Depuis quelque temps j'écris un journal qui mêle à la fois fiction et expériences réelles (ou désir inassouvi)... voici la dernière en date... c'est une histoire totalement fictive... car Isabelle est au jour d'aujourd'hui en couple.

Journal d’Isabelle n°57
jeudi 16 mars 2023

MONSIEUR
sixième partie

On était dimanche matin, j’avais ouvert la boutique, et je m’apprêtais à travailler à un bouquin sur la Bête du Gévaudan, quand mon Maître s’est approché de moi.
— Lève-toi, Isabelle.
J’ai obéi et il m’a regardé de bas en haut.
— Je n’aime pas comme tu es sapée.
J’avais mis une jupe longue noire avec par-dessus une tunique aux genoux à marinière et aux épaules nues, de longues chaussettes très colorées, juste des chaussons et j’avais évidemment mon collier de métal au cou.
— Ah ? ai-je fait un peu dépitée.
— Attends, j’ai ce qu’il te faut.
Décidément, “Monsieur” était venu avec une large garde-robe.
Hier, il m’avait imposé une jupe en cuir noir assez courte aux fesses nues, un t-shirt à marinière qui laissait mon ventre nu, cachant à peine mes tétons, des bas résille blancs et des bottines noires cadenassées aux chevilles.
Là, il a sorti de son gros sac une jupe noire ultra courte aux fesses nues mais avec des fils de cuir qui barraient mes fesses, des bas noirs très sexy fixés à un porte-jarretelles, un corset élisabéthain rouge et noir qu’il m’a serré très fort pour faire ressortir encore mieux mes petits seins, par-dessus, une chemise noire sans bouton. Il a détaché le cadenas de mon collier et m’en a mis un autre fait d’une large bande de cuir noir muni de deux anneaux, l’un devant et l’autre derrière, ainsi que deux petites chaines avec des pinces à seins, qu’il a lui-même accroché.
— Eh bien voilà ! Comme ça tu es telle que tu dois être.
Évidemment, j’ai laissé sur la porte d’entrée l’affichette :
“Club pour adultes libertins ce weekend”
— Merci Maître, ai-je dit humblement.
— Attends, c’est pas fini.
Il a sorti un plug de son sac, il était un peu spécial, parce qu’il était comme une sorte de tuyau, pas très long, mais assez large, et il était en plus nanti d’attaches[1].
— Baisse-toi.
Je me suis mise en position et il me l’a enfoncé dans le petit trou. J’ai un peu couiné, mais l’objet a trouvé sa place. Ensuite il a cadenassé les attaches, si bien que je ne pouvais plus le retirer de moi-même.
— Tu vois, c’est un plug que je peux commander à distance par smartphone. Tu vas le garder déjà toute la semaine prochaine quand je serai abse ...

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