Dans cette nouvelle vie, nous habitions une maison mitoyenne, avec des voisins aux moeurs débridés, c'est une famille composée d'un couple et de trois filles dont la dernière à quatorze ans et qui n'a pas froid aux yeux. Revenant de l'école, passant devant un vieil immeuble, j'entendis des gémissements sortant d'un soupirail à moitié bouché,attiré par ces plaintes je descendais les marches de la cave dans le noir et je m'avançais fébrilement à tâtons jusque à l'entrée de cette porte entr'ouverte et dans la pénombre,je remarquais Patricia à genoux entourée de quatre ,cinq garçons, les pantalons sur les chevilles en train de se faire sucer et un lui défonçant son petit cul avec ses doigts.Je l'entendais grogner de plaisir, machinalement je posais ma main sur ma culotte courte, cette vision m'excitait terriblement, je m'approchais , je sortais mon sexe tout raide devant sa bouche, je n'eus pas le temps de profiter de cette opportunité qu'un locataire d'une cave alluma la lumière et commença à nous engueuler sur notre présence dans cette cave, tout le monde s'envola comme une volée de moineaux sauf moi , complètement pétrifié par tous ces cris, il s'approcha de moi et me dévisagea, de sa voix grave me dit, mais je te connais et aussi tes parents, ma situation n'était pas enviable avec le pantalon sur les chevilles, il me prit par le bras et m'emmena dans son local, ferma la porte, je compris aussitôt la suite des évenements, il baissa sa braguette et sortit son énorme sexe, m'obligea à me mettre à genoux et me baisa la bouche avec une certaine excitation proche de la violence, je m'étouffais presque avec cet énorme gland plus gros encore que celui d'Alberto et en peu de temps ma bouche était envahie de nombreux jets de ce merveilleux liquide chaud et crémeux , une fois son plaisir évacué, il me menaça de tout révéler à mes parents si je venais pas le voir à chaque fois qu'il en exprimait le besoin. Je rentrais chez moi tout penaud avec la pensée du lendemain car demain jeudi , j'avais cours chez mon instituteur à quatorze heures
Je dînais sans conviction sous le regard de ma petite soeur qui se doutait de quelque chose. Après une ballade dans la courette et sur le gazon avec la vue sur la chambre grande ouverte de ma voisine, j'allais me coucher .Le lendemain, une partie de moi était déjà en émoi car je rappelais des longues caresses et des doux baisers qu'il me prodiguait et arrivé devant sa porte, une certaine jouissance me parcourait le corps. A peine assis, il me passait les mains dans les cheveux ,me posant mille questions pour finalement me déshabiller complètement et m'emmena nu dans sa chambre, je m'allongeais sur le lit pendant qu'il ôtait son survêtement, couché à côté de moi, il m'inondait de baisers et ses mains parcouraient tout le corps , s'arrêtant fébrilement sur mon sexe, mes testicules et enduisant ses doigts de salive pour badigeonner ma petite rosace. Je ne pensais plus à rien , j'étais dans un autre monde, envahi par le plaisir et le désir aussi de lui rendre. Je le prenais en bouche, faisa ...

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