Depuis quelque temps j'écris un journal qui mêle à la fois fiction et expériences réelles (ou désir inassouvi)... voici la dernière en date... c'est une histoire totalement fictive... sauf mon goût pour être fouettée et le désir que j'ai d'appartenir.

Journal d’Isabelle n°54
jeudi 9 mars 2023

MONSIEUR
troisième partie

“Monsieur” et son invité de dernière minute était en train de dîner, alors que moi j’étais retenue au crochet d’une poutre par une laisse accrochée à l’anneau de mon collier de métal.
J’étais toujours habillée avec ma jupe mi-longue noire, mes bas et ma guêpière blanche sous un Marcel blanc et mon gilet en laine noire.
— Au fait, c’est quoi ton prénom ? questionna mon Maître.
— Olivier... c’est vrai qu’avec cette salope, j’ai pas eu trop le temps de me présenter.
Tous les deux tournèrent alors la tête vers moi avec un large sourire.
— Je trouve qu’elle est un peu trop habillée, tu ne crois pas, Olivier ?
— Pour sûr !
Mon Maître se leva, retira d’abord mon gilet, baissa ma jupe...
— Lève une jambe, Isabelle !
Ce que je fis évidemment. Il passa la jupe par en dessous.
— L’autre maintenant.
Et il enleva la jupe complétement.
Il était dans mon dos, il passa ses mains sous le Marcel pour me prendre les tétons et les pincer tellement fort que j’ai eu du mal à ne pas crier.
— Elle aime ça, la garce ! dit Olivier, c’est bête qu’elle soit accrochée, j’aurais bien voulu voir ses nichons.
— Qu’à cela ne tienne. Mais j’ai pas envie de la décrocher... attends ! J’ai une idée.
Mon Maître se dirigea vers mon bureau, pris une paire de ciseaux. Et revenant vers moi, il se mit à découper le Marcel dans le sens de la longueur, libérant mon corps de ce léger vêtement.
— Eh bien voilà, souris mon Maître.
Il reprit mes tétons, les triturant encore plus fort. Je me dandinais, m’obligeant à ne pas me défendre... en effet, j’avais toujours les bras libres.
— Ça lui fait de l’effet, constata Olivier.
— Ça lui fait du bien de savoir où est sa place... hein esclave ?
J’acquiesçai en secouant la tête de bas en haut dans un mouvement saccadé... il me faisait si mal. Mais je ne dis rien.
— Tu sais ce qui lui ferait du bien, et nous procurerait une bonne satisfaction ?
— Quoi donc, Olivier ?
Ce dernier se leva aussi, alla vers mon bar où j’ai mis à disposition un ceinturon, pour ceux qui voudraient en user.
— Je vois... bonne idée... mais attends.
Mon Maître se munit d’une des paires de pinces à seins qui sont aussi à disposition. Il me les suspendit au bout de mes tétons et tira sur la chaîne qui les reliait.
Je couinai de souffrance et de plaisir.
— Tu vois... elle aime ça !
Olivie ...

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