une féministe du XVIe siècle, Marie de Gournay... “Égalité des hommes et des femmes”, quand un homme est entré dans mon café-librairie.
Il faut dire que j’avais changé de tenue... obligée à cause des clients “classiques” et de la législation sur l’exhibition... dommage. J’étais donc en jupe mi-longue noire, bas blancs avec ma guêpière sous un Marcel blanc, mon gilet en laine noire et mon large collier de soumise en métal.
— Bonjour Monsieur, vous désirez ?
Le type, de taille moyenne, légèrement barbu, plutôt beau mec, me sourit.
— J’ai vu sur le site lieuxdedrague que vous proposez un café-pipe, et je trouve l’idée sympa.
Ça me fait toujours le même effet... et je rougis presque... mais je devais le mettre au courant de ma situation.
— C’est gentil, mais voilà, mon Maître est parti faire des courses pour le dîner... ça m’embête un peu.
Il se rapprocha de moi.
— J’aime bien ta poitrine, me tutoya-t-il.
— Merci, pour le moment c’est plutôt du Jane Birkin...
C’est à ce moment-là qu’il prit mes tétons d’office, les tournant entre ses doigts. Et comme toujours, ça m’a rendu très docile.
— Ça te fait de l’effet, dis-moi !
— Ooooh ouiiii.
Je me suis mise à genoux. Il jouait encore avec mes tétons. J’ai ouvert sa braguette, j’y tenais plus. J’ai sorti sa queue.
C’est à ce moment-là, où Monsieur est revenu des courses. Je n’y avais pas fait attention.
— Ah bé je vois ! On s’ennuie pas !
Le mec n’a pas bougé, il m’a même mis sa bite dans la gueule.
— Tu permets que je m’en serve ?
Moi j’étais toujours à genoux, mes tétons pris et roulés, la bite dans la bouche, sans savoir ce que je devais faire. Je regardai du coin de l’œil et finalement, je commençai à sucer cette queue.
— Au point où t’en es... je t’en prie. Tu veux rester dîner ?
Là, j’avoue, quand j’ai entendu ça, j’ai arrêté de faire ce que je faisais, et je suis restée toute bête, sans bouger, avec la bite dans la bouche. Le type m’a donné une petite claque sur la joue.
— Allez ! Continue, salope !
J’ai obéi, puisque mon Maître l’avait autorisé. J’ai continué cons ...

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